«Intermédiaire» L ittérature Progressive Nicole Blondeau Ferroudja Allouache Ma

«Intermédiaire» L ittérature Progressive Nicole Blondeau Ferroudja Allouache Marie-Françoise Né CLE INTERNATIONAL www.cle-inter.com jjl 2e ÉDITION avec 650 activités «Intermédiaire» Nicole Blondeau Université Paris VIII Ferroudja Allouache Université Paris VIII Marie-Françoise Né Alliance française Paris-Île-de-France L itté rature Prog ressi ve du Français 2 e ÉDITION avec 650 activités INTERNATIONAL www.cle-inter.com CRÉDITS PHOTOGRAPHIQUES P. 10 : Ph. Coll. Archives Larbor / Bibliothèque nationale de France, Paris, p. 12 : Ph. Hubert Josse © Archives Larbor / Bibliothèque du Musée de Condé, Chantilly, p. 14 : Ph. Coll. Archives Larbor / Bibliothèque nationale de France, Paris, p. 18 : Ph. H. Josse © Archives Larbor / Musée national du Château de Versailles, Versailles, p. 20 : BIS / Ph. Studio J.J. Morlan © Archives Larbor, p. 22 : Ph. Coll. Archives Larbor / Bibliothèque nationale de France, Paris, p. 24 : Ph. Coll. Archives Larbor / Bibliothèque nationale de France, Paris, p. 26 : Ph. H. Josse © Archives Larbor / Musée Condé, Chantilly, p. 30 : Ph. H. Josse © Archives Larbor / Musée national du Château de Versailles, Versailles, p. 32 : BIS / Ph. H. Josse © Archives Larbor, p. 34 : BIS / Ph. J. Arland © Archives Larbor, p. 36 : BIS / Ph. Canonge © Archives lar¬ bor, p. 38 : Ph. Coll. Archives Larbor, p. 42 : ROGER VIOLLET/Harlingue, p. 44 : Ph. H. Josse © Archives Larbor / Musée national du Château de Versailles, Versailles, p. 46 : Bis / Ph Scala © Archives Bordas, p. 48 : BIS / © Archives Larbor, p. 50 : Ph. Jean Tarascon © Archives Larbor / Musée Antoine-Lécuyer, Saint-Quentin, p. 52 : Ph. Hubert Josse © Archives Larbor / Musée Lambinet, Versailles, p. 54 : Ph. H. Josse © Archives Larbor / Musée national du Château de Versailles, Versailles, p. 56 : Ph. Guiley-Lagache © Archives Larbor, p. 60 : © RUE DES ARCHIVES, p. 62 : Ph. H. Josse © Archives Larbor / Musée national du Château de Versailles, Versailles, p. 64 : Ph. Coll. Archives Larbor / Bibliothèque nationale de France, Paris, p. 66 : Ph. Hubert Josse © Archives Larbor / Musée national du Château de Versailles, p. 68 : BIS / Ph. © Archives Nathan, p. 70 : BIS / © Archives Nathan, p. 72 : Ph. J.L. Charmet © Archives Larbor / Musée Carnavalet, Paris, p. 74 : Ph. S. Guiley-Lagache © Archives Larbor/ Musée national du Château de Versailles, Versailles, p. 76 : ROGER VIOLLET, p. 78 : Ph. Coll. Archives Larbor, p. 80 : BIS / © Archives Nathan, p. 82 : BIS / Ph.© Archives Nathan, p. 84 : Archives Nathan/Dr, p. 86 : BIS / Ph. X - Archives Larbor - DR, p. 88 : Ph. Coll. Archives Larbor/ Bibliothèque nationale de France, Paris, p. 90 : Ph. Nadar - Coll. Archives Larbor, p. 94 : Ph. Michel Didier © Archives Larbor/ Bibliothèque nationale de France, Paris, p. 96 : © archives Nathan, p. 98 : ROGER VIOLLET, p. 100 : ROGER VIOLLET/Martinie, p. 102 : ROGER VIOLLET/ Lipnitzki, p. 104 : © JP Laffont/Sygma/CORBIS, p. 106 : ARCHIVES LARBOR© Seuil, p. 108 : BIS / Ph. © Archives Nathan, p. 110 : Ph. H. Martinie - Coll. Archives Larbor, p. 112 : ROGER VIOLLET/Lipnitzki, p. 114 : Ph. Jeanbor © Archives Larbor, p. 116 : Ph. © L. Monier / Gamma/T., p. 118 : ROGER VIOLLET/Harlingue, p. 120 : © Maurice ROUGEMONT/Opale, p. 122 : © Marion KA LTE R/O pale, p. 124 : © Jacques SASSIER/ GALLIMARD/Opale, p. 126 : Ph. P. Pascal © Archives Larbor, p. 128 : Ph. © L. Monier / Gamma/T., p. 130 : © Witi deTera/Opale, p. 132 : ROGER VIOLLET/Lipnitzki, p. 134 : © Annabelle GUERRERO MENDEZ/Opale, p. 136 : Ph. Patrice Pascal © Archives Larbor, p. 138 : © AFP, p. 140 : © Catherine HELIE / GALLIMARD/Opale, p. 142 : © Monique RUBINELVOpale, p. 144 : © Ph. Gauthier/Sipa press, p. 146 : © Cedric MARTIGNY/Opale, p. 148 : © John FOLEY/Opale, p. 150 : © Louis Monier/Rue des Archives, p. 154 : © Albert Harlingue / Roger-Viollet, p. 156 : © Fabian Cevallos/ Sygma/Corbis, p. 157 : © Philippe MATSAS/Opale, p. 158 : © John FOLEY/Opale, p. 159 : © Basso CANNARSA/Opale, p. 160 : © John FOLEY/Opale, p. 161 : © Philippe MATSAS/Opale, p. 163 : © Joseph FORD/Opale, p. 164 : © Hannah/Opale, p. 165 : © Beowulf SHEEHAN/PEN/Opale, p. 166 : © Basso CANNARSA/Opale, p. 167 : © Catherine HELIE / GALLIMARD/Opale, p. 168 : © Basso CANNARSA/Opale, p. 169 : © Cedric MARTIGNY/Opale. Direction de la production éditoriale : Béatrice Rego Marketing : Thierry Lucas Édition : Sylvie Hano Couverture : Fernando San Martin Mise en page : Arts Graphiques Drouais (28100 Dreux) Recherche iconographique : Laetitia Guillemin Enregistrement : k@production © CLE International