Table of Contents L’OSCILLATEUR A LONGUEURS D’ONDES MULTIPLES LES RÉSULTATS OBT
Table of Contents L’OSCILLATEUR A LONGUEURS D’ONDES MULTIPLES LES RÉSULTATS OBTENUS OBSERVATIONS MODE D’EMPLOI TRAITEMENT INFLUENCE DE LA NATURE GEOLOGIQUE DU SOL SUR LE TRAITEMENT L’IONISATION PAR L’APPAREIL A ONDES MULTIPLES PROPHYLAXIE L’OSCILLATEUR à longueurs d’onde multiples Georges LAKHOVSKY DANIELLE BOULOIS EDITIONS - Tous droits réservés Janvier 2013 L’OSCILLATEUR A LONGUEURS D’ONDES MULTIPLES Je ne reviendrai pas ici sur mes théories que j’ai longuement développées dans la série de mes ouvrages, Le Secret de la Vie, Contribution à l'Étio- logie du Cancer, L’Oscillation Cellulaire, La Formation Néoplasique, La Terre et Nous. Je rappellerai seulement, en quelques mots, en quoi consiste ma théorie de l’oscillation cellulaire. On sait que toute cellule vivante est composée de deux éléments essentiels, le noyau et le protoplasma, dans lequel il baigne. Ce noyau est lui-même constitué par un grand nombre de filaments tubulaires : les chromosomes. En outre, des centaines de filaments beaucoup plus petits, les chondriomes, baignent dans le cytoplasma (Fig. 1). Fig. 1. — Coupe schématique d’une cellule au stade normal. — Cette figure montre la coupe d’une cellule à son stade normal : au centre, le noyau, de gros filaments tubulaires qui oscillent à une fréquence déterminée (chromosomes). Dans le cytoplasma, d’innombrables petits filaments, les chondriomes, oscillent à une fréquence bien plus considérable, en raison de leur longueur d’onde beaucoup plus petite. Chromosomes et chondriomes sont formés d’un tube en matière isolante (cholestérine, résine, graisse, plastrine, etc...) à l’intérieur duquel se trouve un liquide, sorte de sérum contenant tous les minéraux de l’eau de mer, et par suite, conducteur de l’électricité (Fig. 2). Fig. 2. — Cette figure montre schématiquement deux éléments de la cellule qui jouent un rôle considérable dans la vie cellulaire : un chromosome et un chondriome, à la même échelle. Comme on le voit, le chondriome est beaucoup plus petit que le chromosome et il vibre, par conséquent, à une fréquence beaucoup plus considérable. De sorte que ces filaments constituent des circuits oscillants ultramicroscopiques, susceptibles d’osciller électriquement sur une large gamme de longueurs d’onde très courtes. J’ai montré dans mes ouvrages que ces circuits oscillants cellulaires, chondriomes et chromosomes, vibrent électriquement sous l’action des ondes électromagnétiques ambiantes : ondes cosmiques, atmosphériques et telluriques. Or, de nombreuses causes extérieures et intérieures peuvent provoquer le déséquilibre oscillatoire de ces cellules. Par exemple, la variation du champ des ondes cosmiques, atmosphériques et telluriques, la déminéralisation de la matière organique constituant la substance cellulaire, les traumatismes provoquant la destruction par choc du protoplasma ou du noyau. Dans tous ces divers cas, l’oscillation cellulaire peut s’arrêter : c’est alors la mort de la cellule. Mais dans la cellule morte, subsistent les chondriomes qui continuent parfois à osciller électriquement à leur fréquence propre. Ce cas est heureusement rare, sinon toute l’humanité aurait déjà péri du cancer. Les chondriomes s’enveloppent alors d’une membrane et continuent à osciller et à se multiplier indépendamment de la cellule. Ils peuvent donc devenir des cellules néoplasiques (Fig. 3). Fig. 3. — Figure schématique d’un groupe de cellules mortes, mais non encore détruites, dans lesquelles se forment des cellules néoplasiques. On voit, à côté, des plages entièrement transformées en tissu néoplasique. J’ai cherché à provoquer un choc oscillatoire artificiel pour faire osciller apériodiquement à nouveau la cellule malade ou morte. Au premier abord, ce problème paraît physiquement insoluble, puisque notre corps ne compte pas moins de 200 quintillions de cellules, chacune oscillant sur sa longueur d’onde propre. Il faudrait donc en principe disposer d’autant de longueurs d’onde différentes que de cellules pour faire osciller en résonance chaque cellule de l’organisme. A la suite de nombreuses recherches, je suis arrivé à construire un appareil qui crée un champ électromagnétique, dans lequel se trouvent toutes les fréquences, depuis 3 mètres jusqu’à l'infra-rouge. De sorte que dans ce champ, chaque cellule peut trouver sa fréquence propre pour vibrer en résonance. Nous savons, en physique, qu’un circuit alimenté par des courants de haute fréquence amortie suscite de nombreux harmoniques. J’ai donc eu l’idée de créer un oscillateur à longueurs d’onde multiples, dans le champ duquel chaque cellule pût trouver sa fréquence propre (Fig. 4) Fig. 4. - Oscillateur à longueurs d’onde multiples Appareil complet avec ses deux résonateurs, créant un champ magnétique ambiant entre ses deux éléments. A cet effet, j’ai établi un diffuseur composé d’une série de circuits oscillants circulaires concentriques, chacun d’eux étant suspendu aux autres et, en même temps, isolé