Ma situation d’appel s’est déroulée pendant mon stage du semestre 4 dans le ser

Ma situation d’appel s’est déroulée pendant mon stage du semestre 4 dans le service de chirurgie générale et digestive d’une clinique parisienne. Mme L. âgée de 76 ans vient au sein de se rend à la clinique pour un acte chirurgical consistant à remplacer l’articulation entre la tête du fémur et l’os iliaque droit par se faire poser une prothèse totale de hanche. La coxarthrose est à l’origine de la destruction progressive de son cartilage articulaire. dans le contexte d’une coxarthrose au niveau de la hanche droite. A son entrée en clinique, la veille de l’opération, Mme L. m’a semblé est très anxieuse. Mme L. Sa hanche malade l’a fait souffrir est très douloureuse à sa hanche et Mme L. montre beaucoup de difficultés à se déplacer dans sa chambre. En échangeant avec elle, je comprends qu’elle souffre depuis longtemps a beaucoup souffert et qu’elle espère que attend de l’opération la soulagera d’en être libérée. Elle m’avoue appréhender les dit redouter des douleurs post-opératoires mais aussi des ainsi que la persistance des douleurs à persistantes après son retour à la maison. Du coup, l’arrivée des brancardiers pour la descendre au bloc opératoire est une source d’angoisse.(j’ai pas compris) Après que j’en aie parlé J’ai relaté cet échange à l’anesthésiste, celui-ci qui lui a prescrit un anxiolytique pour la calmer( un peu pejoratif) pour diminuer son anxiété afin qu’elle aborde l’opération l’intervention plus sereinement. Le lendemain, Mme L.a quitté sa chambre descend (jargon médical pas adroit dans un mémoir) au bloc opératoire vers 8h30 et elle est revenu en revient vers 12h45. L’opération s’est bien passée. Vers 18h30, alors que j’étais dans le poste de soins à regarder la planification, j’entends la sonnette de la chambre de Mme L. Je m’y rends. Mme L. que je n’avais pas vue depuis son départ au bloc semble aller bien. Je l’interroge sur le motif de son appel. Elle me dit qu’elle a mal. Selon la définition officielle de l’Association Internationale pour l’Etude de la Douleur, la douleur est « une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable, associée, ou ressemblant, à celle liée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle. » Des textes du ministère des solidarités et de la santé précisent qu’« aucun examen n’est capable d’objectiver la douleur. La douleur se définit comme une expérience sensorielle réelle ou potentielle que seul celui qui le vit peut exprimer ce qu’il ressent ». « quand se referme cette citation ? Les patients sont les acteurs actifs de leur prise en charge, eux-seuls sont capables d’indiquer aux soignants ce qu’ils ressentent. Leur participation est essentielle pour évaluer l’intensité de la douleur et l’efficacité des traitements, médicamenteux ou non. Aucun examen, aucune prise de sang, aucun scanner ne permet d’objectiver la douleur : le langage verbal et non- verbal la parole peut être un signal pouvant faire évoluer la prise en charge. Ils doivent donc être informés et écoutés par les professionnels de santé. « La loi relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé du 4 mars 2002 reconnaît le soulagement de la douleur comme un droit fondamental de toute personne. La lutte contre la douleur est également une priorité de santé publique inscrite dans la loi de santé publique de 2004. » La douleur ayant donc une La dimension subjective de la douleur est une réelle problématique j’essaie dans un premier temps cherche à l’objectiver en sollicitant le concours avec la participation de la patiente en pratiquant m’appuyant sur l’Echelle Numérique. Je lui demande d’évaluer sa douleur en lui attribuant une note sur l’Echelle Numérique de 0 à 10 et en lui expliquant après lui avoir expliqué que 0 correspond à aucune douleur, 5 à une douleur modérée et 10 à une douleur insupportable. Elle est Malgré son apparence très calme et elle évalue sa douleur me dit l’évaluer à 9. Je suis surpris par son autoévaluation la hauteur de son évaluation car selon ce que j’ai appris au cours de ma formation qu’une telle intensité douloureuse s’accompagnait souvent la douleur à ce degré s’exprime par de l d ’agitation, de crispations dans le visage, de cris, de pleurs. Je lui demande alors de me confirmer son évaluation après avoir pris soin de lui réexpliquer ce que représente chacun des échelons. La patiente maintient son évaluation. J’en prends note et lui dit que je vais me renseigner auprès voir avec l’infirmière responsable pour quoi lui administrer un traitement qui la soulagera donner pour la soulager. J’expose A l’infirmière je rapporte que la valeur de l’autoévaluation de Madame L. souffre en évaluant sa douleur à 9 alors en lui décrivant l’absence qu’elle n’a aucun signe