1 PLAN INTRODUCTION I-LA NAISSANCE DE L’HUMANISME 1-la doctrine de l’humanisme
1 PLAN INTRODUCTION I-LA NAISSANCE DE L’HUMANISME 1-la doctrine de l’humanisme 2-les fondateurs de l’humanisme 3-les reformes de l’humaniste II-LES GRANDS PRINCIPES DE L’HUMANISTE 1-les principes au niveau politique 2-les principes au niveau culturelle 3-les principes au niveau religieux III-LES DIFFERENTES REPERCUSSIONS DE L’HUMANISME 1-les impacts politiques 2-les impacts religieux CONCLUSION 2 INTRODUTION Italie au XVème siècles à la renaissance et rependu dans toute l’Europe, rompant avec la forte influence de l’église et la pensée religieuse du moyen âge. Le théocentrisme (Dieu en tant que centre de tout) cède la place à l’anthropocentrisme, c’est-à-dire l’homme devient le centre d’intérêt. L’humanisme fait émerger le concept d’utopie et l’idée de droit de l’universel, idée reprise plus tard par les lumières avec la déclaration universelle des droits de l’homme. Des lors, une problématique se pose : que peut-on dire de l’humanisme ? Dans notre travail, nous présenterons dans un premier temps la naissance de l’humanisme, ensuite les grands principes de l’humanisme et pour terminer nous relaterons les différentes répercutions de l’humanisme 3 I-LA NAISSANCE DE L’HUMANISME Avant toute chose notons qu’il est un mouvement littéraire et artistique née en Italie avec le poètes Pétrarque. Il se propage ensuite à l’ensemble de l’Europe, notamment grâce à l’invention de l’imprimerie par Gutenberg en 1448. 1-la doctrine de l’humanisme D’un point de vue général, l’humanisme est une doctrine morale reconnaissant a l’homme la valeur suprême (et elle s’oppose ainsi au fanatisme religieux qu’à l’étatisme politique qui voudrait sacrifier l’individu a la raison d’état). Son principe de morale est celui de la tolérance ; sa philosophie propre dépend de l’idée d’un progrès de la civilisation vers une forme idéal de l’humanité ou l’homme serait à la fois libre, grâce au progrès technique, l’égard des contingences de la nature et libre à l’égard des autres hommes (sociétés sans classe, sans lutte) grâce à une constitution mondiale. 2- les fondateurs de l’humanisme 4 Le mot ¨humanisme¨ était encore à la mode au lendemain de le seconde guerre mondiale, au point que tous les courant de pensé s’en recommandaient. Sartre démontrait que l’existentialisme est un humanisme, les marxistes ne répugnaient pas à se servi de ce vocable pour définir leur doctrine. Henry de Lubac reconnaissait à certains types d’athéisme une valeur humaniste, et Fernand robert s’interrogeait sur la fortune du mot de la chose en remontant le cours du temps. 3-les reformes de l’humanisme A la fin du moyen âge (476-1492) les chrétiens préoccupés par leur salut et beaucoup soupçonnent l’église de ne pas pouvoir les guider. En effet, pour un bon nombre de penseur, les chrétiens doivent avoir un contact plus limpide avec le maitre suprême selon Martin Luther (1483-1546). Il fut un moine allemand qui critique la vente des indulgences progressivement et entre au fur et à mesure en séparation avec l’église de Rome. Il publie en 1517 ces 95 thèses qui critiquent la vente des indulgences. Dans ces conditions, se fonde une nouvelle église appliquant les principes de Luther : église protestante, ainsi, deux sacrement son maintenu par Luther qui sont le batême et la communion. Par ailleurs, Calvin crée une nouvelle église protestante qui voit le jour à Genève d’où, il prône un respect de la bible plus stricte que Luther et en Angleterre, une nouvelle église protestante apparait sous l’impulsion d’Henry XVIII. II-LES DIFFERENTS PRINCIPES DE L’HUMANISME Ces différents principes de l’humanisme se situent à plusieurs niveaux. 1-les principes au niveau politique 5 Nous constatons que l’humanisme supporte la démocratie et les droits de l’homme en aspirant au plus grand développement possible de chaque être humain. En effet, il maintient que le démocratie et l’épanouissement de l’homme sont les interrogations de droit. De ce fait, ces principes de démocraties et de l’homme peuvent s’appliquer à plusieurs types de relations humaine et ne sont pas restreint aux méthodes du gouvernement 2-les principes au niveau religieux L’humanisme est une réplique à la demande courante d’un choix à la religion dogmatique. Les religions essentielles du monde se basse sur des révélations qui ne changent jamais, plusieurs cherchent à imposer leur vision du monde à toute l’humanité. En effet l’humanisme reconnait une bonne connaissance du monde. Ainsi, il se développe par un processus d’observation, d’évaluation et de révision. 3-les principes au niveau scientifique L’humanisme a pour vision de se servir de la science de façon créative et non de manière destructrice. En outre, pour les humanistes, les solutions aux problèmes se trouves dans la pensée humaine plutôt que dans les interventions divines. L’humanisme prescrit l’application de la méthode scientifique et de la recherche sans limite aux problèmes du bien-être humain. Par ailleurs les humanistes pensent que l’application de la science et de la technologie doivent être modérer par des valeurs humaines. Ainsi, la science nous donne les moyens mais les valeurs humaines doivent proposer les objectifs. III- LES DIFERENTES REPERCUTIONS 1-les impacts politiques 6 A ce jour, les conséquences politiques de la Réforme catholique n’ont jamais fait l’objet d’une monographie. Si l’on peut constater que les innovations religieuses du mouvement de réforme n’ont pas été encore suffisamment étudiées, cela est d’autant plus vrai pour leur impact politique. Les publications sur la Bavière apportent plus d’éléments de réponse à cette question que celles portant sur la France ou la Pologne. Toutefois, cette littérature reste plus descriptive qu’analytique. L’exploration de l’histoire politico-religieuse de la France a été plus novatrice. Elle s’est cependant concentrée sur les guerres de religion et le début du XVIIe siècle, une époque encore marquée par les débats du siècle passé. 2-les impacts religieuses L’homme qui lui livre sa pensée et son cœur, par le vertige des exaltations de la raison devenue toute-puissante. Il se propose d’être une libération, alors qu’il referme sur l’homme les liens d’une captivité tenace. Il côtoie le rationalisme selon lequel « la raison humaine est la mesure de toutes choses ». Ainsi, le mensonge s’installe et se fortifie dans le cœur de l’humaniste, la vérité étant repoussée ; si bien que tout ce qui est surnaturel dans la Bible est regardé comme mythologie ou légende, que tout ce qui outrepasse la compréhension humaine se trouve radicalement rejeté 7 CONCLUSION uploads/Religion/ expose-sur-l-x27-humaniste.pdf
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- Publié le Nov 16, 2022
- Catégorie Religion
- Langue French
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