Jésus révèle aux siens ce qu’est la franc-maçonnerie Avant-propos Il n’est pas
Jésus révèle aux siens ce qu’est la franc-maçonnerie Avant-propos Il n’est pas banal que le Ciel… plus précisément le Seigneur lui-même… prenne la peine d’expliquer à sa confidente Françoise ce qu’est la franc-maçonnerie. On a tellement l’habitude de voir les Frères Maçons sur un écran de télévision, sur les ondes d’une radio ou dans les pages des journaux que l’on pourrait se demander si, après tout, cette confrérie, plus exactement cette secte, ne serait pas revenue en grâce dans la société et plus particulièrement dans l’Eglise catholique. On s’est demandé si le jugement de l’Eglise sur les associations maçonniques était même changé car le nouveau Code de Droit canonique n’en fait nulle mention, contrairement au Code antérieur. Mais il faut comprendre que le Code de Droit canonique se préoccupe des personnes qui sont DANS l’Eglise et non de celles qui sont AU DEHORS. C’est affirmer suffisamment clairement que le jugement négatif de l’Eglise sur la Maçonnerie demeure inchangé. Les principes maçonniques ont toujours été — et sont toujours — considérés comme inconciliables avec la doctrine de l’Eglise. L’inscription à ces associations reste interdite par l’Eglise… Bien plus, les fidèles qui appartiennent aux associations maçonniques sont en état de péché grave et, de ce fait, ne peuvent pas accéder à la Communion Eucharistique. (Voir la Déclaration de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi du 26 novembre 1983, signée du Cardinal Ratzinger et contresignée par le Pape Jean-Paul II) La vision du monde des francs-maçons Elle n’est, en fait, qu’une tendance humanitaire et éthique. Chaque franc-maçon met le sens qu’il veut dans les rituels et les symboles. Il n’y a aucune idéologie normative mais un vaste relativisme. L’Internationales Freimaurer Lexicon, autrement dit le Lexique international franc-maçon, qui est une source reconnue comme objective, déclare que «la franc maçonnerie est sans doute la seule structure qui, avec le temps, ait réussi à largement maintenir l’idéologie et la pratique à l’égard des dogmes. La franc-maçonnerie doit donc être considérée comme un mouvement qui s’efforce de rassembler pour promouvoir l’idéal humanitaire des hommes dont les dispositions sont empreintes de relativisme.» On comprend qu’un tel subjectivisme ne peut s’harmoniser avec la foi en la Parole révélée de Dieu et avec la doctrine de l’Eglise authentiquement exposée. Le concept de vérité chez les francs-maçons La possibilité d’une connaissance objective de la vérité est niée par les francs-maçons. Bien plus, la relativité de toute vérité constitue la base de la franc-maçonnerie. C’est la raison pour laquelle on ne supporte, en Loge, aucun dogme. Le franc-maçon doit être un homme libre qui ne connaît aucune soumission à un dogme ou à une passion. L’ Internationales Freimaurer Lexicon va jusqu’à écrire: «Toutes les institutions qui reposent sur un fondement dogmatique, et dont l’Eglise catholique peut être considérée comme la plus représentative, exercent une contrainte de foi.» Un tel concept de la vérité est donc, à l’évidence, incompatible avec le concept catholique de la vérité, tant du point de vue de la théologie naturelle que de celui de la théologie révélée. Le concept des religions chez les francs-maçons La conception franc-maçonne de la religion est relativiste; toutes les religions sont des tentatives concurrentes pour exprimer la vérité sur Dieu qui, en définitive, est inaccessible. Chaque maçon se fait de Dieu l’idée qu’il veut à travers sa capacité d’interprétation des rites et des symboles maçonniques. Quoi d’étonnant, dès lors, qu’on ne puisse tolérer, en Loge, aucune discussion sur les problèmes religieux? Si l’on accepte d’appartenir à une religion, ce sera forcément une religion «où tous les hommes sont d’accord». Cette conception relativiste de la religion est évidemment incompatible avec la conviction fondamentale du Christianisme. Le concept de Dieu chez les francs-maçons Dieu est considéré comme le «grand architecte de l’univers » avec lequel, pourtant, il est impossible d’établir des relations personnelles. C’est l’Esprit ordonnateur du monde et chaque homme, à quelque religion qu’il appartienne, peut s’en faire une libre représentation. Il ne reste rien de la présentation de Dieu dans la religion catholique où on le voit comme Père, Seigneur et Amour. Ce grand architecte de l’univers n’est donc pas un Dieu qui se révèle et qui dévoile son Visage… L’idée de tolérance chez les francs-maçons Le catholique entend généralement par «tolérance» la patiente acceptation qui est due aux autres hommes. Chez les francs-maçons, au contraire, domine la tolérance à l’égard des idées, quelque opposées qu’elles puissent être entre elles. L’ Internationales Freimaurer Lexicon précise que «c’est du relativisme que découle le point de vue des