Maladies parodontales La parodontite est une maladie dentaire où la gencive et

Maladies parodontales La parodontite est une maladie dentaire où la gencive et les régions du ligament parodontal, du cément et de l'os alvéolaire sont atteintes par e processus inflammatoire. . La paro- dontite est caractérisée par l'inflammation gingivale .L’inflamation commence par la gencive et envahit, par la suite, les structure les plus profondes. La paradontinte touche environ un adulte sur 4. Le pourcentage de la maladie augmente progressivement avec l’age. Les hommes sont plus touches que les femmes. La perte de la soutien de la dent s’appele actuellement maladie inflammatoire du paradontite, se traduisant par la formation d’une poche paradontale et la resorption(distrugerea) de l’os alveolaire.La destruction inflammatoire est la principale cause de la perte de dent.On ne peut pas diagnostiquer une paradaontite a partir du seul examen radiographique, parce que les modifications des tissus mous ne sont pas visibles sur la radiographie dentaire. sont confirmés par un examen clinique à la sonde parodontale, peuvent être considérés comme des critères valables de diagnostic. En general, on distingue des paradontites aigues et chroniques. La paradontite aigue juvenille est relativement rare. Sa caracteristique est une destruction rapide de l’os alveolaire sans signes d’inflammations gingivale.La paradontite chronique s’observe surtout chez l’adulte. Ici, on distingue l’extension des lesions vers les fibres paradontales. Une autre type de maladie paradontale est la paradontose qui a pour consequence une perte rapide des tissoux paradontaux autour de plus d’une dent permanente. Elle est appelle pyorhee et conduit a la mobilite des dents et a leur perte. La paradantose constitue une probleme sociale serieux, a cause de son charactere massif. La difficulte des cures s’explique par le fait que , a cause de l’absence de douleur les patients ne viennent pas chez le dentiste. Et la probleme s’aggrave. L’importantes donnes statistiques affirme que la maladie est provoque par la deterioration de l’homeostase de l’organisme. Donc , les dentiste recommande aux leurs patients de faire, par exemple , un cours de therapie immunologique En fonction de la gravité de la maladie, le dentiste choisit un programme de traitement en plusieurs étapes. Des applications locales d'anti-inflammatoires, d'antimicrobiens ou d'antibiotiques par voie orale peuvent également être nécessaires Aux stades avancés de la maladie, un traitement chirurgical est utilisé La nouvelle methode a donne la possibilite de trouver le tallon d’Achille de l’organisme de chaque malade pour trouver se qui est a corriger : le system cardio-vasculaire, nerveux, l’immunite le matabolisme, Je suis tout à fait d'accord avec ce sujet et il est très actuel car la persévérance est la clé la plus importante du succès. Nous sommes tous heureux à l'idée de réussir, et cela nous fait souvent oublier les difficultés qui s'y opposent. Nous fixons des objectifs et voulons les atteindre immédiatement, mais nous sommes humains et nous touchons beaucoup de choses jusqu'à ce que nous réussissions. L'échec au début peut conduire à la frustration. Notre confiance peut être ébranlée en cours de route, nous abandonnons donc certains objectifs. par exemple dans notre cas les étudiants en médecine nous avons besoin de beaucoup de persévérance, de force, de courage pour affronter les difficultés, et à l'avenir en tant que médecins cela nous fait avec du caractère et à la fin pour apprécier le travail accompli et en conclusion je le dirais par le travail aux étoiles 1. Etudes de Medicine. 1Études de médecine : priorité aux étudiants organisés et motivés Si la médecine suscite de très nombreuses vocations, il ne faut cependant pas oublier que ces études sont longues et difficiles. Travail personnel intensif, stages exigeants, la formation demande de nombreux sacrifices. Priorité aux étudiants bosseurs, méthodiques et motivés ! Neuf ans d’études pour devenir généraliste, 10 à 12 ans pour prétendre au titre de spécialiste, autant dire que pour se lancer, une motivation à toute épreuve s’impose ! Songez que si vous avez 18 ans aujourd’hui, vous serez au mieux généraliste à plus de 26 ans, pédiatre à 28 et chirurgien à 30. Et ce n’est pas fini, car, après la thèse, de nombreux médecins approfondissent leurs connaissances par des diplômes complémentaires qui peuvent durer de 1 à 3 années supplémentaires. Il s’agit du cursus le plus long parmi les études de santé. Un diplôme de pharmacien ne demande « que » 6 à 9 ans de formation, il faut compter 6 à 8 ans pour devenir dentiste et 5 ans pour devenir sage-femme. La formation est divisée en trois cycles. Le premier dure 2 ans. La 1re année est entièrement consacrée à la préparation du concours d’accès aux études médicales permettant d’entrer en 2e année. Le deuxième cycle des études médicales, découpé