Philosophie de la religion: séminaire de Religion et Vérité Étudiant: Daniel FE
Philosophie de la religion: séminaire de Religion et Vérité Étudiant: Daniel FERRER MORATA Professeur: Philippe BÜTTGEN Master 1 - septembre, décembre 2011 Université Paris 1 Panthéon - Sorbonne UFR Philosophie 1. Introduction 3 2. L’évangile de Saint Jean 4 3. La trinité linguistique 6 4. La trinité de l'existence chrétienne dans Saint Jean 8 5. Bibliographie 13 2 Table de Matières ...................................................................................................................... ......................................................................................................... ..................................................................................................... ..................................................................................................................... ................................................................ 3 1. Introduction Le chemin pour ‘la question que demande par l’Être’ est toujours là. La question plus universelle qui est tout le temps derrière tout demander. C’est aussi la tradition historique qui a demandé par l’Être. Et ce chemin est toujours parcourir le même chemin: dès le début jusqu’à le début. L’arché. C’est-à-dire, le début comme principium et le début comme la direction que le chemin doit prendre. Notre être particulier, l’être de la tradition occidental, a une de ses façons de demander dans le Bible, et par- ticulièrement, dans le Nouveau Testament. C’est-à-dire, nous avons dans le Nouveau Testament un source d’investigation, sur la question que demande par l’Être, comme une sorte de restes archéologique; toujours un chemin, qui est le début, qui a été toujours là et qui, n’importe dans quel temps, on peut demander par notre configuration logique et ontologique plus contemporaine. Le Nouveau Testament est, donc, une sorte de retour à le chemin qui est toujours là et qu’il faut avoir présent en chaque temps qu’un philosophe demande par l’Être. Dans cette mémoire, on étudierai comment la question de l’Être linguistique dans la tradition occidental a un bon ressource dans l’introduction de Saint Jean dans le Nouveau Testament (1:1-10). Dans un premier moment on verrai un petit essai, d’un thèse d’une mémoire plus long, qu’identifie, avec une logique hégé- lienne, le langage, la structure et le Moi (Je) dans une même trinité, et comme cette trinité se déroule dans le texte biblique de Saint Jean (1:1-10). En un deuxième moment on verrai quel sens de vérité se révèle, dans cette manière de lire à Saint Jean, et quel rapport a avec la ‘trinité linguistique’. Et, finalement, dans un troi- sième moment on verrai quel est le sens philosophique de l’évangile de Saint Jean par rapport à la deuxième partie de la mémoire et l’aide de le texte original en grecque et latin pour approfondir dans le sens original et philosophique des catégories grecques. 4 1 Au commencement était celui qui est la Parole de Dieu. Il était avec Dieu, il était lui-même Dieu. 2 Au commencement, il était avec Dieu. 3 Tout a été créé par lui ; rien de ce qui a été créé n'a été créé sans lui. 4 En lui résidait la vie, et cette vie était la lumière des hommes. 5 La lumière brille dans les ténèbres et les ténèbres ne l'ont pas étouffée. 6 Un homme parut, envoyé par Dieu ; il s'appelait Jean. 7 Il vint pour être un témoin de la lumière, afin que tous les hommes croient par lui. 8 Il n'était pas lui-même la lumière, mais sa mission était d'être le témoin de la lumière. 9 Celle-ci était la véritable lumière, celle qui, en ve- nant dans le monde, éclaire tout être humain. 10 Celui qui est la Parole était déjà dans le monde, puisque le monde a été créé par lui, et pourtant, le monde ne l'a pas reconnu. ‘Au commencement était celui qui est la Parole de Dieu.’ L’évangile de Saint Jean, dès le début, a une évident intention de reformulation -ou refondation- de le commencement. C’est l’actualisation chrétienne de le Ge- nèse, filtrée par des catégories de la philosophie grecques et la synthèse avec le nouveau esprit chrétienne. Le Genèse est une explication, on peut dire, populaire, folklorique, des histoires de la tradition d’un peuple qu’ont été compilées par des écrivants long temps après; au contraire, ‘le commencement’ de Saint Jean a une forte façon abstraite, philosophique. Il n’y a pas le Pare-Demiurgos qui crée le ciel, la terre, les animaux et l’homme; Dans l’évangile de Saint Jean se trouve un travaux très intellectuelle pour rassembler l’ancienne pensée des juifs avec la ‘bonne nouvelle’. C’est en Saint Jean où se trouve l’origine de la trinité du Pare, Fille et l’Esprit. Le langage intellectuelle de Saint Jean se trouve dans l'absence d’aucun référence