PAR L’ESPRIT DU SOLEIL Texte de l’âme de Yeshua (Jésus) transmis par Anne et Da
PAR L’ESPRIT DU SOLEIL Texte de l’âme de Yeshua (Jésus) transmis par Anne et Daniel Meurois-Givaudan Éditions Arista – 1990 www.meurois-givaudan.com www.sois.fr TEXTE AU VERSO DE LA COUVERTURE : De multiples sources s’en font régulièrement l’écho : un Maître de sagesse s’est réincarné quelque part au Proche-Orient vers le début des années soixante. Certains vont jusqu’à dire qu’il s’agit de Jésus en personne. Répondant à un appel, Anne et Daniel Meurois-Givaudan entreprennent alors un voyage en Syrie. Là, ils sont immédiatement contactés par un Être de Lumière en qui ils reconnaissent à la fois une force et une douceur significatives qui ne leur laissent plus de doute… Leur récit débute donc en plein cœur de Damas et s’efface très vite pour laisser totalement place à l’enseignement qui leur est offert. Témoignage d’une expérience étonnante, ce texte se présente, dès lors, comme un guide à l’usage de chacun pur secouer les résistances de l’égo et lancer plus solidement les bases d’une nouvelle conscience. D’une actualité brûlante, d’une écriture simple et sans complaisance, « Par l’Esprit du Soleil » s’adressse à tous ceux qui, épris de Paix et de Vérité, ne veulent plus « passer leur temps » mais agir. Dédicace « À la planète Terre et à ses habitants nous dédions les heures de silence par lesquelles ces pages ont été transmises. » Avec tous nos remerciements À Mufid et Madeleine, Amal et Mohammed Ali et à tous ceux, Syriens, Libanais dont le cœur n’est plus au combat et qui nous ont adouci et facilité le voyage… 1 Ce qu’il faut savoir… Présenter un tel livre n’et guère chose facile. La première tentation serait de ne pas le présenter du tout mais de la livrer au lecteur tel quel, c’est-à-dire comme il a été reçu. Pouvons-nous dire que nous l’avons écrit ? Certainement pas, et c’est bien ce qui en fait le caractère particulier, puis qui en fera, nous n’en doutons pas, hélas, un objet de polémique. Les faits sont pourtant fort simples, si simples que c’est leur transcription qui pose problème… ou plutôt l’aveu de ce qui est à leur origine… En effet, comment dire ce qui a été, comment oser avancer une signature en évitant le ridicule, les haussements d’épaule ou les sourires en coin ? Comment écrire : « Ces lignes nous ont été confiées par Lui », sans attirer vers soi la foule des regards hostiles ? Peu importe, de cela nous avons pris notre parti il y a longtemps. Seul le souci de ne pas créer d’obstacle à ce qui doit être nous tient à cœur, dussions-nous passer pour de savants mystificateurs aux yeux d’une certaine intelligentsia de la spiritualité. Les voici donc, ces faits qui sont si simples : un Souffle nous a portés vers la Syrie, dans la chaleur torride de son plein été et des ses tensions politiques. Un Souffle qui disait que nous devions y recueillir « quelque chose » : sans plus. En fait de « quelque chose », c’est plutôt une Lumière qui est venue vers nous. Et quelle Lumière ! Et quelle Présence ! Durant onze jours sa force nous a suivis pas à pas, de villes en déserts, prodiguant de la même voix si ferme et si paisible, son enseignement. Qu’ajouter d’autre sinon qu’elle nous renvoya, dès la première de ses intonations, à un certain Rabbi à la robe blanche qui parcourut, un jour, les chemins de Palestine ? Car les faits semblent bien être là : Il est de nouveau parmi nous, non pas encore le Christ en tant que réalité physique, mais le Maître Jésus qui lui prêta son corps. À partir de cette affirmation, tout est dit ou presque. Ou l’on se gausse, ou l’on porte la main au cœur et l’on réfléchit. En effet, que signifie cela ? Nous n’avons pas la prétention de résumer en quelques lignes l’impact que nous avons reçu de plein fouet pendant près de deux semaines. Chacun pourra en estimer la teneur à la lecture des pages qui suivent. Nous tenons, simplement à souligner que nous avons pleinement conscience de la responsabilité que nous endossons ici. Lorsque l’on retranscrit semblable texte, le souci premier est et reste celui de la fidélité par rapport à lui. Dès lors, comment demeurer transparent durant sa rédaction, au mot près ? Notre méthode de travail, il faut bien en parler, n’a pas été celle du « channeling », pour reprendre un terme à la mode désignant une faculté de médiumnité contrôlée. Quelques mois après leur déroulement, les contacts ont été revécus par le biais d’une série de lectures dans les Annales Akashiques. Une telle méthode s’avérait indispensable oiyr retranscrire le