Histoire du matérialisme, et critique de son importance à notre époque Friedric

Histoire du matérialisme, et critique de son importance à notre époque Friedrich-Albert Lange C. Reinwald, Paris, 1879 Exporté de Wikisource le 02/11/2016 TABLE DES MATIÈRES CONTENUES DANS LE TOME SECOND __________ HISTOIRE DU MATÉRIALISME DEPUIS KANT Pages. PREMIÈRE PARTIE La philosophie moderne Retour de la philosophie allemande à Kant. Importance durable du criticisme. Le point de vue de la métaphysique est changé — 1-4. — Mouvement et sensation. Le monde en tant que phénomène — 5. — L’expérience en tant que produit de l’organisation. Kant dans ses rapports avec Platon et Épicure — 6 et 7. — Kant opposé au subjectivisme et au scepticisme. Il subit l’influence de Hume ; système de ce dernier — 7-11. — Kant et l’expérience — 11-13. — Analyse de l’expérience. Les jugements synthétiques a priori — 13-34. — La découverte des éléments a priori — 34-38. — Les sens et l’entendement — 38 et 39. — L’espace et le temps comme formes des perceptions sensibles. La sensation ne peut-elle pas se comparer à la sensation ? La psychophysique — 39-41. — L’apriorité de l’espace et du temps soutenable néanmoins — 41-45. — Rapports du matérialisme avec la théorie de l’espace et du temps — 45 et 46. — Les catégories — 46. — Hume attaque l’idée de causalité — 46-49. — La déduction des catégories — 50. — Défauts de la méthode déductive. Le sens commun. Le fondement des idées a priori — 50-53. — Définitions différentes de l’idée de causalité — 53 et 54. — Attitude des empiriques et des matérialistes en face de l’idée de causalité. — 55-57. — La chose en soi — 57-60. — La déduction des catégories et l’origine des idées — 61-67. — Le libre arbitre et la loi morale — 67-72. — Le monde intelligible en tant qu’idéal — 73-75. Les pays qui ont donné naissance à la philosophie moderne se tournent vers la vie réelle, tandis que la métaphysique reste à l’Allemagne. Marche du développement intellectuel en Allemagne — 76-81. — Causes de la rénovation du matérialisme ; influence des sciences de la nature ; Cabanis et la méthode somatique en physiologie — 82-84. — Influence de l’habitude des polémiques philosophiques et de la liberté de pensée — 85. — Tendance vers la philosophie de la nature — 86. — Évolution vers le réalisme depuis 1830 — 87. — Feuerbach — 88-98. — Max Stirner — 98. — Décadence de la poésie ; développement de l’industrie et des sciences de la nature — 98-101. — La théologie critique et la jeune Allemagne ; mouvement croissant des esprits jusqu’à l’année 1848 — 102-104. — La réaction et les intérêts matériels ; nouvel élan des sciences de la nature — 104-106. — Commencement de la polémique matérialiste — 106 et 107. — Büchner et la philosophie — 107-112. — Büchner ; détails personnels ; il est influencé par Moleschott ; obscurités et défauts de son matérialisme — 113-117. — Moleschott ; il est influencé par Hegel et Feuerbach ; la théorie delà connaissance, de Moleschott, n’est pas matérialiste — 118-124. — Possibilité du matérialisme après Kant. L’impératif catégorique : Contente-toi du monde donné — 124-127. — Czolbe — 127-137. DEUXIÈME PARTIE Les sciences physiques Matériatistes et spécialistes ; dilettantisme et école dans les sciences physiques et dans la philosophie — 139-145. — Manière de penser conforme aux sciences physiques et à la philosophie — 145-149. — Les limites de la connaissance de la nature. Du Bois-Reymond — 150-155. — Malentendus des matérialistes et des théologiens — 156-163. — Rectification des conséquences des hypothèses de Du Bois-Reymond — 163-165. — Les limites de la connaissance de la nature sont les limites de la connaissance en général — 166. — La conception mécanique de l’univers ne peut pas nous dévoiler l’essence intime des choses — 167. — Le matérialisme change la théorie en réalité et la donnée immédiate, en apparence — 168 et 169. — La sensation est un fait plus fondamental que la mobilité de la matière — 169-171. — Même l’hypothèse d’une matière sensible ne lève pas toutes les difficultés. Le tiers inconnu — 172 et 173. — Reproches injustes faits au matérialisme — 173-176. — Le matérialisme est vaincu par la science philosophique et historique — 177-181. — Valeur des théories — 181 et 182. — Le matérialisme et l’idéalisme dans l’étude de la nature — 183-190. Histoire de l’idée d’atome — 191 et suiv. — Boyle — 192. — Influence de la loi de gravitation de Newton et du relativisme de l’idée d’atome établi par Hobbes — 193 et 194. — Dalton — 194-197. — Richter — 197 et 198. — Gay-Lussac — 199. — Théorie moléculaire d’Avogadro. Berzelius. Dulong et Petit — 199 et 200. — Mitscherlich et l’isomorphisme. La théorie des types — 200. — Doute relatif aux théories ; distinction plus rigoureuse entre les faits et les hypothèses — 201-203. — Mathématiciens et physiciens. Hypothèse d’atomes dépourvus d’étendue — 203-205. — Fechner — 205- 208. — Objections contre les atomes dépourvus d’étendue. Idée de W. Weber sur une masse sans étendue — 209-212. — Influence des nouvelles théories chimiques et de la théorie mécanique delà chaleur sur l’idée d’atome — 212-216. — Essai fait par les matérialistes pour subordonner la force à la matière ; critique de cet essai — 216-222. — Les molécules sont de mieux en mieux connues, les atomes deviennent de moins en moins certains — 223-229. — La loi de la conservation de la force — 229-232. — Influence de cette loi sur l’idée de matière. Définitions relativistes de chose, force et matière — 232-235. — Opinions de Fechner et de Zœllner. Le problème de force et matière est un problème de la théorie de la connaissance — 235-238. TROISIÈME PARTIE Les sciences de la nature ; suite : l’homme et l’âme. Intérêt croissant pour les questions anthropologiques en face des questions cosmiques. Progrès des sciences anthropologiques — 317 et 318. — L’application de la théorie de la descendance à l’homme va de soi — 319 et 320. — Arrêts de Cuvier — 321 et 322. — Découverte de débris humains dans le diluvium ; leur âge — 322-327. — Vestiges d’une civilisation antique — 327-334. — Influence du sentiment du beau — 334. — La position verticale. Naissance du langage — 335 et 336. — La marche du développement de la culture, d’abord lente, puis de plus en plus accélérée — 336 et 337. — La question de l’unité l’espèce — 338 et 339. — Rapports de l’homme avec le singe — 340-342. Les difficultés du sujet n’ont apparu plus distinctement qu’avec le progrès des sciences. Conséquences nuisibles de la psychologie universitaire — 343-345. — La phrénologie — 345-359. — Les mouvements réflexes comme éléments fondamentaux de l’activité psychique. Les expériences de Pflüger — 359 et 360. — Malentendus divers et interprétations défectueuses d’expériences AVANT-PROPOS DU TOME SECOND CHAPITRE PREMIER. — KANT ET LE MATÉRIALISME. CHAPITRE II. — LE MATÉRIALISME PHILOSOPHIQUE DEPUIS KANT. CHAPITRE PREMIER. — LE MATÉRIALISME ET LES RECHERCHES EXACTES. CHAPITRE II. — FORCE ET MATIÈRE. CHAPITRE PREMIER. — PLACE DE L’HOMME DANS LE MONDE ANIMAL. CHAPITRE II. — LE CERVEAU ET L’ÂME. physiologiques — 360-366. — Le cerveau ne produit aucune abstraction psychologique — 366. — Théories défectueuses de Carus et de Huschke — 367-369. — Les idées psychologiques des Universités doivent avant tout être éliminées — 370 et 371. — Persistance du préjugé de la localisation des facultés intellectuelles — 371 et 372. — Recherches de Meynert relatives au cerveau — 372- 375. — Importance psychologique des voies motrices — 375-378. — Homogénéité des phénomènes d’excitation dans tous les nerfs — 379. — Expériences de Hitzig, Nothnagel et Ferrier. Leur signification — 379-388. — Assertions de Wundt sur les phénomènes élémentaires physiologiques par rapport aux fonctions psychiques — 388 et 389. — Démonstration de la loi de la conservation de la force par les fonctions du cerveau — 389-394. — La valeur intellectuelle du contenu de la sensation — 395. Erreurs dans les essais de psychologie mathématique et conforme à la science de la nature. Herbart et son école — 396-401. — Nécessité d’une critique de la psychologie — 402. — Hypothèses sur l’ « essence de l’âme ». Une psychologie sans âme — 402 et 403. — Critique de l’observation de soi-même et de l’observation au moyen du « sens interne » — 403-408. — La méthode de la science de la nature et la spéculation — 408-411. — La psychologie desanimaux — 411-413. — La psychologie des peuples ; récits de voyages ethnographiques — 414-416. — Influence de Darwin — 417. — La méthode somatique. Sur l’emploi de l’expérimentation — 418 et 419. — La psychologie empirique en Angleterre. — Mill, Spencer, Bain — 419-427. — La statistique morale — 427-435. La physiologie des organes des sens montre que nous ne percevons pas les objets extérieurs, mais que nous en faisons sortir le phénomène — 436-440. — La translation des objets vers uploads/Philosophie/ histoire-du-materialisme-2 1 .pdf

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