Le folk-Lore de la France. Le peuple et l'histoire / par Paul Sébillot,... Sour

Le folk-Lore de la France. Le peuple et l'histoire / par Paul Sébillot,... Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France Sébillot, Paul (1843-1918). Le folk-Lore de la France. Le peuple et l'histoire / par Paul Sébillot,.... 1904-1907. 1/ Les contenus accessibles sur le site Gallica sont pour la plupart des reproductions numériques d'oeuvres tombées dans le domaine public provenant des collections de la BnF.Leur réutilisation s'inscrit dans le cadre de la loi n°78-753 du 17 juillet 1978 : *La réutilisation non commerciale de ces contenus est libre et gratuite dans le respect de la législation en vigueur et notamment du maintien de la mention de source. *La réutilisation commerciale de ces contenus est payante et fait l'objet d'une licence. Est entendue par réutilisation commerciale la revente de contenus sous forme de produits élaborés ou de fourniture de service. Cliquer ici pour accéder aux tarifs et à la licence 2/ Les contenus de Gallica sont la propriété de la BnF au sens de l'article L.2112-1 du code général de la propriété des personnes publiques. 3/ Quelques contenus sont soumis à un régime de réutilisation particulier. Il s'agit : *des reproductions de documents protégés par un droit d'auteur appartenant à un tiers. Ces documents ne peuvent être réutilisés, sauf dans le cadre de la copie privée, sans l'autorisation préalable du titulaire des droits. *des reproductions de documents conservés dans les bibliothèques ou autres institutions partenaires. Ceux-ci sont signalés par la mention Source gallica.BnF.fr / Bibliothèque municipale de ... (ou autre partenaire). L'utilisateur est invité à s'informer auprès de ces bibliothèques de leurs conditions de réutilisation. 4/ Gallica constitue une base de données, dont la BnF est le producteur, protégée au sens des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. 5/ Les présentes conditions d'utilisation des contenus de Gallica sont régies par la loi française. En cas de réutilisation prévue dans un autre pays, il appartient à chaque utilisateur de vérifier la conformité de son projet avec le droit de ce pays. 6/ L'utilisateur s'engage à respecter les présentes conditions d'utilisation ainsi que la législation en vigueur, notamment en matière de propriété intellectuelle. En cas de non respect de ces dispositions, il est notamment passible d'une amende prévue par la loi du 17 juillet 1978. 7/ Pour obtenir un document de Gallica en haute définition, contacter reutilisation@bnf.fr. !)K FRANCE 1'\11 'F.¡:HI-r'IIIf', ,t-I. IIR 1.\ ~Ut~It;l'~ UK~ lH'Olli. 'II.Í! LE PEUPLE ET L HISTOIRE AVEC UNE TAULE ANALYTIQUE ~'HABHTtQUE LIBRAIRIE ORIENTALE & AMÉRICAINE E. GUILMOTO. Éditeur M! FOLKLORE PAUL SÉBILLOT <\rt)!Kt'Kf:<tn):'<1h!').t!ËFTt<STM)'0<'OL")E TOME QUATRIÈME 6, Rue de Matières – PARIS i 907 *«?K Y 'Y: ''' ,v;'|t: LÉf FOLK:LÔRE Y ~–~ "', Y ' 4 ,i !i ," V r- TOME QUATRIÈÎWE1 > t i! - LE PEUPLE ET:LJHISTOIRE PRINCIPAUX OUVRAGES DU MÊME AUTEUR fc ~1' .1 1.( 1 (! 1 1Il l. 1 t <= 1 J { ^5/ TRADITIONS VÙSTEÙAtÊÉ/sk t\l .« J'V-s "> » L -~î* W.M.'1', ' '. 1. '«tantes populaires de la Haute-Bretagne; ÇmM* rf« «»W l " “!