Le PRA : Projet de recherche autonome Par Kevin Cameron Travail présenté à M. P

Le PRA : Projet de recherche autonome Par Kevin Cameron Travail présenté à M. Patenaude Dans le cadre du cours FRA4U École secondaire catholique Garneau Le 11 juin 2013 Table des matières Introduction…………………………………………………………………………………… 1 Roman francophone mondiale - Le Maudit………………………………………………….. 2 Recherche sur l’auteur………………………………………………………………... 2 Analyse comparative………………………………………………………………….. 3 Roman francophone canadien – Le secret du coffre bleu…………………………………….. 7 Recherche sur l’auteur………………………………………………………………... 7 Résumé exhaustif……………………………………………………………….……. 8 Compte-rendu critique……………………………………….……………………….. 10 Scène de théâtre………………………………………………………………………. 11 Pièce de théâtre – Au cœur de la rose………………………………………………………... 17 Recherche sur l’auteur…………………………………….…………………………. 17 Critique……………………………………………………………….……………… 18 Conclusion…………………………………………………………….……………………... 21 Liens entre les 3 œuvres…………………………….………………………………. 21 Appréciation globale des œuvres et du travail………………………………………. 23 Bibliographie………………………………………………………………………………… 24 Introduction Le projet de recherche autonome (PRA), est un gros projet comportant quatre tâches d’écriture données aux élèves du cours FRA4U pour nous aider à améliorer notre écriture et notre pensée analytique. Le PRA (FRA4U) est la suite du PRA écrit en 11e année. L’objectif du PRA est de démontrer l’ouverture sur le monde littéraire de la francophonie. Trois œuvres francophones du XXe et XXIe siècles seront choisies, puis seront interprétées individuellement par la suite. La première tâche : lire un roman international francophone de notre choix, où une biographie de l’auteur du roman et une analyse comparative est faite. La deuxième tâche : lire un roman canadien francophone de notre choix, où une biographie de l’auteur du roman, un résumé exhaustif, un compte-rendu critique et une pièce de théâtre est faite. La troisième tâche : lire une pièce de théâtre francophone de notre choix, où la biographie de l’auteur de la pièce et une critique est faite. Finalement, la quatrième tâche : la conclusion, où un lien entre les trois œuvres et une appréciation globale des œuvres et du travail est faite. Dans mon cas, le roman international francophone est Le Maudit, écrit par Myrielle Marc, le roman canadien francophone est Le secret de coffre bleu, écrit par Lise Dion et la pièce francophone est Au cœur de la rose, écrit par Pierre Perrault. 1 Roman francophone mondiale - Le Maudit Recherche sur l’auteure Myrielle Marc est née en 1946 près de Nantes, en France. Elle a perdu son père à l’âge de 5 ans et a vécu avec sa mère en campagne dans la pauvreté. Elle souffrit de doute et de l’absence de son père en jeune âge, lui causant de laisser l’école à quelques reprises, malgré tout, elle se remit toujours à écrire des romans afin de faire sortir ses sentiments. Elle a gradué de l’école secondaire à 23 ans afin de gagner sa vie en tant qu’institutrice. Elle a toujours vécu une vie très seule et isolée des autres. Elle vit encore à la campagne et écrit encore à chaque jour de nouvelles œuvres. Elle a cinq œuvres populaires; Petite fille rouge avec un couteau, Les Portes de Louviers, Le Maudit et deux tomes du roman Orfenor. La plupart des romans ont été publiés il n’y a pas longtemps, mais ils avaient été originalement écrits lorsqu’elle avait environ 20 ans. Le roman Le Maudit a été écrit pendant la période la plus difficile de sa vie; autour de l’âge de 17- 19 ans lorsque la mort de son père l’a vraiment frappée. Elle écrit ce roman pour l’unique et simple raison d’expliquer son point de vue sur la mort de son père, ainsi que de subir une période de deuil moins sévère. Dans son livre, elle fait référence à la torture d’un personnage qui a subit beaucoup de torture à la place de son frère. Ce personnage prit le blâme d’un crime sévère que son frère a réellement commit. Myrielle Marc compare donc ce personnage à son père, en expliquant que son père n’aurait pas dû mourir si tôt. Ce roman l’aida à passer une meilleure période de deuil et de surpasser cet obstacle de sa vie en retournant à l’école. Myrielle démontre aux lecteurs que la persévérance à travers des moments difficiles, dont la mort de son père ou la souffrance d’un personnage dans un roman, a une meilleure fin et qu’il ne faut pas abandonner. 