LÉON DEGRELLE LE FASCINANT HITLER! ÉDITIONS DE L 'ÉTOILE MYSTÉRIEUSE KLOW, SYLD

LÉON DEGRELLE LE FASCINANT HITLER! ÉDITIONS DE L 'ÉTOILE MYSTÉRIEUSE KLOW, SYLDAVIE 2006 CHAPITRE PREMIER HITLER, QUEL HITLER ? DEPUIS 1945, le seul fait de parler objectivement d'Hitler - celui-là même qui, entre 1939 et 1942, avait balayé l'Europe depuis Narvik jusqu'au Péloponnèse, depuis le Golfe de Finlande jusqu'aux som- mets du Caucase et amené sous son pouvoir quatre cents millions de personnes - vous vaut d'être voué instantanément à la plus tapageuse des exécrations. I.:Adolf de Berchtesgaden ne peut plus apparaître que sous les traits d'un brigand griffu, d'un asservisseur appâté de sang, d'un reste de gibet. Si vous avez notamment l'audace impie de mettre en doute les chambres à gaz hitlériennes, déclarées monuments de la conscience universelle, une horde de contestataires, rauquant comme des ti- gres, vous saute dessus, vous traîne, par le ceinturon ou par les savates, devant des tribunaux de répression. Racisme irrémissible 1 Vous êtes la honte de la civilisation! Le cas récent des avatars posthumes du plus grand philosophe allemand du xx' siècle, Martin Heidegger, est exemplaire. Il a suffi, pour qu'il fût vomi, qu'on découvrît la déclaration qu'il avait pro- noncée en 1933, lorsqu'on lui avait offert, en Allemagne, une chaire d'université: Pour moi, il est clair que, mettant de côté tout motif personnel, j'entends accomplir la mission qui me permettra de servir de la meilleure façon le travail d'Adolf Hitler. Une fois démasqué comme un hitlérien de 1933, le célèbre Hei- degger, loué partout la veille par la gauche unanime, devint, sur l'heure, un rebut de la philosophie! Son infamie, aussitôt, fut cor- née par toute la presse de l'univers. 7 LE FASC I NAN T HI TLE R! Comme on a pu le lire dans le Figaro-Magazine du f' avril 1 989, sous la signature d'Henri Amouroux: Les Allemands ne pouvaient pas avoir raison parce qu'ils étaient "en- nemi, et que l'ennemi ne peut jamais avoir raison. A force de submerger Hitler sous les accusations de liquidation au gaz de millions - toujours croissants - de Juifs, à Auschwitz ou ailleurs, les aboyeurs étaient convaincus qu' ils empêcheraient définitivement les foules de connaître quoi que ce fût d'authen- tique sur Hitler; sur son accession au pouvoir, hissé, pourtant, et constamment, sur les épaules du peuple allemand (il obtiendrait 91 Ofo des voix, sous con/rôle allié, dans la Sarre en 1 935 !), sur sa ré- forme sociale d'avant 1 939; sur l'épopée que fut, de 1939 à 1 945, la plus fantastique guerre sur terre, sur mer, dans les airs, que connut jamais notre planète. C'est pour cette raison qu'avant de parler de cet Hitler-là - le vrai ! -, il est indispensable de soumettre à l'examen les accusations sous lesquelles une propagande furibonde l'a presque enseveli, après la victoire de Staline, des Juifs et de leurs mentors américains le 8 mai 1945. Avec le temps, quelques historiens libres d'esprit, reniflant des exagérations dans le battage géant de l'Holocauste et de ses vingt succédanés mélodramatiques, crurent décent de faire face scientifi- quement aux avaleurs de charrettes et gratter un peu le terrain sous le soc des «chambres à gaz ". Après 1 945, les propagandistes des « démocraties" avaient in- tensément débité leur drogue. Longtemps on put croire que les chercheurs indiscrets ne semaient que sur le sable. Cent témoins - un curé compris - avaient vu, de leurs yeux vu, ces chambres à gaz 1 Ils les avaient parcourues le jour, la nuit, dans tous les sens, à Dachau, à Buchenwald, à Mauthausen. Dragons de vertu, ils les avaient décrites jusqu'au dernier remâchement dans d'innombra- bles livres apocalyptiques. 8 LE FASCINANT HITLER! -,. Or, ces fameuses «chambres à gaz» de Dachau, de Buchenwald et d'une série d'autres camps du Reich n'avaient - c'est maintenant officiellement établi -jamais existé. Vous trépignez de fureur à lire une telle affirmation? .. Calmez-vous. Cette affirmation, c'est le plus farouche des intellectuels antinazis de l'après-guerre qui l'a émise. Elle a été prononcée par le D' Martin Broszat, celui-là même qui allait devenir le directeur du fameux Institut jür Zeitgeschichte. Cet «Institut d'histoire contemporaine» est le très puissant organisme chargé par la République fédérale d'Allemagne de disséquer les restes du III' Reich. Et voilà! le D' Broszat, fleur de l'antifascisme, a bien dû déclarer, le 19 août 1960, dans le journal Die Zeit, en des termes on ne peut plus formels, qu'après quinze années d'études, d'analyses et de confrontations, il lui fa llait conclure qu'aucune chambre à gaz n'avait fonctionné dans quelque camp que ce fût sur toute la