SEJER, Paris, 2013 ISBN : 978-2-09-038147-4 © CLE International 2013. La photocopie non autorisée est un délit. Avant Un enseigne¬ ment de langue qui ferait Cimpasse sur la littérature me paraît être un barbarisme. Harald Weinrich. -Propos- La Littérature progressive du français réinstaure la littérature parmi les sup¬ ports d’apprentissage de langue et de culture étrangères ; elle en avait été exclue par certaines méthodologies, puis réintégrée par l’approche communi¬ cative, mais parfois sans réel accompagnement pédagogique. La place de la littérature dans l’enseignement/apprentissage de la langue Ce n’est pas une place en soi ni à part, mais une place légitime parmi tous les discours socialement produits servant de matériaux pédagogiques. À la diffé¬ rence de certains documents audientiques, le texte littéraire n’est pas péris¬ sable. S’y expriment les aspirations pérennes des humains, échos se répondant de siècle en siècle, l’expérience subjective du monde, le rapport singulier au langage, aux savoirs constitués, aux codes sociaux, aux représentations des autres et de soi-même. C’est l’un des moyens d’accès à la compréhension de formes culturelles différentes. L’autre spécificité du texte littéraire est sa littéra¬ rité, c’est-à-dire le fait qu’il supporte une multiplicité d’interprétations (ce qui ne signifie pas que toute interprétation soit possible !). À chacun de l’investir en fonction de ses compétences culturelles, linguistiques, de ses pratiques de lecture, de sa sensibilité et de sa fantaisie. C’est dans la littérature aussi que se révèlent les infinies potentialités de la langue. Le niveau L’ouvrage s’adresse à un public d’étudiants ayant suivi 200 à 250 heures d’enseignement de français. Les textes Ils appartiennent, pour la plupart, au patrimoine littéraire français, concernent tous les genres et sont connus de la majorité des élèves parve¬ nus en France à la fin du lycée. Ce sont des « classiques ». D’autres font partie de la littérature francophone ; d’autres encore témoignent d’évolu¬ tions récentes de l’écriture romanesque. Nos choix - Nous avons féminisé quelques noms Çauteure, écrivaine, professenre), comme le Québec le fait déjà depuis de nombreuses années. - Nous avons tenu à ce qu’au moins une écrivaine soit présente par siècle. - Aucun passage n’a été éliminé à l’intérieur des extraits choisis. - Aucun exercice de grammaire ou de vocabulaire n’accompagne les acti¬ vités pédagogiques. La littérature n’est pas un prétexte à ce type de travail. La norme grammaticale est parfois impuissante à exprimer une pensée singulière : l’auteur joue souvent sur les écarts par rapport aux modèles. En revanche, la grammaire et le lexique sont interrogés lorsqu’ils révèlent une intention particulière de l’auteur, participent de la spécificité du texte. - Chaque texte porte le titre de l’ouvrage dont il est extrait : donner un titre à un passage, c’est déjà influencer sur la lecture. 3 vant-Propos Notre pacte pédagogique - Faire confiance aux étudiants : même si leur niveau de langue n’est pas encore adapté aux difficultés (quelquefois supposées) des textes, leur expérience du monde, leurs compétences de lecteurs en langue maternelle sont transférables à l’écrit étranger. Le texte préserve ainsi « ses droits », et l’étudiant son statut de lecteur. - Désacraliser la littérature pour tous ceux qui ne se sentent pas auto¬ risés à la fréquenter. Le rapport aux objets culturels est socialement construit. Il n’y a pas de sensibilité innée à la beauté de la littérature. La culture cultivée s’acquiert par apprentissage. Les nombreuses médiations, explicitations, mises en lien et en perspective donnent la clé du code d’accès à l’appréhension pertinente de l’œuvre. C’est le rôle des enseignants de transmettre cette clé. - Accepter la paraphrase (comme nous le faisons dans certaines ques¬ tions), qui est un indice de l’appropriation du texte par l’étudiant. - Accueillir les interprétations des étudiants sans les évaluer négati¬ vement, même si elles ne correspondent pas à ce qui est attendu. Les lectures insolites viennent parfois de prismes socio-culturels. Il s’agit d’analyser ces représentations pour opérer le passage à celles présentes dans le texte. Soulignons que le corrigé est un guide pour l’utilisateur et non une référence absolue. - Reconnaître les valeurs du passé simple, temps verbal utilisé dans de nombreux textes littéraires, sans qu’il soit nécessaire d’en apprendre les formes. Les objectifs - uploads/Litterature/ litterature-progressive-du-francais-niveau-intermediaire-pdf.pdf

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