Remerciez-le!

Remerciez @Admin pour avoir partagé cet document gratuitement, de la manière la plus simple, en partageant sur les réseaux sociaux.

15/03 CM LC King Lear I. Histoire et structure de la pièce A. Sources et créati

15/03 CM LC King Lear I. Histoire et structure de la pièce A. Sources et création KL est un roi mythique de l'an 800. Dénouement différent se réconcilie avec Corélia. S’ajoute une intrigue secondaire.1608 première fois jouée devant Jacques 1er. Elisabéthain jusqu'en 1603 et Jacobéen. KL d'abord sur scène de cour avant d'être pour le peuple. Théatre : dans le parterre debout ou dans des loges. Scène dépouillée avec des coulisses, deux portes pour entrées et sorties. Acteurs parlent sur le devant de la scène pr ê bien vu et entendu. Pas un théâtre d'illusion mais de convention = arbre= foret. Beaucoup de sang, de mouvement. Concurrence avec spectacles d'animaux aux alentours. Boulet de canon sur un rail pour faire le tonnerre. Acteurs ont des costumes somptueux pour transporter le spectateur tout repose dessus avec les mouvements de son corps on le voit à 360°. Acte 4 scène 6 : G croise son fils Edgar, qui feint de le mener sur une falaise pour qu'il se jette dans la mer. E lui décrit, lui suggère, G tombe de sa hauteur, s'évanouit et son fils lui dit que les dieux l'ont sauvé. On pense qu'il faut une chute véritable : plan incliné ou se mettre sur le dos d'E pour qu'il perde ses repères. Existence des Dieux ? On voit bien que c'est un stratagème = vrai miracle, loyauté d'E. B. La construction de la pièce – Double intrigue : L et ses filles : deux dél et une loyauté = G et ses deux fils Souligne la déloyauté dès les premières scènes. Aveuglement des pères : L ne voit pas Cordélia et G est seulement pris au piège. Acte 2 : tous les enfants délo se forment en un camp contre les pères. Acte 2 sc4 : trahison des filles de L tandis que seulement act 3 pour Gl. Act 3 ils subissent la misère. Act 4 ils sont réconfortés par leurs enfants loyaux. Cordélia et Edgar = pansent les souffrances de leur père Act 5 punition des méchants mais aussi des loyaux. Tout le monde intervient : emprisonnement de L et Co ; les deux sœurs s'entre tuent ; face à face des deux frères ; contre ordre arrive trop tard C est déjà morte, L meurt ; Glo aussi Symétrie : Edm et Ed ; L et G ; Goneril et Régane ; C et le fou apparaissent complémentaires ( pt-ê le même acteur qui jouait les deux) = leur attachement à L. ; Kent et Oswald. – Double crise Deux apogées dans la pièce : Acte 1 sc 1 : erreur tragique au début Acte 3 sc 2 : nœud, péripétie : L est lucide. On a voulu changer la fin et jusqu'en 1838 la fin n'est pas la même que celle que l'on lit aujourd'hui pour une concordance avec scène du milieu II. Ordre et désordre A. La crise des hiérarchies Copernic : garde univers très ordonné : chaque chose est à sa place = appliqué aussi à la hiérarchie en Angl : une seule structure du brin d'herbe aux Dieux. Désordre dans le monde lunaire : sur la Terre. Révolution et industrialisation qui arrivent nouveaux bourgeois des Amériques = promotion de l'individu. Bcp de pièces de S en rendent compte. Fin de la vertu et la sagesse en politique = fin de l'angélisme politique. Les trag seraient un rempart contre le désordre et contre les guerres civiles que l'on craint. Division dans L : Fr fait la guerre pour rétablir L sur le trône Pr S la monarchie est le moins pire des régimes, il faut s'en satisfaire. Mais roi doit être héréditaire. Division du royaume impossible. Orage engendré par chaos à cause de division royaume. Ressemble à Cendrillon : deux méchantes une gentille : comparaison entre les enfants. Edm n'a pas de place dans la hiérarchie parce que bâtard c'est ce dont il a peur bien que son père veut le faire reconnaître. L pense amour qualitatif pour pouvoir quantitatif. Kent oublie son rang face au roi et se fait exiler. L devient rien lorsqu'il est nu dans la tempête. Les filles jouent rôle de mère. L expérimente ce que c'est que d'ê banni n'ê plus qu'un animal. Hiérarchie bafouée entre enfants et parents et serviteurs et maîtres. Tragédie de la rupture des liens sociaux. Pour C amour par dissociable