lantes médicinales à vertus/ pouvoirs magiques Terme vedette 3 Mélisse officina
lantes médicinales à vertus/ pouvoirs magiques Terme vedette 3 Mélisse officinale [\me.lis\] [ ] Etymologie Du latin Melissa abréviation de melissophyllon. Source de l’étymologie https://fr.wiktionary.org/wiki/m%C3%A9lisse Catégorie grammaticale n.f. Définition Plante dicotylédone herbacée (de la famille des Labiacées), à fleurs blanches ou jaunâtres, cultivée dans les jardins. Source de la définition http://stella.atilf.fr/Dendien/scripts/tlfiv5/advanced.exe?8;s=2556946965; Nota bene Originaire d'Europe, elle a été introduite en Amérique du Nord. Contexte „Côté digestion... La mélisse est une plante médicinale qui possède de nombreuses vertus ! Melissa officinalis est d'abord antispasmodique grâce à ses aldéhydes : elle agit ainsi sur les troubles gastriques d'origine nerveuse ou aggravés par le stress (mal de ventre, ulcère, gastrite, remontées acides...)”. Source du contexte https://www.femmeactuelle.fr/sante/sante-pratique/melissa-officinalis-10- remedes-maison-a-base-de-melisse-2086977 Domaine général Botanique Domaine spécifique Phytothérapie Sous-domaine ethnologie Phraséologie Eau de mélisse, euilles de mélisse fraîches, ranches de mélisse Hyperonymes Plante médicinale Hyponyme Melissa officinalis ssp. Altissima, Melissa officinalis Quedlinburger Niederliegende, Melissa officinalis Lemonella, Melissa officinalis Citronella et Melissa officinalis Lime. Ordre Lamiales Famille Lamiaceae Sous-famille - Genre Melissa Source de l’information https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9lisse_officinale Synonyme savant Melissa officinalis Synonymie vernaculaire/vari antes régionales ou populaires herbe au citron, menthe au citron, citronnelle, citronne, citronnade, cédronnelle, ponceriane, ponchérade, poncirade, céline, thé de France, piment des mouches, piment des abeilles, piment des ruches. Source de la synonymie https://booksofdante.wordpress.com/category/les-plantes/page/8/ Commentaire grammatical Empr. au lat. melissa (peut-être att. au VIe s., v. ANDRÉ Bot.; IXe-Xe s. ds Nov. Gloss.), tiré de melissophyllon, gr. «id.», comp. de «abeille» et de «feuille», ainsi nommée en raison de l'attirance des abeilles pour cette plante. Source de l’information lexicographique http://stella.atilf.fr/Dendien/scripts/tlfiv5/advanced.exe?8;s=2556946965; Commentaire encyclopédique 1. «Depuis l’Antiquité, la mélisse a trouvé sa place au sein de pharmacopées de différentes régions géographiques du bassin méditerranéen que l’homme lui a fait traverser. Comme beaucoup d’autres plantes, elle s’est propagée d’est en ouest, débutant sa course d’Asie mineure à une date déjà fort reculée, avant de se retrouver cultivée en Espagne par les Arabes vers l’an 960, et de l’autre côté des Alpes par le biais des bénédictins qui, dit-on, transportèrent la plante davantage au septentrion. Mais n’allons pas trop vite, la mélisse est une plante qui n’apprécie pas toujours d’être brusquée, fée délicate qu’elle est. Chez les Grecs anciens, où on l’appelait melissophyllon, c’est sans doute à Théophraste qu’on doit la plus ancienne mention de cette plante au sein de son Traité. Nicandre de Colophon la présente aussi bien dans Les Thériaques que dans Les Alexipharmaques, puisqu’on est assuré que la macération vineuse de feuilles de mélisse offre un parfait antidote contre les piqûres de scorpion et les morsures de chien enragé, caractère repris par Dioscoride, auquel il ajoute plusieurs propriétés : la mélisse est vue comme diurétique, emménagogue, hypnotique. Le médecin grec use d’elle aussi face à des affections pulmonaires (asthme, dyspnée, toux) et à différentes algies (migraine, douleur oculaire). On peut, à travers ces quelques informations, reconnaître certaines des attributions propres à la mélisse, mais celles qui en constituent le cœur et la cible