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Agriculture Caractéristiques du secteur :  Climat clément  Vastes terrains -é

Agriculture Caractéristiques du secteur :  Climat clément  Vastes terrains -élevage-  Un cheptel important à fort potentiel de valorisation  Un potentiel important d’énergie … Indicateurs sur le secteur :  Superficie agricole utile SAU : 136 000 Ha  Superficie irrigable : 5 543 Ha  Superficie équipée en goutte à goutte : 1 051 Ha  Cheptel Caprins : 302 000 têtes  Cheptel Ovins : 206 000 têtes  Cheptel Camelins : 105 000 têtes Le secteur en chiffres : L’agroalimentaire ; un potentiel important à explorer :  Diversité des filières de production  Le couscous  Les plantes aromatiques Ressources humaines :  Formation  Assistance en matière de recrutement. Pêche Caractéristiques du secteur :  Littoral de vaste étendue (20% de littoral atlantique)  Abondance et diversité des ressources halieutiques  Infrastructure portuaire développée  Industrie forte de transformation liée au secteur de la pêche maritime  Y a encore d’autres caractéristiques qu’on va entamer oralement. Indicateurs sur le secteur :  520 mètres linéaires de quais d’accostages dédiées aux débarquements de la pêche côtière au port de Laâyoune  72 mètres linéaires d’appontements flottants dédiées aux débarquements de la pêche artisanale  16,60 ha de terre-plein affectés aux activités de pêche et de commerce  Un quai de 52 ml et une darse équipée d’un élévateur à sangle d’une capacité de 250 tonnes dédiées à la réparation navale au port de pêche de Laâyoune  Le port de Laâyoune emploie un total de 14.928 marins (2020), dont 13.554 dans la pêche côtière et 1.374 dans la pêche artisanale Le secteur en chiffres :  Débarquement en volume (0,45 mT) : 31% du national  Débarquement en valeur (2,33 MM DH) : 20% du national  Unités de valorisation à terre (48 unités) : 10% du national  Exportation en valeur (4,5 MM DH) : 21% du national  Emplois directs (à terre et en mer) (~ 35.000) : 16% du national Ressources humaines : Opportunités d’investissement : Energies renouvelables Les caractéristiques favorables de Laâyoune  Potentiel solaire : (Disponibilité de plusieurs sites dont la totalité de la surface jouit d’une topographie plane, permettant d’optimiser le rendement de toute future centrale solaire : oralement) - Important gisement solaire, avec une moyenne annuelle de l’irradiation globale horizontale (GHI) allant de 2100 à 2250 kWh/m² - Centrales solaires importantes en phase d’exploitation : Noor Laâyoune I (80 MW) et Noor Boujdour I (20 MW)  Potentiel éolien : Secteur éolien des plus dynamiques du Royaume : oralement - Quatre parcs en service avec une puissance totale de 750  Potentiel marin : - Un potentiel important de production de l’hydrogène vert (compte tenu de la disponibilité des facteurs de production nécessaires à cette filière (énergie éolienne et dessalement de l’eau de mer) : oralement - Un énorme potentiel de production de l’énergie houlomotrice ((énergie des vagues) et de l’énergie marémotrice Ressources humaines  Formation :  Assistance en matière de recrutement Les mines L’extraction de phosphate : La mine de Phosphate Boukraa est située 100 km au sud-est de Laayoune. Il est exploité par phosboukraa. Ce métal est préalablement traité, avant d’être envoyé à une usine de Eye Beach- Marina par des نطاقات automatisées de 98,3 km. Le secteur en chiffres :  Moins de 2% des réserves nationales de phosphate (à vérifier).  2,6 millions de tonnes de capacité minière.  2 300 employés.  19,3 milliards MAD : Valeur Actualisée Nette (chercher définition) (VAN) des Flux de Trésorerie consacrés par Phosboucraa à la région entre 1977 et 2013.  17 milliards MAD : Investissements sur la période 2014-2020  2,6 millions de tonnes : Capacité de production annuelle (roche phosphatée) L’extraction de sel : La région dispose de grandes réserves de sel dont la production demeure artisanale. Ces réserves se présentent sous forme de dépressions naturelles appelés Sabkhats. Les principales sabkhats sont celles de Tazgha, Oum Dbaa, Tislatine, Tizfourine et Oum Trais. Depuis 1991, il est utilisé par Somacile, et la production de sel de l’entité est estimée à 20000 t par an et fournit plus de 500 postes saisonniers : oralement Chiffres clés :  Le nombre d’unités industrielles en 2010 au niveau de cette Région s’élève à 31 établissements  Ces unités emploient environ 500 postes saisonniers.  