Interview – Dirk Van Dorst: CLC Directeur pour Affiliés européennes. Dirk (dr.
Interview – Dirk Van Dorst: CLC Directeur pour Affiliés européennes. Dirk (dr. ) a une réunion de ‘travail’ pour le GREC avec les membres du Bureau du CLCF James Ayres, Secrétaire (g.) et Pierre Gravel, Président (c.). Pour assurer une bonne coordination des activités des filiales internationales, le Cadillac LaSalle Club de Columbus, Ohio, créa le rôle du Directeur International avec un siège au Bureau principal. Le premier Directeur Paul Ayres, maintenant chef du Cadillac Museum Trust, a identifié la nécessité de créer une direction pour les filiales européennes (dont il y en a dix). Dirk Van Dorst lui aussi avait ressenti la curieuse sensation de causer avec les adhérents des affiliés européens pendant les grands ‘shows’ américains (comme Hershey Fall Meet, par exemple) sans échanger un seul mot avec eux pendant le reste de l’année. Quand Dirk a été approché par la Direction du CLC pour prendre le titre de Directeur pour les Affiliés Européennes en 2005, il a donc accepté sans hésitation. Pour plusieurs raisons, un choix évident s’imposait: Dirk – un Belge de 47 ans et la force moteur derrière la fondation des affiliés de la Norvège, l’Island, l’Espagne, la France et sa Belgique native – parle trois importantes langues européens (l’Allemand, l’Anglais, et le Français) en plus de son Flamand maternel. Il connaissait l’ambiance des voitures classiques en Amérique très bien ….. et il était passionné de Cadillac. Pendant une visite récente de Dirk en France, concernant le Grand Rassemblement Européen de Cadillac (3rd Grand European), le Bulletin a fait une brève interview avec cet homme clef dans l’organisation des affaires du CLC sur le vieux continent. Bulletin : D’où vient votre intérêt dans la marque Cadillac ? Dirk Van Dorst : C’est de long date. Mon grand-père était chauffeur d’une famille richissime belge dont la femme avait un Cadillac ‘bustleback’. Il était un passionné de voitures et il aimait et parlait beaucoup du ‘bustleback’. En effet, mon beau frère possède toujours la voiture dans sa collection. J’ai toujours eu un intérêt pour les voitures, mais ma passion Cadillac dérive d’un film français des années ’60 – « Le Corniaud »- ou le vrai héros du tournage est un 1964 Cabriolet de Ville. J’ai vu le film quand j’avais, peut-être, dix ans, et j’ai calculé que comme je suis né en décembre de 1963 j’étais du millésime de 1964. C’était ‘ma voiture’. Mais elle est devenu aussi ma première déception : quand j’avais épargné des sous pour acheter un exemplaire, le mécanicien que j’ai emmené avec moi pour vérifier les promesses du vendeur l’a mis sur le pont. Au-dessous il y avait des fuites de tous les liquides partout! J’étais désolé. En effet, ma première Cadillac est un 1970 Cabrio‘Diamond White’ que j’ai acheté directement en Californie. Elle était parfaite! 1964 Cabriolet de Ville Bulletin : Comment vous avez réussi à attirer l’attention de la direction du CLC ? Dirk Van Dorst : J’ai visité Hershey en 1999 et j’étais ravi par l’organisation merveilleuse du CLC. Par chance, j’ai rencontré Matt Larson qui m’a encouragé à fonder une filiale du CLC en Belgique – dont j’ai fait a Aalst en Belgique en 2001. Sa femme était Rédacteur du Self Starter à l’époque et tous les deux m’ont encouragé à écrire les articles pour le magazine du Club. Maintenant j’ai une rubrique chaque mois sur la scène Cadillac en Europe. Mais c’était Paul Ayres qui m’a choisi comme Directeur pour les Affiliés d’Europe. Bulletin : Commet vous êtes arrivé à l’idée d’un grand rassemblement des clubs en Europe ? Dirk Van Dorst : C’était le club d’Angleterre qui a essayé d’organiser une réunion des Clubs d’Europe en 2003, mais ils n’ont pas eu grand succès. En effet, j’étais la seule personne à y assister. C’était, néanmoins, un bon idée et j’ai invité les adhérents d’Europe à se réunir a une événement Cadillac que M Jacques Delbosc organisait chaque année à Castelsarrasin pas loin de la ville de Cadillac. L’affluence était satisfaisante et ça m’a encouragé de lancer le premier ‘Grand European’ en Belgique en 2006. Je dois ajouter que j’étais très affecté par les ‘Garden Parties’ organisées par les sœurs Keyaerts dans le parc de leur Château à Planchory dans la vallée de la Loire. Ça c’est l’image que je voudrais pour les manifestations du Cadillac LaSalle Club en Europe. Bulletin : Quel futur envisagez-vous pour le ‘Cadillac LaSalle Club France’ ? Dirk Van Dorst : Je crois que le Club en France ne sera jamais très grand. La géographie, la grande taille du pays, et une population relativement éparse, militent contre le développement d’un grand club. Il y a aussi plusieurs clubs locaux des passionnés d’Americana, dont quelques-uns assez grands, qui offrent souvent une activité suffisante pour les gens qui ne veulent pas se déplacer trop loin avec leurs voitures américaines. Par contre, j’envisage le CLCF comme un club haut de gamme : moins ‘cowboy’, plus passionné des bonnes choses de France – l’histoire, les repas, le musique - où le plaisir est augmenté par ‘the Standard of the Word’ comme moyen de transport. Le Grand European en septembre sera une vitrine pour tout ce qui est bon dans le Cadillac LaSalle Club en Europe et le Monde. uploads/Geographie/ dirk-van-dorst.pdf
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- Publié le Dec 15, 2021
- Catégorie Geography / Geogra...
- Langue French
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