d’eux, comme l’indique la figure 4. J’ai ainsi obtenu un oscillateur qui donne toutes les longueurs d’onde fondamentales de 10 centimètres à 400 mètres, c’est-à-dire toutes fréquences de de 750.000 p : s à 3 milliards. Mais chaque circuit émet, en outre, de très nombreux harmoniques, qui, avec leurs ondes fondamentales, leurs interférences et les effluves, peuvent atteindre jusqu’à la gamme de l’infra- rouge et même de la lumière visible (1 à 300 trillions de vibrations par seconde). Comme toutes les cellules et même les chondriomes oscillent précisément sur des fréquences de ces gammes, ils peuvent ainsi trouver, dans le champ d’un tel oscillateur, les fréquences qui leur permettent de vibrer en résonance. LES RÉSULTATS OBTENUS J’ai réalisé en 1930 mon premier oscillateur à longueurs d’onde multiples, qui représentait un perfectionnement appréciable de mon radio-cellulo- oscillateur, avec lequel j’avais, en 1924, guéri du cancer les pelargoniums inoculés avec le Bacterium tumefaciens. Dès 1931, j’ai commencé les applications de mon oscillateur à longueurs d’onde multiples dans divers hôpitaux de Paris : Hôpital Saint-Louis, Val-de- Grâce, Calvaire, Hôpital Necker, Dispensaire franco-britannique, laboratoires de la Fédération Nationale des blessés du poumon et Institut de Physique Biologique. Dans le corps médical, le Docteur Pierre Rigaux et le Docteur Foveau de Courmelles se sont distingués dans les applications de ce nouvel appareil, (qui a été présenté à la Société Médicale des Praticiens le 20 janvier 1933). A l’étranger, cet appareil est déjà utilisé avec succès en Italie, en Espagne, en Belgique, en Hollande, en Suède, en Uruguay, etc... Partout, des résultats dépassant toutes les espérances ont été obtenus. Je reproduis ci-dessous quelques observations cliniques extraites de mon ouvrage La Formation Néoplasique, ainsi que de nouvelles observations reçues plus récemment. OBSERVATIONS Hôpital Saint-Louis. — Mme C... 68 ans. Epithélioma de l’angle de l’œil gauche sur le côté gauche de la racine du nez, datant de trois ans, de la dimension d’une pièce de 50 centimes. Depuis, cet épithélioma est resté dur et ulcérant. Traitée il y a 23 ans par M. Brocq, aux rayons X, pour une tumeur de la face, a été améliorée, mais, depuis, croûte kératosique. Traitement par l’oscillateur à ondes multiples Lakhovsky. Le 8 septembre 1931, après examen, elle déclare que, depuis six mois, elle a perdu la mémoire et, dans la rue, se met à pleurer, sans savoir où elle est, ni où elle va. Début du traitement le 8 septembre. Le 15, à la troisième séance d’un quart d’heure, on note une amélioration de l’état général. Diminution de la dimension de l’épithélioma de l’angle interne de l’œil gauche. La croûte de l’épithélioma a diminué. Progressivement, le sujet recouvre la mémoire. Le traitement se poursuit les 17, 19, 24, 29 septembre. On constate une amélioration progressive et sûre. Mardi 13, jeudi 15 et samedi 18 octobre, la tumeur diminue de plus en plus et la malade déclare qu’elle constate une amélioration générale très sensible. Bon sommeil, bon appétit. Arrêt jusqu’au jeudi 22. La tumeur diminue, il ne reste qu’un petit point ulcéré. La malade déclare qu’elle se sent rajeunie. Le 27 octobre, la tumeur, complètement cicatrisée, est presque disparue. Mais il reste à la palpation, une légère induration à la base. Le 19 novembre, la tumeur a complètement disparu II ne reste qu’une cicatrice sans aucune induration. La physionomie manifeste un rajeunissement réel. Le 19 novembre, les deux tumeurs de l’œil et de la joue ont complètement disparu. La malade déclare toujours qu’elle est nettement rajeunie, retrouve sa gaité et sa joie de vivre et ne s’est pas portée si bien depuis 30 ans. Cette malade conserve une mine resplendissante (Fig. 5 et 6). Fig. 5 - Photographie de Mme C... On voit la tumeur de l’angle de l’oeil, ainsi qu’une autre tumeur de la région sous-orbitraire. On remarque les rides et les points sur le nez qui dénotent la dégénérescence cellulaire chez cette femme malade de 68 ans. Photographie prise avant le traitement. Fig. 6 - Le même sujet, Mme C... guérie de son cancer, avec un épiderme franchement rajeuni. Cette femme, complètement guérie, m’écrivit ensuite la lettre ci-dessous : « Paris, le 3 juin 1932. « Monsieur, « Permettez-moi de venir vous remercier un peu tardivement des soins que vous m’avez donnés, et vous dire qu’il ne se passe pas de jour que je ne reçoive de compliments sur mon état resplendissant de santé et de vigueur. « Des médecins qui m’ont connue avant votre traitement et qui me revoient aujourd’hui en sont émerveillés. L’un d’eux me disait récemment : «Vous êtes rajeunie de vingt ans, ragaillardie, une démarche jeune. « Quel est le nom du médecin qui vous a guérie? uploads/Philosophie/l-x27-oscillateur-a-longueurs-d-x27-ond-georges-lakhovsky 1 .pdf
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- Publié le Mar 24, 2022
- Catégorie Philosophy / Philo...
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