temporel, et aussi le grand effort de conceptualisation de sa pensée. Chaque objet n’est pas une référence direct à une chose immédiat, où la lumière n’est pas la lumière du soleil, ou les ténèbres ne sont pas l’obscurité dans la nuit. En lui il y a la création de la pensée chrétienne et la divinisation de Christ. En lui il y a l’acceptation de ça que la tradition chrétienne acceptera de la pensée philosophique grecque et ça que le christianisme refusera complètement. Ce lui qui détermine définitivement la pensée -raison, logos, langage, parole- comme le fin ultime de tout réfléchir pour le christianisme. Sera la raison avec laquelle Saint Augustin aura ses dialogues à Soliloques1, ou le cogito cartésienne. Sera qui détermine pour l’église catholique la substance divine de l’homme fil de Dieu. En ces premiers versets, avant d’analyser le sens et la logique philosophique qu’il y a, on doit voir clairement de quelle manière sont composée les six idées principaux. 1 (Jn (1:1-2)) Dans le commencement il y avait la Parole, la Parole fut Dieu. Cet-à-dire, la Parole a été toujours hors du temps, parce qu’elle est Dieu-même; donc, Dieu est, aussi, la Parole en autre façon de l’être de Dieu. 2(Jn (1:9)) La Parole venu au Monde, dans le sens que la Parole n’était pas dans l’existence du Monde, elle n’était pas visible et, tout à coup, elle a ap- paraît. 3 (Jn (1:10)) Mais, si la Parole a été toujours au commencement, si la Parole a la même essence que Dieu, et la Parole a été Dieu même, la Parole a été toujours dans l’existence. On pourrait objecter qu’ici il y a une contradiction, mais il y a une contradiction apparemment. Ce que Saint Jean veut dire sont ces doux 2. L’évangile de Saint Jean 1. Cf. bibliographie. 5 idées: la Parole vient a l’existence, mais au même temps elle a été toujours dans la création. Cet-à-dire, 4 (Jn (1:9)) la Parole que vient a l’existence vient sur un monde, un monde que a déjà été crée par la propre Parole. Alors, ici il y a une distinction de la nature de la Parole. Il y a une Parole dans le début, que a été toujours là. Maintenant, chrétiennement, on peut identifier cette premier Parole 5(Jn (1:1)) avec Dieu même, la Parole a été le maître, le moteur, l’arché de le monde existant. Et encore, hégélienement, la Parole premier est la Raison -l’Être en-soi-. La deuxième Parole que a venu au monde est Christ. Il y a pas de contradiction. 6(Jn(1:9)) Christ, ou la Parole, est de la même nature que Dieu. Et, hégélienement, plus facile de révéler pour nous les philosophes, on peut dire que cette deuxième Parole, que vient a l’existant, est la même Raison créatrice du début, mais, maintenant, elle a conscience de soi -l’Être-pour-soi-; elle se pose a soi même. Dans une premier explication de la chose que Saint Jean explique ici (Jn (1:1-10)), on peut commencer a voire de quelle façon ces versets sont liés avec la philosophie et sa histoire. 6 Une des textes plus abstraites et d’une importance capitale sur le devenir philosophique est la Wissenschaft der Logik2. Là on peut contempler la création du monde concret, l’existence, ou la détermination de la sphère de l’être humain, ou de la pensée. Le chemin parcouru par Hegel a une semblante avec la création chrétien, mais, au même temps, dans la philosophie hégélienne il y a une conceptualisation et abstraction énorme que n’existe pas, au cet niveau d’auto-conscience qu’arrive la philosophie de Hegel. Le début hégélienne est la pure abstraction: l’Être; au même temps, un Être que pour la pensée est pure Néant, parce que la raison, ou la pensée humain, ne peut dire ou penser pas rien. Cet-à-dire, il y a pas aucune concrétion ou détermination. On peut dire, aussi, que cet Être a une identification avec l’idée chrétienne de Dieu, et aux même temps, peut être qu’une identification plus forte avec le Dieu juif; YHVH. ‘(Exode 3:13- 14) Mais s'ils me demandent : « Quel est son nom? » que leur répondrai-je? 14 Alors Dieu dit à Moïse : Je suis celui qui est’3. Le Dieu qu’apparaît à Moïse est un pure tautologie. C’est l’Être qui est. C’est un Être qu’est pure néant, avec aucune concrétion pour la pensée. La pensée ne peut pas concrétiser avec quelque catégorie la nature de cet Être. La raison humain ne peut pas nommer à Dieu. Dans le devenir de la dialectique hégélienne, dans la Wissenschaft der Logik2, cet Être dans le début perd importance. C’est l’Être que dépasse le Néant et se concrétise dans le devenir intellectuelle, là où la raison peut appréhender et nommer le mouvement d’un uploads/Philosophie/ mini-memoire-de-la-verite.pdf
Documents similaires










-
33
-
0
-
0
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise- Détails
- Publié le Mai 31, 2021
- Catégorie Philosophy / Philo...
- Langue French
- Taille du fichier 0.1308MB