restent pour l’heure inabordées, comme s’il déplaisait à la belle de livrer tous ses trésors en même temps. Lors du Haut Moyen-Âge (476-888), Macer Floridus, pas encore né, ne peut donc nous farcir les oreilles de répétitions qu’il emprunte, massives, à l’Antiquité gréco-romaine. En dehors de ce qui reste des ruines fumantes de l’empire romain et de l’Antiquité tardive qui n’en finit pas de barboter comme un poisson essoufflé dans une flaque d’eau, on n’a pas grand-chose à se mettre sous la dent. Mais un médecin syrien, qu’on connaît sous le nom de Sérapion (dit le Vieux, pour le distinguer du Jeune, en activité trois siècles après lui), semble être l’un des premiers à attribuer à la mélisse sa vertu de cordial, terme médical tombé en désuétude depuis, et que l’on comprendra à l’aide de la définition suivante : un médicament cordial se dit d’un remède propre à ranimer le fonctionnement du cœur (du latin cor, « cœur »). Ainsi, Sérapion considère-t-il la mélisse comme capable de rendre l’humeur joyeuse (le terme antidépresseur n’est pas encore forgé, mais on comprend l’idée sous-jacente). Voici ce qu’il écrit : « La mélisse réjouit le cœur, aide à la digestion, ouvre les conduits du cerveau, fortifie le cœur défaillant ou affaibli, principalement les défaillances nocturnes, les palpitations et ôte toutes les imaginations fâcheuses du cerveau, principalement qui procèdent d’humeur mélancolique ». Cela prouve un grand sens de l’observation que de relater des propriétés que les Anciens de l’Antiquité ne surent pas même approcher un peu. Un siècle et demi plus tard, c’est au tour d’un autre médecin arabe, plus célèbre encore, Avicenne, d’ajouter une pierre à cet édifice : pour lui, la mélisse est bel et bien un médicament du cœur, permettant de chasser les « vapeurs » mélancoliques et les palpitations nocturnes qui l’assaillent. On ne fait pas encore mention des propriétés stimulantes et antispasmodiques de la mélisse, mais on s’en approche grandement. Le Moyen-Âge central a beau innover en la personne d’Avicenne, cette période historique n’est, par ailleurs, que la redite des paroles des anciens médecins grecs et romains. guêpe ou encore d’araignée (ce qui est plus proche de ses attributions actuelles), sa valeur antalgique sur Source de l’information encyclopédique https://booksofdante.wordpress.com/category/les-plantes/page/8/ Equivalent RO Roiniță Image Source de l’image https://booksofdante.wordpress.com/category/les-plantes/page/8/ Termen vedetă Roiniță Etimologie Din roi(grup compact de albine) + sufixul -niță. Sursa etimologiei https://www.dex.ro/roini%C8%9B%C4%83 Catégorie grammaticale n.f. Definitție Plantă erbacee perenă, din familia labiatelor, cu rizom, orizontal, tulpină înaltă de 30-80 cm, cu frunze ovale și cu flori albe sau liliachii, plăcut mirositoare, așezate în verticile axilare (Melissa officinalis). Sursa definiției https://www.dex.ro/roini%C8%9B%C4%83 Eugen Mihăilescu, Dicționarul plantelor de leac, Editura Călin, București, pag. 116. Nota bene Răspândită în Europa de sud-est precum și în Asia sau Brazilia Context „Extractele de roiniță au fost studiate pentru acțiunea de combatere a stresului oxidativ în organismul uman și, în acest sens, anumiți cercetători au testat-o în rolul de agent inhibitor al acetilcolinesterazei (AchE – acetilcolinesteraza este implicată în transmiterea impulsurilor nervoase prin descompunerea acetilcolinei, o substanță chimică care ajută la transmiterea semnalelor prin terminațiile nervoase) în cazuri de Alzheimer” Sursa contextului https://moodfornature.com/roinita/ Domeniu general Botanică Domeniu specific Fitoterapie Sub-domeniu etnologie Phraséologie Extract de roiniță, ulei esențial de roiniț, infuzie de roiniță Hiperonim Plantă medicinală Hiponim Roiniță lămâiță, Roiniță Quedliburger (taratoare), Roiniță citronella – erecta, Ordin Lamiales Familie Lamiaceae