Lettres et opuscules inédits de Leibniz / précédés d'une introduction par A. Fo
Lettres et opuscules inédits de Leibniz / précédés d'une introduction par A. Foucher de Careil Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Leibniz, Gottfried Wilhelm (1646-1716). Lettres et opuscules inédits de Leibniz / précédés d'une introduction par A. Foucher de Careil. 1854. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF.Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : *La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. *La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. Cliquer ici pour accéder aux tarifs et à la licence 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : *des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. *des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisation@bnf.fr. LETTRESET OPUSCULES tN&BMf. DE LEIBNIZ PRËCËCËS BUNË INTRODUCTION PAH A IMMPCMnER MCAMBH~ SmSamt~WHMtetet~MwNn'tMHfN. CettMpm~mte~MtM' <tt< FoM~. Btjtt et FmtN~b. M)ïM; su t'Mt ~~edMetMhmMt. MMaM~CNMMM <b ~M. Ft~aMb ~KR MNt!M~!Mta~s<etM~ ~<et~tN6!~M. PARtS MBRAtME M~OSOPmQUE DE LAMAN~E M~ NAMT-AttBBÉ-BES-ABTS, 4< i85&~ DE LEIBNIZ. LETTRES ETOPUSCULES tN~DÏTS < LETTRES ET OPUSCULES i!~t)tTS DE LEIBNIZ PRËCËDËS D UNE INTRODUCTION PAR A ~<MM?MEM ME CAHEt~ SMtimeat ~e WcMMter et de Locke sor les idées. CxrrMpotdMM de MM MM Pmther, Bajte et FmtemHe.– M9e!Mas sar l'art ))eMam«ttJeshemmM. Re!aNe<!thCeaMtatMt de Boeee. FnpMBtt divers lémoire pour les ~erMaM éclairées i- et de boue intention. 1 PARIS LIBRAIRIE PHILOSOPHIQUE DE LADMANGË ME SAtNT-ANMÉ-MS-AMa, 4< t85A M PRÉFACE. « La tolérance philosophique devrait être, à mon avis, le grand principe de chaque éditeur, disait, i! y a cent ans, Rudolphe Eric Raspe, le premier qui s'avisât de publier les Nouveaux essais ~ïtr rEM<eM<<emeHt~MMtaïH~Le~Mt2. Fidèle à ces prin- cipes de tolérance, que sa conduite se charge de justiner (i), il ajoutait, avec autant d'esprit que d'impudeur « J'espère qu'avec ce mérite et l'exac- titude, je puis me flatter de réunir les suffrages de tous les partis, tant de ceux qui, prévenus pour Leibniz, Stimano che '1 sno saper misura Cerla sia, e infatUbiie di quanto Paô far Mto faMor de la natura (2). que de ceux qui, d'un autre côtéy et avec un grand degré d'apparence, soutiennent avec M. Locke, que Augel nottm'no al sole E* nostra mente ai rai del primo vero (3). Je sais bien que la philosophie de Locke fut (1) Raspe s'enfuit à Londres en emportant les médailles d'une cotiection publique, et y mourut. (2) Tasso, Gierus., XIV, 45. (3) Tasso, Gierus., XIV, 46. PREFACE. q longtemps à la mode, même en France, qu'elle fit même oublier celle de Leibniz, et que M. Des- maizeaux ne balança pas de dire dans la préface de son recueil « Qu'il ne voyait pas encore que la philosophie de Leibniz eût fait fortune. » Depuis M. Desmaizeaux, les modes et les sentiments ont bien changé. Locke peut avoir conservé quelques partisans en Angleterre, mais en France le nombre en est bien petit on est passé de l'engouement à l'indifférence. Il n'en est pas de même de Leib- niz on le dit du moins. En effet, il n'y a pas de futur docteur qui ne consacre quelques heures à le lire dans la pauvre et mince édition qu'un agrégé, M. Jacques, a donnée pour le~besoins de l'école (i). Sauf quelques admirateurs ou curieux, Dutens est négligé; et l'on ne trouverait pas en France aujourd'hui des frères de Tournes, comme il s'en est trouvé à Genève au siècle passé, pour imprimer, et un Ludovic Dutens pour éditer Leibniz (2). Depuis qu'un arrêt banal, partout colporté, a con< damné la monadologie et l'harmonie préétablie, on ne. s'occupe plus des doctrines; on veut bien en- core par moments s'occuper de rhomme. Fonda- (1) OE'Mwes de Leibniz, nouvelle édition précédée d'une intro- duction par M. A. Jacques, 2 vol. in-12. Paris, 18~7. –OEuvres de Locke et Leibnitz, par Tburot