«<& pêelkumï Contes des ?narins. (ftibljotiiêqttej Charpentier) g1 9.m'i8<CM~a~ 'wl)m~j!).). 51i Contes dès Landes et (tes Grèves. B*uïhss> H, Éjàillièm, pgt|t iù-:gt.I~~Jo.i.t/'I'<1.J't~+.I.;tJj,)k.I".I"" 5." (~ KJtÔA^ de tekm et 4« mpr. Ghitpêntkrv in-S» îlkétré (Êpuiaê) j littérature orale de la Haute-Bretagne; MaisonnetiYe,1 iu-12 '-I ° -I ~1 TIi~.Tll. ~a xx s t = A n 1 x ,i t. a i.. r f'.v v k 'r =,5 = Traditions et superstitions dé la Haute-Bretagne, "Maison- meuve, aîa-ia^laVir. .*• i. Uf.^lt..>+. ,t. ,l,f, h> J, Coutumes populaires de la Haute-Bretagne. Maisonneuve, in-fâ elïéslr, ,>««"i,. ^i.»»^«'j,,a* r., s, r; Petite légende dorée de la Haute-Bretagne.1 (Collection tles BîljiiophiltîsitWd»}, îh^8. -îlliisîré1 « “ 11. 11., 5 Légendes locales de la Haute-Bretagne, t I J Le Monde pltysi- ,<jiie| t, ft. teipeupl^et'iïusiyïiïe,1 ÇÇollecifetf 4es ^Mîèjihites' 'bretossX 2 ta-l^.V,< i(. L Jy-.iV ?». ^•••i. •1|'Ï^ ë Gargantua dans les traditions populaires. JlaisonnotiVG, in-12 j ~6:6vii',h.rf.A.t' ..cx~x.xr.1~ *s u, Le Blason populaire de la P^veasa ($n edlaborâtioa £W«c Henri '^,[-J GaXàcaii; tt2.Cert, in>18 '4 ,.Jr. .•»' 3 SO èootiesâesiBWhieeg de France. ru Gerf^ in-f8». .r.j, 3r30 ^liîttératare orale de l'Auvergne M«d|DTMieaffe.' în-12 eli4rir S liégeades, «*o^anfiés et js^gerstiMoDis'd^'Ia Mer.iHiothft-^ J çfae Chayp'eatier).' ati»-lBk. ;*»., .>1^ f Ir~r Z`ar3~~ !le€s ~èr~lxreùrs~ Jilxiwoiunenve" ®3~~vü' z 1 ")I»erF<ilk-'Co*ê flespèj&lieùïB.jaaisDnueuve^fn-ïaelïÊTir.». ,>.j=; Si Ii^ Coçtuillages id* iner^ ^aîs^aaeuVe^Jî^lâ^îîéviin.. • ^(J, 3 3 SO tïiès TravawiS pabÛCs ei^tes Mines. BôthscMId^îo-8", illnWrê, ',40 Légendes et curiosités des faêhàfk flamûmvion, tb-8°, iEiistré. J â -1 ife^Foik-Jlibre de !grakc% jb. t. têrciel -et 1^ ïjsû-e, B. Ouilinoto, 4 iiKs/î; IL" fit M«r et, J.es.'Baûx^oiiûés. 'E. '.Gnilnaot»^ in-«.p l :Uy' > Ixe^aîk-Ii6re"de Fiineê,,U 1(1. L^^jroe/et'ifk TFlor|E., >J'^ ,.Ó r Gujlmojo, in-8»- ^«, ,t.r' ."•»"' J' ,“ t". "l'ilS' i ¡«; ,1 ), t l r p ~`,nJ, "u~t, 1_L.p. ~:r' 1 1.. f °'p '->'f- 'y['j/> 'ï \pOESlfe ET THÉATKk y i,y, ^^i-. La Bretagne enchantée, poésies sur fdes tMaies* pçopulaireB^ i ;rtais<3iiapir?p> la^l 8>Bteérte' «'•• -à ?;* *T.L rîr. i v «t 4 '"I^bs B»gaiûsm(|s 'ch^Bipète^s, (éptiisé) -i^ r_ f, vi --«' ^i' i'&â-â4er.'#Burî'et, LraBei^ieî in-lîj^viL : ;V. >»'»,» »V-»ïx 3 ÏJa Veillée âà lfôSl» pièce en un acJeTiêpr^sentée ,à; FOrflfliii ^n ~"><iM&JBtiim. MaïsoMBeuveefStikJtrîn-lg.». 'l v ~= ` '°_ 1 ~~n~.`~o~'r~s~^ral~r .;6.T~ "“ .If ¡~,12. 1,- .JL~~F'QLK.LO~ ID ^p^tl^^É&IBE «*NÊBAL OBiA^OOIÉT* BB* THAD1TKJJIS l'UPt'I-VIIIES ,r-, J>9 LA ~OMË QUATR.æt1E -'> f'ti~- l,j' liE PEUPLE ET'.UHÏ^T&IRE ¡ 1 :)0 1 f [f L -¡ ~'J~ J 1 1_l ATBC U»à TAï!LBr ANAtYtfÔnB ET" âUPHA.BÊTIQ«B ` IYr a, r I e ~rr ~`Fxr.~ r r' l. j .r --1 <- {" ¡ 0 ~l ENTAL'F" ~ÀMËRidÀM~ J ,C :8: "(1"Q ILMbTO; L ÉDt}'EUFi 1 .· e/RMd~MéMèr't~.–PASIS, 1 J-K té jY v^RÊ PREMIER V i'; } 1:: l :l t ~1~·xl~Y~( T~·1 · -) --t -"7. -;J 1 liE PRÉHJSTORIQJJR t.E PRÉHISTORIQUE i '1" <' r .r- LE PEUPLE ET VHISTOIBE 1~J'Ik..