Sub-familie - Gen Melissa Sursa informației https://ro.wikipedia.org/wiki/Roini%C8%9B%C4%83 Sinonim savant Melissa officinalis Sinonim/variantă regională, populară melisă, (reg.) cătușnică, lămâiță, mătăcină, motoacă, răstupeașcă, roiște, stupelniță, buruiana-stupului, busuiocul-stopului, floarea-stupului, iarba-albinelor, iarba-roilor, iarba-stupului, izma-stupilor, mierea- ursului, mintă-turcească, poala-Sfintei-Mării, voioșniță-de-albini Sursa sinonimiei https://ro.wiktionary.org/wiki/roini%C8%9B%C4%83 Comentariu gramatical Roinița este o plantă meliferă și inflorescența ei este vizitată de numeroase insecte; de asemenea din cauza mirosului pronunțat care atrage albinele este folosită de apicultori atunci când capturează un roi (se freacă pereții stupului) sau când vor să unifice două familii; de aici și denumirea plantei (de la roi de albine). Sursa comentariului https://ro.wikipedia.org/wiki/Roini%C8%9B%C4%83 Comentariu cultural “Plantă medicinală bogată în uleiuri volatile, roinița este recomandată pentru stări de anxietate, adesea însoțite de frici (de origine cunoscută sau necunoscută), uneori chiar de palpitații cardiace și de supraactivarea sistemului nervos simpatic (secreții mari de adrenalină și cortizol), hiperhidroză (transpirație excesivă), digestie lentă. Așadar, poate fi folosită intern, atunci când nivelurile hormonale cauzate de stres încetinesc funcția digestivă și excită sistemul cardiovascular. Consumul de preparate pe bază de roiniță scade activitatea tiroidei și reglează activitatea hormonală, putând fi asociată în astfel de afecțiuni cu sunătoare și talpa-gâștei. Roinița poate fi utilizată și pentru inhibarea activității herpesului simplex. În acest caz, tratamentul va include administrarea de lizină, ca supliment alimentar. Eficacitate are și asupra herpesului zoster: tinctura sau infuzia de roiniță din frunze proaspete poate fi utilizată intern, iar extern se fac aplicații cu amestec de ulei esențial de roiniță, diluat în ulei vegetal 1:5. Indicațiile digestive ale roiniței sunt vechi în istorie. Gustul uşor amar revigorează eliberarea sucurilor gastrice. Uleiurile esențiale de roiniţă sunt antibacteriene, astfel că elimină bacteriile ca urmare a fermentării intestinale. De asemenea, proprietățile antispastice ale acestei plante sunt calmante pentru crampele stomacale, mai ales atunci când sunt însoțite de gaze. În acest caz se recomandă asocierea cu menta. Infuzia se consumă după mesele principale, câte două cești pe zi. Gustul său plăcut, cu iz uşor de lămâie, o face un remediu ideal pentru greață și vărsături, la femeile însărcinate, de exemplu, sau la copiii care suferă de gastroenterită” Sursa comentariului https://ziarullumina.ro/societate/sanatate/roinita-o-bariera-in-calea- imbatranirii-premature-163596.html Echivalent FR Mélisse officinale Imagine Sursa imaginii https://ziarullumina.ro/societate/sanatate/roinita-o-bariera-in-calea- imbatranirii-premature-163596.html Termen vedetă Roiniță Etimologie Din roi(grup compact de albine) + sufixul -niță. Sursa etimologiei https://www.dex.ro/roini%C8%9B%C4%83 Catégorie grammaticale n.f. Definitție Plantă erbacee perenă, din familia labiatelor, cu rizom, orizontal, tulpină înaltă de 30-80 cm, cu frunze ovale și cu flori albe sau liliachii, plăcut mirositoare, așezate în verticile axilare (Melissa officinalis). Florile formează o inflorescenţă, culoarea lor schimbându-se pe măsură ce floarea evoluează – la început este gălbuie, pentru ca mai apoi să devină albă sau ușor liliachie. Roiniţa înflorește toată vara, fiind cunoscută ca o plantă meliferă. Crește pretutindeni în flora spontană din România, în zonele de câmpie și deal, în luminișuri, pe pajiști, pe fâneţe și poieni, uploads/Ingenierie_Lourd/ melisse.pdf
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- Publié le Nov 08, 2022
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