Le chiffre d’affaires réalisé par ces établissements s’élève durant l’année 2010 à 33 461 millions de dh La production industrielle elle aussi se chiffre à 33 364 millions de dh durant l’année 2010  Les exportations des industries de la place ont réalisé, durant l’année 2010 une valeur de 33 364 millions de dh (oralement : Cette valeur ne représente que 1% de celle réalisée au niveau de la Région Laâyoune Sakai El Hamra)  . Les entreprises industrielles locales ont réalisé aussi en 2010 un volume d’investissement de l’ordre de 1 290 millions dh L’extraction de sable : A reformuler L’industrie A l’exception de Laayoune et de sa banlieue, les villes de Bojdour et Tarfaya sont moins manufacturées que le pôle de la région. Cette supériorité industrielle de la ville de Laayoune est principalement liée à l’infrastructure portuaire de Marsa, qui a été équipée d’une zone industrielle avec un lien important avec les activités de pêche et d’exportation. Même ce développement industriel est le résultat de l’encouragement des autorités centrales et locales et des intérêts compétents Les activités industrielles : Le secteur des industries de la pêche regroupe les activités de la conserve de poisson, de la semi- conserve de poisson, du conditionnement à l’export des produits de la mer frais, de la congélation, de la fabrication de farine et huile de poisson et du traitement des algues marines. Le tissu industriel régional regroupe : • 9 unités de production de farine et huile de poisson • 20 unités de congélation • 1 unité de conserve A l’exception de certaines unités industrielles manufacturières pour les produits de la pêche ou les activités de stockage (sable, phosphate, sable), c’est loin d’être une zone industrielle privilégiée. En l’absence d’autres branches industrielles, telles que la fornication et la quantité, la semi-chimie, la mécanique et le textile, etc. Tourisme Caractéristiques du secteur :  De multiples atouts naturels (balnéaire et désert) et culturels.  Une multitude de sites touristiques, avec des vieux sites archéologiques, des paysages sahariens.  Des manifestations sportives à caractère.  Des manifestations culturelles variées.  Un aéroport (Hassan 1er) ouvert au trafic international.  Un territoire régional propice à l’investissement composé de 3 couloirs potentiels : o L’arrière- pays : Tourisme culturel et artisanat o Le littoral au nord et sud : Tourisme écologique et côtier o Le tripôle Laâyoune – El Marsa – Foum El Oued : Tourisme balnéaire et d’affaires Le secteur en chiffres  44.575 visiteurs en 2019  77.378 nuitées en 2019  47 établissements hôteliers avec une capacité litière de 2392 lits  Nombre d’agences de voyage : 19  Effectif des guides opérationnels : 04  Agences de transport touristique : 03 Ressources humaines :  Formation  Assistance en matière de recrutement Les grands investissements : INVESTISSEMENT PUBLIC Part dans l’investissement du BG (2019) : 3,9 % Part dans l’investissement des EEP (2019) : 3 % (La région de Laâyoune-Sakai El Hamra a bénéficié d’une enveloppe budgétaire de l’ordre de 3,4 milliards de dirhams en matière d’investissement des EEP : oralement) Part dans le foncier privé de l’Etat mobilisé pour l’investissement (2019) : 38 % (1ère région, en 2017, en termes de mobilisation du foncier en faveur de l’investissement, dédié en majeure partie au secteur de l’énergie : oralement) Structure de la superficie mobilisée de l’Etat par secteur au niveau de la région de Laâyoune-Sakai El Hamra en 2017 : Source : Rapport sur le foncier public mobilisé pour l’investissement (2019), MEF Grands projets : Aménagement hydroagricole AHA pour l’irrigation de 1000 HA dans la province de Boujdour Le projet d’aménagement hydro-agricole (AHA) situé dans la commune rurale de Jrifia dans la province de Boujdour,  Les travaux ont démarré en 2016 a mobilisé un coût d’investissement global de 465 MDH.  Ce projet permettra d’irriguer plus de 1 000 hectares de superficie agricole.  Il permettra de porter la production en lait à 1 750 tonnes, celle des viandes rouges à 600 tonnes et celle de la filière maraîchère à 50 000 tonnes.  Générateur d’une valeur ajoutée de 115 millions de DH,  Ce projet permettra la création de 1 000 emplois fixes, tout en contribuant à l’amélioration des revenus des agriculteurs et à la valorisation des eaux souterraines. Le projet consiste dans le creusement et l’équipement de 10 forages (1 400 à 1 800 m de profondeur), mais aussi l’aménagement hydro-agricole de 1 000 ha, la mise en place d’ouvrages de stockage et de traitement des eaux, de conduites d’adduction, de réseaux d’irrigation et de pistes, d’équipements internes en irrigation localisée et d’unités de déminéralisation. (Ça sera au premier oralement). Projet de l’eau potable Le projet de la station de dessalement uploads/Industriel/ agriculture-pro.pdf