¡L~ p ` f (r J~r~ <. ,· ,r' 1> -¡ /¡l'f\)' ,1¡-L 1 ~-` ë., 'Jo¡:. '¡, .J J f^-t l {- livre 'premier. ;"• i f- ,J • .E PPtÉHtSïÔm~ r ` ` h.I1~W. r. -1 1, '-l4,Yy' ~4 z. Quoique tes tt^nuinènts de pierfe brute, gui gowt encore nombreux dans notre pays, remontent à une. antiquité recutëe ils flgurent rare- ment dans les écrits antémnrs an XI&* ^îèé^. Q^çatJqpi a âà êh voîç' un assez grand nombre, et qui, lors de son expédition contre les Venètes, a peut-èlrc passé au pied da géant de l'espèce, le grand menhir de Lotîmariaker, ne leur accorde pas nième une mentiou, et Jés géographes grecs ou latins qui décrivent la Gaule n'en parlent pas davantage. Lçs conciles et les capitulatres qkiv à maintes reprweï,1^1*' s'éteenteoattç te culte des^pferfès, n'envisagent CfilIea-^Ci <flk\u poîat devttédes hommag es/qi)rie|«r étaient r©a4lis» et, '^ui s'âdreseaieat 1 sans doute, comme dans les suryivauces contemporaines, aussi bien a»ix blocs natorgls qu'aux rudes simulacres des religions prÎ0iit|ve«, Jjes écrivains du mpysm. 4p!Ies voyag^mis qaî visitent là Pitme© el notent ses cpriQsîlés ne mentionnent guère cég monuments, si ce n'teàt- eoranifi piir Iiasard, et sans paraître y attacher d'importaucei et il n'ost pas toujours cortain qu'il s'agisse dé mégalithes véritables. Ils figurent pins souvent dans des titres seigneuriaux ou ecclésiastiques, en raison deJem rôle dëtjVton&'Qé ndïnagé l telle est la PftM g«& f bertîi^f en B^»y (XIII6*: sîWeU dont le ndm indiqpeT'aa moins une ^royai»cej peipulalre, Igîp aussi tes é'to fatpidtm ereili^ probablement JteS_menhirs de Simàndre • qui servaient de ljtnilé au royaume. d'Arles. Beaucoup ^ptûâ1 tard^ tsn1 i83Ô,' dest teaifaùx 614 tdëfri^iiémeut eséeulés par les. iiioines sur le plateau font découvrir un dolmen, dont la table est traînée sur des glacis jusqu'à leur église, pour servir de marche- ptèft au màïtiie-aTiiteJL1"; lapi'exi1'© levée ûè, Poitiers est toléù eènîine grâce à^àhèiajs.y-11/- , r '-<" 1 -" J ' 's*1' ' •' ^1 1. L. Martinet. Xe Bernt prè/thtoi'iqiifi, p. IM fc.-Gbt&ytier. & àt religion des' peuples, gee~' 4rt~ 7~~b~lc~ ,t~t~xte, ~8~b,p. 28 G"t~id~ ftea~. 4ds~t~tclainedo Ledieu, cité par l'abbé Lafon. Congrès scientifique de France. Rode 1SJ4, p. 38^ V ~J >- w r ) r 1- M PRÉHISTORIQCE •i * » »' L' T{ < C'est au voyageur normand Du Buisson Aubenay (1636), que l'on doit la première mention un peu précise qui comprenne plusieurs méga- lî&es; H signale, le Itéau menhir de Dol, et décrit six tumulus et un dolmen à Locmariaker, et un autre dans une île du Morbihan (Gavri- niâ) /Vers1 Le milieu àa\ X.VUI" f îi«tet, La Sanvagere et Gaylus partent avec détail des alignements de Garnac et d'Erdeven, et notent ceux, de Ûtttberoni de tèroïx et de Belle-Isie, ainsi que divers dolmens. Le Dictionnaire de Miréâtifhe d*0gé6f(lTÎ8-i1ïiû}, ajoute à. «es listes tes dolmens de Dongfis et de Saint-Nic, les menhirs de Combonrget de Guguen, et un alignement a Donges1. Toutefois les auteurs de ces, descriptions, dont quelques-unes sont fort étendues, ne se préoccu- pent guère des idées que ces1 énormes pierres éveillent chez les gens dii' voisinage Les savants qui visitaient èeg monuments, alors appelés celtiques, n'allaient pas tarder à penser qu'elles uploads/Litterature/ le-folklore-de-la-france-i.pdf

  • 43
  • 0
  • 0
Afficher les détails des licences
Licence et utilisation
Gratuit pour un usage personnel Attribution requise
Partager