superficie du territoire de l'ancien Reich. Pas possible! vous écrieriez-vous. Prenez vos lunettes et lisez le texte exact du D' Broszat: Ni à Dachau, ni à Bergen-Belsen, ni à Buchenwald, des Juifs ou d'autres détenus n'ont été gazés. Le D' Broszat fut on ne peut plus net dans une autre lettre, en date du 17 juillet 1961, envoyée à un correspondant suédois et pu- bliée par le révisionniste suédois Ditlieb Felderer dans Auschwitz- Exil, quand il précisa : [ ... J non plus que dans les autres camps de concentration de l'ancien Reich [frontières de 1937 'J. 1. Au procès d'Ernst Zündel à Toronto (Canada), le professeur Raul Hilberg, auteur d'un volumineux travail intitulé The Destruction of the European Jews, re- connut que telle était bien la conclusion de son collègue Martin Broszat (Trans- cription sténographique du procès, 7 janvier 1.9B5. p. 1223). 9 LE FASC INANT HITLER! Alors enverrez-vous sous les verrous et déclarerez-vous inéligible celui qui répandra ce texte sensationnel à son compte? Certes, le D' Broszat avait limité à 1' " ancien Reich allemand [frontières de [937] » ses dénégations absolument catégoriques de l'existence des chambres à gaz. JI s'était abstenu d'émettre des affir- mations similaires au sujet des gazages dans les camps situés hors de l'ancien Reich, notamment dans la Pologne, conquise par Hitler en septembre 1939 puis passée sous la botte de Staline en [945. Là donc, Hitler aurait pu se fourvoyer, déraper dans un géno- cide. Même les chênes sont parfois dévorés par leurs chêniers. Alors, à Auschwitz? .. On connaît la vaste polémique suscitée à ce sujet aussi bien en France qu'en Allemagne, en Angleterre, au Canada, aux États-Unis. Celui qui déclencha l'énorme bagarre des chambres à gaz a été, en tout premier lieu, en 1950, Paul Rassinier, ancien déporté, ancien député socialiste. Ensuite, sur sa lancée, apparut, en [974, le professeur Robert Faurisson, un chercheur émérite de l'université de Lyon. Lui aussi, comme le professeur Heidegger, avait été remarqué jadis par la grande presse (Le Monde, notamment) pour la valeur scientifique et littéraire de ses études de textes, qu'elles eussent été consacrées à Rimbaud (1961) ou bien à Lautréamont (1972). Le 29 décembre 1978, il publia, dans Le Monde précisément, un article intitulé " Le "pro- blème des chambres à gaz" ou "La rumeur d'Auschwitz" l ». L'homme de la rue, évidemment, ne dispose pas des moyens de recherches que possède un professeur d'université. JI ne peut pas consacrer dix ans à des investigations. Mais, faisant réflexion, cha- cun pouvait néanmoins, après avoir lu Faurisson, se poser quelques questions de bon sens : l'') Pourquoi, s'il était si simple de gazer des millions de Juifs avec le seul emploi de granulés de Zyklon B, pas plus gros qu'une 2. Cet article fut suivi, le 16 janvier 1979. d'une lettre de réponse au formidable tir de barrage déclenché par son retentissant article. IO LE FASCINANT HITL ER! aspirine, pourquoi les Allemands n'avaient-ils pas utilisé sur place ces moyens, tout simples, dans les pays mêmes où vivaient ces Juifs, en Hongrie, en Serbie, en Grèce, en France, etc., au lieu de trimba- ler interminablement ces Juifs dans des milliers de trains encom- brants, coûteux, à travers toute l'Europe, parmi les complications inouïes des réseaux ferroviaires surchargés de 1942 à 1 944 ' ... ,0 ) Alors que les Allemands, précisément, manquaient de maté- riel roulant à tel point que leurs millions de soldats tardaient de 21 à '3 jours pour arriver, en wagons à bestiaux, au front de l'Est, pour- quoi auraient-ils détourné de leur fonction militaire, pour charrier des Juifs, cent mille wagons et six mille locomotives dont leurs armées éprouvaient un besoin extrême? .. Le transbahutage des Juifs en question a représenté au long des années de guerre des millions de kilomètres de parcours. Si c'était pour amener ces Israélites sur le territoire allemand dans le seul but de les liquider, pourquoi les Allemands n'utilisaient-ils pas sur place ces granulés si peu encombrants de Zyklon B au lieu de recou- rir à d'aussi interminables déplacements par voie ferrée? 3°) Les Allemands, privés de leurs travailleurs, partis comme soldats au front soviétique, devaient amener à grands frais des millions d'étrangers afin que fussent maintenues en activité leurs usines. Alors pourquoi, dans un tel cas de nécessité, eussent-ils été se priver, en la gazant, de l'immense main-d'œuvre juive, gratuite celle-là ? .. 4°) Pourquoi en outre, alors qu'ils éprouvaient, à un point si harcelant, un besoin de collaboration manuelle dans leurs uploads/Litterature/le-fascinant-hitler-96-pages.pdf

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