message avec précision et dans des conditions matérielles souples. Il n’y a donc 2 pas d’ « à peu près » dans les lignes que nous livrons ici, pour autant que notre être ait pu demeurer « à disposition » de la Source. Il reste à chacun, maintenant, en son âme et conscience d’apprécier ou de rejeter le contenu de ce livre, d’en admettre ou non l’origine. Quant à nous, nous n’entendons pas entrer dans des joutes oratoires afin de prouver l’actuelle présence de Jésus sur Terre. Ce serait pure perte d’énergie et d’emblée ne pas comprendre le message reçu. Au-delà des discussions, puissent ces pages vous inspirer une Paix, et une volonté de vous retrouver à travers les instants de silence que nous avons eu le bonheur d’accueillir en nous… sans chercher à juger. Anne et Daniel Meurois-Givaudan Les droits d’auteur de ce livre seront intégralement reversés à un ou des organismes ayant pour but l’établissement de la Paix et la diffusion de la Lumière dans le monde. Table des Matières Ce qu’il faut savoir ………………………………………………………………………… 2 Chapitre I : L’attente …………………………………………………………………… 4 Chapitre II : « Votre corps est toute lumière » …………………………………………. 13 Chapitre III : Le gouffre des émotions ………………………………………………….. 19 Chapitre IV : « Vos pensées vous bâtissent » …………………………………………… 25 Chapitre V : Guérir la mémoire …………………………………………………………. 32 Chapitre VI : Le peuple des animaux ……………………………………..…………….. 40 Chapitre VII : La force sexuelle ………………………………………………………… 49 Chapitre VIII : Les énergies de l’ombre ……………………………………………….… 57 Chapitre IX : L’oubli de respirer ………………………………………………………… 64 Chapitre X : Prière, méditation et action ………………………………………………… 72 Chapitre XI : « Celui qui vient » …………………………………………………………. 82 3 Chapitre premier L’attente Damas – le 18 juillet, O. Hôtel… Voilà maintenant deux jours que le Boeing de la Syrian Air nous a déposés au cœur d’un pays où le soleil est roi. Le nom même de la Syrie, nous a-t-on affirmé avant notre départ, évoque l’astre du jour. « Surya » ne signifie-t-il pas « le soleil » en langue sanskrite ? Peut-être n’est-ce là que jeu linguistique, mais Dieu sait qu’il y fait chaud à Damas ! De notre immense chambre perchée au septième étage d’une lourde construction au style indéfinissable, nos regards se posent sur les silhouettes de la ville. Au-delà des néons des firmes internationales qui déjà clignotent de leurs feux écarlates, il n’y a qu’une immensité de toits plats, de terrasses écrasées par la chaleur et couvertes d’une uniforme poussière grise. De-ci de-là, une touffe de palmiers aux feuilles fatiguées se dresse comme pour chercher davantage encore la fournaise. Un peu plus loin, presque à portée de main, c’est la masse imposante de la montagne, jaune et grise elle aussi, simple et immuable depuis l’origine des Temps. Elle semble dormir mais quelque chose nous fait songer qu’elle observe, qu’elle est là comme le spectateur, le témoin solennel et silencieux des millénaires qui passent… Passeront-ils encore longtemps ainsi ? Sans doute y-a-t-il trop de choses en gestation ici, derrière cette torpeur apparente. Cependant, à nos pieds, vingt mètres plus bas, c’est le défilé lent des taxis jaunes et des passants, presque tous vêtus à l’occidentale. Nous aimerions ouvrir la haute fenêtre contre laquelle nous nous tenons afin de boire un peu plus encore cette atmosphère étrange, enfant hybride du désert et du modernisme… mais le souffle torride de la fin de journée serait plus pesant encore. Nous lui préférons le vacarme lancinant d’un vieux climatiseur planté dans le mur et dont les boutons nous restent dans les mains. Le peu d’air tiède qu’il dispense nous est un luxe apprécié à sa juste valeur. Que sommes-nous donc venus faire là ? Pourquoi tant d’obstination dans la découverte de cette ville au cœur d’une mer de pierres et de cailloux chauffés à blanc par le soleil ? « Il faut être fou… », nous a-t-on répété avant le départ… Peut-être… Beyrouth n’est qu’à une bonne centaine de kilomètres et plusieurs fois déjà nous avons vu les avions de chasse passer en rugissant au-dessus de nos têtes. C’est vrai qu’il y a tous ces hommes, mitraillettes au poing, observés partout dans les rues. Mais c’est vrai aussi qu’il y a une sorte de paix en nous au milieu de tout cela. Une paix que « l’on » nous a insufflée, peut-être, mais une paix uploads/Geographie/ meurois-givaudan-par-l-x27-esprit-du-soleil.pdf
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- Publié le Oct 08, 2021
- Catégorie Geography / Geogra...
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