EXPRESSION ÉCRITE 1. Accents 2. Adjectif 3. Article 4. Accord 5. Auxiliaire (ch

EXPRESSION ÉCRITE 1. Accents 2. Adjectif 3. Article 4. Accord 5. Auxiliaire (choix avoir/être) 6. Catégorie grammaticales incorrecte 7. Élision 8. Genre 9. Hispanisme, catalanisme 10. Mot en trop 11. Mot incorrect par rapport au contexte 12. Mot qui manque 13. Négation 14. Nombre 15. Ordre des mots 16. Orthographe 17. Phrase incompréhensible 18. Pontuation 19. Possession 20. Préposition 21. Pronom 22. Reformulez la phrase 23. Registre de la langue employée 24. Syntaxe 25. Synonyme à donner 26. Verbes : accord du participe passé 27. Verbe : mode, temps, personne Nom, Prénom : REYES RANZ MUÑOZ, AV 2 SUJET : Type d’erreur Correction Voici une nouvelle adaptation cinématographique du thème rebattu de la différence entre classes sociaux, l’immigration et les préjugés qui l’accompagnent. Le film, dont l’idée originale est un des souvenirs d’enfance de son réalisateur, est une petit tour dans une époque où des espagnoles dans les années 60, partaient en France pour aller gagner sa croûte en travaillant comme des bonnes chez des familles fortunées. Cette comédie familiale, est joliment interprétée par quelques-unes des actrices les plus connues en Espagne, comme Carmen Maura (Concepción), Lola Dueñas (Carmen) ou Natalia Verbeke (Maria). Complètent le casting le touchant Fabrice Luchini (M. Joubert) et l’élitiste Mme Joubert (Sandrine Kimberlain). L’histoire démarre quand par hasard, Maria est embauchée comme bonne d’une famille bourgeoise qui habite au 16ème arrondissement parisien et qui mène une vie conjugale austère et raide, avec ses deux enfants en pension. L’arrivé de la domestique chez les Joubert, amène de la vivacité et de l’humanité au ménage, si bien que « le patron » découvre peu à peu comment vivent toutes les bonnes espagnoles dans les mansardes de son bâtiment. Celles qui composent une grande famille que malgré leurs conditions de vie, ne se plaignent pas. Elles lui apprennent le sens de la famille et de la camaraderie ; donc qu’il se décontracte tellement qu’il se joue du qu’en dira-t-on, et quitte de bon gré ses luxes matériaux, pour s’installer parmi les bonnes ; dans un taudis que pour lui incarnera la liberté et son épanouissement personnel. LES FEMMES DU SIXIÈME ÉTAGE, Philippe Le Guay, 2011. À vrai dire, le film est plein de clichés : la paella, l’omniprésent flamenco, le pli des bonnes de se mettre sur son trente-et-un pour aller à la messe le dimanche, la revêche syndicaliste, la femme battue par son mari, la mère célibataire et celle qui cherche chasser un mari rupin. Également, l’histoire d’amour entre le patron et sa bonne est prévisible, cependant, en gros cette fable sociale est drôle et émouvant pour passer un agréable moment dans le cinéma. Ce dernier film du réalisateur Philippe Le Guay, passé en première à la Berlinale, proposé aux Oscars, a été un vrai carton en France, grâce à la bouche à oreille, et sortira dans les salles espagnoles et américaines au printemps 2012 ; à ne pas rater !!. uploads/Histoire/ les-femmes-du-sixieme-etage.pdf

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  • Publié le Aoû 29, 2022
  • Catégorie History / Histoire
  • Langue French
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