de devoir. Amour est une donnée première, L’exige des parole pour le prouver. Même banni, Kent se déguise pour protéger son roi. « love » utilisée pour exprimer chacun de ces liens sociaux. Liens de loyauté plus forts que lien filiaux parfois : Ed et les deux filles et Kent envers le roi. « band » et « nature » pour parler des liens du sang. L apparaît en roi père-dieu lorsqu'il demande la stérilité de sa fille. Ses filles ne ressemblent plus à des ê hum et plutôt à des monstres. Ceux qui on brisé l'équilibre divinisent la Nature et sont ceux qui s'adressent à elle. Edm ressemble à un révolutionnaire ( en avance sur le temps). Nature un peu mais pas trop sinon retour au chaos. Déloyauté va avec dénaturé. Gl se fait avoir : il traite Edm avec des mots naturels B. Microcosme et macrocosme : L'homme est au centre de l'univers. L'univers serait un système de signes et de correspondances : signes du zodiac qui référait à des parties du corps. Solidarité h-univers, Edm ne croit pas à ce que crois son père (serait un peu Galilée) : opposition entre féodalité et modernité du temps. Métaphores entre h et animaux : filles de L : serpents, sangliers, centaures,... ; L est démuni et semble devenir un animal. Métaphores avec cosmos : Albany quand il parle de sa femme « qui coupe sa branche elle-même » sève ne coule plus (arbre = famille, société) ; pleurs de C sont comparés à la pluie, son sourire au soleil ; « son esprit est comme le temps » qd on parle de L, s'échangent leurs attributs (lui avec l'orage). Orage personnifié. Image de l'orage jusque dans acte 4. Osmose de plus en plus grande entre L et le cosmos dans l'acte 3. Dernière scène est chaotique : fin dernière, Le hurle comme un loup à déchirer la voûte du ciel. III. Une tragédie du doute : Inversion de l'interprétation des signes. Tirage de Gl qui maudit Ed mais en fait maudit Edm à la fin de la pièce les traite de « villain ». A. Doute sur le langage : Fausse lettre d'Edg et les paroles creuses des filles. G dit « : je vous aime plus que les mots pourraient le dire », elle déguise ses sentiments par des hyperboles. Ré surenchérit dans le vide. C ne peut rien dire de plus puisque ses sœurs ont donné les hyperboles les plus hyperboliques. Nom pas séparable de la chose sinon devient creux : ne peut plus ê roi s'il n'en a plus la fonction. Edm parle double langage des machiavéliens. Dénonce le droit et ment pour obtenir ce qu'il veut. Noirceur d'Edm dans acte 5 sc 3 : envoie une lettre pour faire tuer C. B. Doute sur l'h et sur l'identité : Roi sans trône n'a plus rien et n'est plus rien. L plus considéré comme un roi. L est hors de lui quand on lui manque de reconnaissance. Il devient fou alors même qu'il en est conscient. Le fou apparaît alors pour lui renvoyer une sagesse paradoxale. L n'est plus que l'ombre de lui-même. Colère premier degré de folie acte 2 sc 4. Jeu de mot sur « nothing » et « everything ». Nothing qualifie aussi L : « je suis le Fou et toi rien » ; L croyait en sa propre infinité « je croyais que j'étais tout ». Edg va aider La retrouver une identité sous les traits de Tom. Devient l'emblème de la condition hum dans sa nudité, sa vue apprend a L ce qu'est l'ho dans la métaphysique. L atteint connaissance par la douleur. Act 3 sc 4 : L’arrache ses vêtements et se compare à l'animal. Edg exclu de la soc et apparaît fou. Il va prendre conscience de la condition hum. « L'ho est nu comme un ver ». Ho ne sont que des marionnettes et qui meurent et retournent au néant à la fin de la scène. Act 4 : L est devenu philosophe. L se demande où il est et s'il existe tout simplement. Déguisement et redistribution des identités. L'homme est un néant sans Dieu. Il ne peut que se réfugier dans sa folie. C. Doute sur la Providence : Les dieux sont svt invoqués de manière lexicale surtout. Justice divine qui peut ê païenne ou non. – Lecture chrétienne Affirme existence bien/mal Bons : C, Edg, France,... Ils sont 6 comme ceux qui sont mauvais. L et Gl sont des gens bons qui ont pris une mauvaise décision th chrétiens : souffrance, pitié, amour, repentir, jugement. Pélican symbole du Christ. uploads/Litterature/ litterature-comparee-cm.pdf