et Desrez, P<M~OM littéraire. Paris, 18ft0, !n-8. (2j Leibnitii opera, édit. Dutens. Gen., 6 vol. in~it. PRÉFACE. "J teur de F Académie de Berlin, d a trouvé dans M. Bartholmess, le narrateur ndète~ éc!airé, de ses actes académiques (<). Historien de la philosophie, il a provoqué la thèse de M. Bertereau philosophe, celles de M. Lefranc et de M. Lemoine(~). Théolo- gien,il a suscitée après levénéraMe abbéËmery(3)~ un éditeur dans le ctergé, l'abbé Lacroix (4), et un traducteur, dont le nom seul est un éloge, M. le prince Albert de Broglie (5). Savant et na- turaliste, son nom se rencontre tantôt sous la plume de Cuvier ou de M. Flourens, tantôt dans les sa- vantes recherches de M. Biot. Grands amateurs d'autographes, M. Foisset et M. Cousin nous ont successivement rendu sa correspondance avec l'abbé Nicaise (6). De son côté~ M. Firmiu Didot (i) Histoire de l'Académie de Berlin, par Chr. Bartholmess. Paris, 2 vol. in-8. Mémoires sur les doctrines -religieuses de Leibniz, dans le tome VI du Compte rendu, par Miguet, p. i~i et 2~. (2) Leibniz considéré comme ~<M*<eM de la philosophie, par Bertereau. Paris, 1843, in-8. Leibnitii judicium de MOMn~M Baylii senteM~M, par Lefranc, Paris. Quid sit ma<cWa: apud. Leibnitium, par Lemoine. Paris, 1850. (3) Esprit de Leibniz, par l'abbé Emery. Lyon, 1772, 2 vo!. in-12. –JEacpos:<!OM de la doctrine de Leibniz sur la religion. Paris, 1819, in-8. La 1" édition du S~tHc; est de l'abbé Garnier. (4) Système théologique, édit. P. P. Lacroix, 18&5, in-8. (5) Système religieux de Leibniz trad. par A. deBrogMe. Paris, 18~6. in-8. (6) Foisset Revue des <<eMa; ~oM~o~Ms (1836). -Cousin. OEuvres, t. 11, p. 19i. PRÉFACE. iv publiait, dès 1820, son Commerce épistolaire avec Malebranche et le P. f<e~oM~ tiré à trente exem" plaires seulement (I), livre rare, aujourd'hui introuvable, mais auquel suppléent largement les articles de M. Cousin, dans le Journal des sa- ~aK~ (2). M. Damiron, son confrère, a donné, dans le Compte yeH~M des séances de ~ccc~MMe, une courte mais substantielle notice (3). Nom mons aussi MM. Nodier (4) ~t Archimbaud (5), qui, l'un dans ses Mélanges, l'autre dans un re- cueil de pièces fugitives, nous ont rendu quelque chose de Leibniz et plus anciennement M. Bar- choude Penhoën (6), qui parait avoir essayé ce qui reste à Eure une esquisse de la philosophie leibnitienne. Voilà, depuis Fontenelle (7) et le chevalier de Jaucourt (8), en y joignant l'éloge couronné de (<) Lett. au P. Malebranche et au P. Lelong. Paris, 1820, in-4. Cousin, Fragments de philosophie cartésienne. (2) Cousin, Journal des savants, <8M. –Voy. aussi x:t~ leçon du cours de 18i5 et xif du cours de 1829. Voy. aussi un extrait de cette leçon ci-après, à t'Appendice. (3) Damiron, Compte rendu des séances de lacad. des sciences mor. par Jtf~Me<. Paris, 18~7,1 1 vol. p. 3&9-373. · (4) Nodier, Nouv. Mt~. p. 33. (5) Archimbaud, Rec. de pièces /M~ t. îtt, p. i~-187. (6) Histoire de la philos. allem. depuis Leibniz. Paria, 1836, 2 vol. in-8. (7) Fontenelle, Elog. des ~ic~M., t. If, p. 9. (8) ~e<~ Leibnitz, 1760, In-12. PRÉFACE. v Bailly (<) et quelques plaisanteries de Voltaire, tout ce que la France a fait pour la mémoire de cet homme incomparable qui lui a fait l'honneur d'écrire les deux tiers de ses oeuvres en fran- çais (2). L'Allemagne est plus riche. Et puisqu'il est question de bibliographie, il me sera permis, sans doute, de donner quelques renseignements à ce sujet. Je passe les éditions et les traductions de la Théo- dicée, qui sont infinies, et dontl'illustrebibliomane, M. Cousin, a réuni d'assez beaux échantillons (3). J'arrive tout de suite aux uploads/S4/ lettres-et-opuscules-inedits-de-leibniz.pdf
Documents similaires










-
45
-
0
-
0
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise- Détails
- Publié le Dec 13, 2022
- Catégorie Law / Droit
- Langue French
- Taille du fichier 16.6972MB