2 Analyse comparative : Nous avons un PRAblème; il ne faut pas lâcher La persévérance est une qualité où une personne continue sans lâcher. Dans certaines situations, la persévérance peut être positive puisqu’une personne continue de travailler jusqu’au succès. Par contre, dans certaines situations, la persévérance peut être négative puisqu’une personne continue de travailler tandis que le succès est impossible, et cette personne ne sait pas quand s’arrêter. Dans le roman Le Maudit, écrit par Myrielle Marc et dans le roman Le secret du coffre bleu, écrit par Lise Dion, les personnages principaux démontrent de la persévérance à travers des moments extrêmement difficiles et cette persévérance leur apporte la réussite. Cette persévérance leur amène aussi la liberté, le rapprochent avec la «famille», et le support des gens de l’extérieur. Dans le roman Le Maudit, le personnage principal, appelé le Maudit, est emprisonné à vie pour avoir «tué» son père, lorsque sont frère à réellement commit le crime. Tout au long du roman, il démontre de la persévérance à vouloir vivre à travers des douleurs extrêmement pénibles. Premièrement, un bracelet est mit à son poignet, donnant des chocs électriques et causant des douleurs pénibles suivie de la perte de connaissance. Il a protesté afin d’enlever le bracelet, sans succès. Il a donc appris à gérer son énergie tout au long de la journée pour les moments où il en avait le plus besoin ; lorsqu’il se faisait électrocutés. Sans cette persévérance d’énergie, un seul choc électrique normal l’aurait tué à l’instant. De plus, avec le temps, les chocs devenaient de plus en plus pénibles. Deuxièmement, il a reçu des coups violents de chaines en fer avec des petits bouts de métal sortant des chaînes à plusieurs reprisent lors de son emprisonnement. Il a souvent eu l’option d’abandonner et de mourir, mais il a toujours voulu survivre pour qu’un jour, il puisse enfin sortir de prison. Un jour, un des gardes demanda au Maudit à la suite de coups violents de fer «Ça doit être difficile de ne pas lâcher.» et le Maudit répondit «Oui. Surtout vers 3 la fin. Mais je ne peux pas lâcher. Je dois sortir d’ici.» (Marc, p.116). À la fin, la persévérance du Maudit le libère de sa misère. Dans l’autre roman Le secret du coffre bleu, Armande, le personnage principal, est mise dans la même situation que le Maudit lors de son emprisonnement dans un camp de concentration pendant la deuxième guerre mondiale. Elle a gravement souffert, mais pour de raisons différentes; tous ses biens essentiels lui avaient été enlevés; le sommeil, la nourriture et l’eau. De plus, elle a été battue quelques fois violement lorsqu’elle travaillait dans l’usine de production. Elle non plus n’a jamais quitté; elle a toujours montré des signes de survis et de persévérance. Elle croyait toujours qu’elle allait sortir de ces lieux, et qu’elle pourrait avoir une famille comme elle a toujours voulu. Armande dit à ses amies «Ne me dites pas que vous ne voulez pas voir le jour où l’on mettra le nez dehors, fières d’être demeurées debout devant le diable?» (Dion, p.173). Son rêve se réalise un jour lors de la libération des prisonniers. Le Maudit et Armande ont démontré que la persévérance à travers la douleur et la souffrance apporte éventuellement la liberté. À plusieurs occasions, dans le roman Le Maudit, le Maudit a rencontré plusieurs autres prisonniers souffrant à travers la même torture que lui. Ceci dit, ces autres prisonniers et le Maudit ont commencé à être plus proches ensemble afin de pouvoir communiquer avec quelqu’un d’autre leurs sentiments. De plus, le Maudit ressentait l’amour des autres gens; de l’amour comme on ressent de sa propre famille. Ceci lui donnait une bonne raison de continuer à persévérer; il ne voulait pas abandonner sa «nouvelle» famille. Dans l’autre histoire, Armande a bâti le même type de relation avec toutes les autres femmes dans le camp de concentration. Elles étaient toutes positives les unes envers les autres et se confiaient les plus petits des secrets afin de gagner l’amour et le respect des autres. Lorsqu’une femme mourrait ou quittait le camp de 4 concentration, le reste des femmes étaient blessées autant que si un membre direct de leur famille mourrait. Les femmes s’entraidaient aussi lorsqu’elles se blessaient physiquement. Elles étaient tellement proches puisqu’elles étaient la seule chose de positif qu’elles avaient. Vers la fin de la guerre avant d’être libérée, une des femmes dit «Nous n’avons quand même pas survécu à tout cela pour mourir maintenant. Secouez-vous, les filles, je sais que c’est difficile, mais il faut sortir d’ici vivantes.» (Dion, p.173). Les femmes disaient souvent des phrases motivantes afin de secouer les autres femmes qui étaient sur le point de lâcher. Ceci dit, Armande et le Maudit se sont regroupés avec les autres, formant de grandes familles pour s’aider à se remettre sur le bon chemin de la persévérance. Finalement, dans le roman Le Maudit, le Maudit gagne beaucoup de uploads/Litterature/ le-pra-12.pdf

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