francs-maçons sur les problèmes du monde de l’humanité… le relativisme étaie la tolérance par des arguments rationnels. La franc- maçonnerie est l’un des mouvements qui sont nés à la fin du Moyen Age, en réaction contre le caractère inconditionnel de la doctrine de l’Eglise et l’Absolutisme politique, en réaction contre les fanatismes de tous ordres.» La fidélité à la foi et la reconnaissance du Magistère de l’Eglise catholique sont donc ébranlées par cette conception. Les actions rituelles de la franc-maçonnerie Les trois rituels des Degrés d’Apprenti, de Compagnon et de Maître présentent, sous des paroles et des symboles, un caractère similaire à celui d’un sacrement et donnent faussement l’impression que s’accomplit ainsi quelque chose qui transforme l’homme. L’initiation symbolique est perçue comme une transformation sacramentelle. Le perfectionnement de l’homme Les rituels d’initiation donnent aussi l’impression que le perfectionnement éthique est absolutisé. Il n’y a plus de place pour la justification de l’homme au sens chrétien ni pour la grâce de Dieu. Le Baptême, la Réconciliation et l’Eucharistie sont déclarés inutiles car l’illumination et le dépassement de la mort sont déjà exprimés par les trois degrés fondamentaux. Dans le rite du maître, il est dit: «Quelles vertus doit posséder un maître? La pureté du coeur, la vérité dans les paroles, la prévoyance dans les actes, l’impavidité devant le mal inévitable et un zèle infatigable quand il s’agit de faire le bien.» (Rituel III, p. 66) La spiritualité des francs-maçons Les membres de cette secte doivent présenter une adhésion totale qui réclame d’eux une appartenance à la vie, à la mort… Il n’y a donc aucune place pour une prise de conscience libre. On connaît la fraternité athéiste du «Grand Orient de France» et la «Grande Loge Nationale» qui existe en Allemagne. Les membres de cette dernière se nomment également «Ordre Franc-Maçon Chrétien». Mais cette franc-maçonnerie chrétienne ne se trouve aucunement en dehors de l’organisation fondamentale franc- maçonne: on y recherche simplement une plus grande possibilité pour unir l’une à l’autre la franc-maçonnerie et la croyance chrétienne subjective. Pour autant, cette réalisation est toujours théologiquement inacceptable car les réalités fondamentales de la révélation du Fils de Dieu incarné ainsi que sa communauté avec les hommes ne sont comprises que comme les variantes possibles de la vision du monde francmaçon et, en outre, ne sont reconnues que par une petite fraction des francs-maçons. Le Concile Vatican II n’offre aucune base pour une entente avec les francs-maçons ni pour une reconnaissance de leur esprit. Il répète la condamnation des erreurs, indépendamment du devoir d’amour envers les personnes. Le Concile exhorte donc au respect et à l’amour de «l’individu maçonnique» en tant qu’homme mais non à la reconnaissance de sa doctrine qui est en opposition avec la foi. Au sujet de la vérité, l’inconciliabilité de la position des maçons et la foi de l’Eglise exclut totalement la possibilité d’une appartenance simultanée à l’Eglise et à la Maçonnerie. Pour pouvoir être un vrai maçon, le catholique devrait concevoir sa foi comme une opinion subjective, mais elle ne serait plus, alors, la foi de l’Eglise, car l’Eglise est fondée et demeure sur la Vérité. La foi serait privée ici de la base objective, celle de la vérité universellement valable, elle serait finalement ramenée, au plan de l’être, au simple niveau de la conscience. Elle serait ainsi dépouillée de sa force authentique et de son essence même. (Cf. la Documentation Catholique du 3 mai 1981) Devant un tel danger pour la foi et la connaissance de Dieu, devant le danger que court son Eglise, on comprend la force, presque la violence, avec laquelle le Seigneur, dans ces nouveaux messages, dénonce à sa confidente Françoise les véritables buts que poursuit la franc-maçonnerie. Il n’hésite pas à montrer du doigt l’infiltration des membres de la secte dans les rangs mêmes de l’Eglise. Il promet justice et purification car Il veut une Eglise Sainte, une Eglise de Lumière… Le Père Spirituel de Françoise Mercredi 10 juillet 1996 Jésus le Christ te dicte: Cette oeuvre que Je te donne à présent a pour but d’ouvrir les yeux de ceux qui ne connaissent pas le fléau que cache la franc-maçonnerie: Satan. Que ceux qui ont des oreilles entendent. Que ceux qui veulent voir voient. Que ceux qui veulent combattre Satan se lèvent. Et enfin, que l’amour soit, dans les coeurs. Amen. Jésus-Christ Mercredi 10 juillet 1996 Jésus-Christ te dicte: Le fléau de Satan La franc-maçonnerie a pour but la destruction totale de l’humanité; c’est Moi, Jésus-Christ, Fils de Dieu et de Marie, qui vous le dis: ce uploads/Religion/ la-franc-maconnerie-dieu-en-parle.pdf
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- Publié le Sep 15, 2021
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