laissant supposer apparent des douleurs insupportables. J’exprime lui confie mon doute sur la véracité quant à l’intensité de la douleur ressentie par la patiente et sur la conduite thérapeutique à tenir. Selon le protocole de soulagement de la douleur post-opératoire établi par l’équipe pluridisciplinaire de la clinique, on donne de la morphine est préconisée à partir de 3 sur une échelle de 10. Je m’interroge me suis demandé si dans ce cas la cette médication est était appropriée car, en l’absence de signes physiques de douleur, cet antalgique morphinique de palier 3 me semble paraissait disproportionné. En effet, selon le cours « Douleurs et traitements », « Dépression respiratoire, bradypnée, rétention urinaire, constipation, nausées vomissement et prurit » de David Bouaziz, infirmier au GH des Diaconesses, nous sommes sensibilisés aux avertis des effets indésirables et des aux risques potentiels de la morphine. De même, on nous apprend que cet antalgique est souvent utilisé en dernier recours après avoir administré donné d’abord un antalgique de palier 1, puis un autre de palier 2 en fonction des autoévaluations réponses du patient au médicament. A partir de son expérience, Cette l’infirmière expérimentée m’explique qu’il est possible que Mme L. craignant de fortes douleurs préfère peut les anticiper. Elle me conseille dit de ne pas « prendre à la lettre » cette évaluation à 9 en l’absence de signes physiques. Elle m’incite à la réévaluer en m’appuyant sur mes observations sans pour autant nier la douleur exprimée par la patiente. Cette interprétation m’a interpellé car il me semblait que En formulant ce jugement de valeur, l’infirmière remettait en cause la parole du patient et suggère suggérait de ne pas suivre le protocole. Craignant que la patiente ait surévalué sa douleur, je décide par prudence de poser (jargon) d’administrer en première intention un paracétamol avec un Acupan pour vérifier son efficacité sur la patiente avant d’utiliser des antalgiques de palier supérieur. Precises si tu as eu connaissance ou non du résultat obtenu avec cette injection ! Cette situation montre que la représentation par le soignant d’une douleur exprimée par un patient de la douleur de la patiente par le soignant peut facilement être en inadéquation avec celle ne pas coïncider avec le ressentie et évaluée par exprimé de la patiente. Cette différence d’appréciation conduit le soignant à ajuster l’antalgique en fonction de son expérience et non du protocole. Questionnement Cette situation questionne ma pratique professionnelle d’étudiant infirmier sur l’ensemble des facteurs à prendre en compte pour évaluer le plus objectivement possible se représenter la douleur du patient et y remédier. Elle en interroge les bonnes pratiques. Par sa présence régulière au lit sa fréquentation régulière du patient, l’infirmier est l’interlocuteur auquel celui-ci il se confie et auquel il confie remet le soulagement de sa douleur. L’infirmier porte de ce fait sa confiance et de ce fait, une grande responsabilité. Pour formuler ma question de départ, j’ai recherché tout ce qui m’interpellait et me dérangeait dans la situation initiale. J’en retiendrai mon doute sur la véracité de l’autoévaluation à 9 de réalité de la douleur évaluée à 9 par Madame L. en l’absence de signes physiques, compte tenu aussi de l’son appréhension exprimée qu’elle avait de l’opération. J’étais partagé. D’un côté, ne pas remettre en question l’évaluation de Madame L me conduisait à lui poser administrer les des antalgiques de palier 3 préconisés par tel que le préconisait le protocole de l’établissement alors que je connaissais malgré les risques et les effets indésirables potentiellement graves potentiels de la morphine. De l’autre, en me fiant à mon expérience acquise et celle de la soignante, je ne respectais pas me mettais en défaut par rapport au protocole de l’établissement et j’avais l’impression de ne pas respecter mes engagements de par rapport au devoir d’écoute du patient. Attention au temps des verbes c’est une peut confus soit le conditionnel partout lors dans ce paragraphe de questionnement, soit le présent : vois avec Dame Danielle se qu’elle en pense Cette situation pourrait conduire à s’interroger ainsi : - L’anticipation ( qu’entends-tu par anticipation ? ) de la douleur post opératoire par le patient pouvait elle influencer celle-ci ? - Est-ce que le soignant peut ne pas écouter le patient et se fier à son expérience ? - Est-ce que se fier à son expérience n’est pas un dépassement de compétence ? - Quels sont les risques uploads/Sante/ mfe-remarques-ce-line-docx.pdf

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  • Publié le Jul 22, 2022
  • Catégorie Health / Santé
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