en 4 années, à l’issue duquel une seule filière s’offre à vous. L’internat, après un concours, mène à la médecine spécialisée ou à la médecine générale. Une première année couperet ! Premier obstacle à franchir : La première année commune aux études de santé – également appelée PACES ou encore PCEM 1 – et son concours de fin d’année. Le nombre (très redouté) de places offertes pour le passage en 2e année est fixé chaque année par un arrêté gouvernemental, il s’agit du « numerus clausus ». Pour les heureux élus, c’est le début d’une véritable ascension médicale parsemée de stages et de responsabilités croissantes à l’hôpital. Vous aurez, au cours du premier cycle, à vous pencher sur certaines matières incontournables comme la biochimie, la biophysique, l’anatomie ou la génétique. Le programme est national, mais les cours et les stages diffèrent selon les facs. 2e année : premiers pas dans la pratique Le premier contact avec l’hôpital a lieu dès les premières semaines de la 2e année (ou PCEM2), à l’occasion d’un stage d’initiation aux soins infirmiers d’une durée de 4 semaines. Au- delà du baptême de feu que constitue le stage d’initiation, l’enseignement fait une large place aux disciplines scientifiques et fondamentales (anatomie, biochimie, biophysique...). Il inclut également une introduction à la sémiologie (études des symptômes). Cette année est vécue par beaucoup d’étudiants comme une année de récupération après la 1re année harassante ! Il n’y a plus de concours à l’horizon. Mais tout n’est pas gagné pour autant : des examens sanctionnent le passage d’une année à l’autre. Deuxième cycle : quatre années Le deuxième cycle des études médicales comprend 4 années d’études. En DCEM 1, c’est l’entrée de plain-pied dans la médecine. Les stages cliniques de sémiologie s’intensifient et les sciences fondamentales du premier cycle (physique, chimie…) laissent place aux matières médicales (pharmacologie, parasitologie…). Les trois autres années forment l’externat et sont réservées à l’enseignement de la pathologie et de la thérapeutique. L’étudiant partage son temps entre des matinées à l’hôpital et l’après-midi en faculté. De la cardiologie à la cancérologie, en passant par la pneumologie et l’urologie, toutes les matières sont abordées. Ce sont les premiers contacts avec le monde hospitalier, les premiers pas dans la vraie médecine. Un virage vers le double statut, moitié "vie active", moitié "étudiant", qu’il faut apprendre à maîtriser. » Anesthésie-réanimation, chirurgie orthopédique et générale, gynécologie-obstétrique, l’externe fait des séjours de 3 à 12 mois dans les différents services et doit valider 36 gardes de heures. Dès la 4e année, les étudiants découvrent ainsi l’exercice de la médecine en cabinet et les rapports particuliers qui peuvent s’instaurer avec les patients. Les étudiants hospitaliers perçoivent une indemnité mensuelle « symbolique » à partir de la 2e année du deuxième cycle. En fin de 3e année (PACES incluse), les étudiants pourront décrocher le diplôme de formation générale en sciences médicales, reconnu de niveau licence et conférant 180 crédits européens (ECTS). Le DCEM 4 s’achève avec le certificat de synthèse clinique et thérapeutique (CSCT). Passage obligé pour tous : l’internat Tous les futurs médecins, spécialistes et généralistes ayant validé le deuxième cycle passent le concours de l’internat, appelé « examen national classant ». C’est là que se décide l’avenir professionnel des étudiants. En effet, selon son classement, l’étudiant choisit sa filière et son centre hospitalier universitaire où il effectuera des stages de 6 mois. Le diplôme de docteur en médecine est délivré à l’issue de la soutenance d’une thèse, en fin de cursus. Son obtention est subordonnée à la validation de la totalité des stages, d’un portfolio (pour médecine générale), et des modules du troisième cycle. Ce troisième cycle commence donc après 6 années d’études. L’internat, pour les spécialistes, dure 4 à 5 ans, selon la spécialité. Les internes sont attachés à un centre hospitalier universitaire régional, où ils reçoivent une formation à temps plein et préparent le DES (diplôme d’études spécialisées) de la discipline qu’ils ont choisie. À l’issue de la 2e année d’internat, il est possible de renoncer à une spécialité pour une nouvelle orientation compatible avec le classement. Pour les futurs généralistes, ce sont encore 3 années d’études qui les attendent. Au programme : des séminaires d’enseignements et 1 semestre dans un service de médecine adulte ainsi qu’en pédiatrie/gynécologie. Ils accomplissent également un stage auprès d’un médecin généraliste et dans un service d’urgences. « Durant nos stages, on est à 100 % avec les patients, on a la uploads/Sante/ examen-franceza.pdf

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  • Publié le Mar 30, 2021
  • Catégorie Health / Santé
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