Le travail éloigne de nous le vice, l'ennui et le besoin. Qu'en pensez-vous? De

Le travail éloigne de nous le vice, l'ennui et le besoin. Qu'en pensez-vous? De par sa nature, l'homme est un être actif, mais vulnérable, il est toujours disposé à faire n'importe quoi pour s'épargner du vice, de l'ennui et du besoin. Donc, le travail constitue en général son refuge. L'oisiveté accule à la fréquentation des lieux malsains. Là, il sera la cible de gens sans scrupules qui, pour lui soutirer de l'argent, vont lui faire miroiter des délices paradisiaques. Il vivra dans la débauche, la luxure. Il passera des nuits orgastiques. Le futur délinquant s'adonnera également au vol et au jeu. Beaucoup de nos camarades malchanceux dans leurs études n'ont pas échappé à cette tentation. Ils constituent cette classe de malfaiteurs et de parasites qui déstabilisent la société. Au bout de quelques années, ils sont exclus du corps social et deviennent des gens abrutis, des épaves. Le travail nous préserve donc du vice, mais il constitue aussi un rempart contre un autre mal non moins nuisible, à savoir l'ennui. Faute d'occupation, l'homme s'ennuie, se réfugie dans l'anonymat en marge de la collectivité. Il devient apathique, irritable, susceptible. Il nourrit des complexes. On est dégoûté par tout ce qui nous environne. On épreuve une extrême lassitude morale et physique. Qui parmi nous pendant les grandes vacances n'a pas éprouvé ce vide et la mélancolie et n'a pas souhaité retrouver l'école pour mettre fin à ce calvaire. Si l'élève déploie aujourd'hui beaucoup d'efforts, c'est qu'il escompte vivre plus tard une vie décente. Ecarter l'ennui, le vice et le besoin, ce sont les conséquences du travail. Ce sont d'ailleurs des conséquences négatives. Vous pourrez fort bien compléter l'étude en montrant que le travail a des conséquences positives : il nous donne la satisfaction d'être utiles, de rendre heureux ceux qui dépendent de nous; souvent il nous donne la fierté d'accomplir une oeuvre personnelle ou de collaborer à une œuvre généreuse et féconde. Personnellement je pense que cette affirmation est vraie pour l'ennui car quand tu travail tu fais toujours quelque chose donc on a pas le temps de s'ennuyer et aussi pour le vice car quand on travail on ne peux pas faire de mal. Mais par contre pour le besoin je ne l'a trouve pas correct car le salaire que l'on perçoit chaque fin de mois n'est pas toujours suffisant pour subvenir à nos besoins. Après pour une dissertation c'est chacun son avis. Alors maintenant à vous d'émettre un avis et de nous le faire partager. Mais plus une dissertation est personnelle plus elle plait au lecteur, correcteur. Votre opinion est très important dans une dissertation mais il faut le mettre uniquement dans la conclusion ne l'oublier pas. Ecarter l'ennui, le vice et le besoin, ce sont les conséquences du travail. Ce sont d'ailleurs des conséquences négatives. Vous pourrez fort bien compléter l'étude en montrant que le travail a des conséquences positives : il nous donne la satisfaction d'être utiles, de rendre heureux ceux qui dépendent de nous; souvent il nous donne la fierté d'accomplir une oeuvre personnelle ou de collaborer à une oeuvre généreuse et féconde. Signaler un abus loader administration Echange gratuit * Le travail éloigne de nous trois grands maux : l’ennui, le vice et le besoin (Voltaire) Le travail est essentiel à l’existence de l’homme. Il nous gagne le pain, assure notre survie, nos besoins et notre confort matériel. Mais est-ce qu’il nous enrichit spirituellement aussi ? En se livrant au travail, l’homme s’éloigne vraiment du vice et de l’ennui parce que la journée de l’homme est occupée par un travail physique ou mental. Et c’est pourquoi il n’a pas le temps de se livrer aux maux. Aussi le travail nous rend spirituellement satisfaits et c’est plus précieux que recevoir de l’argent. Si le travail n’existait pas, qu’est-ce qu’on ferait avec nos vies ? L’inaction nous ruinerait peut-être. C’est pourquoi le travail existait depuis le début d’existence de l’homme et en travaillant l’homme pourrait réaliser ses ambitions, il pourrait améliorer sa vie et cela lui donnerait du bonheur. Un homme en manque de bonheur et de satisfaction, s’adonne aux vices. En plus, le travail n’est pas seulement une source d’argent mais aussi une source qui nous permet de nous enrichir en travaillant avec et pour les autres. Cela nous fait prendre conscience de ce qui compte vraiment et ce sont les bonnes actions qu’on peut faire. En conclusion, je voudrais dire que le travail peut être pénible mais il est nécessaire parce qu’il nous façonne en tant qu’individus et nous permet de mener une vie digne et loin des maux. Nikol Ilieva 11ème classe Lycée français « Alphonse de Lamartine » Sofi Concernant l'ennui, on peut en dire de même : dans les termes religieux, l'ennui, est oisiveté, un pêché. Aussi, il s'agit sans aucuns doutes d'un mal. · Mais concernant les besoins, nous sommes en droit de nous poser quelques questions. En effet, si le sage Turc parle ici de tous les besoins, comment peut-il tous les qualifiés de maux ? · Des besoins tels que vivre, se nourrir, respirer, ont-ils vraiment une qualification en bon ou mauvais ? Ils seraient plutôt simplement nécessaires. · Nous pouvons alors comprendre l'information donnée par le sage comme suit : d'une part, le travail nous permet de ne pas avoir certains besoins inutiles, qui nous pousseraient à vouloir toujours plus (n'oublions pas que Candide est une apologie du contentement de ce que l'on a). · D'autre part, par le travail, nous contentons aussi d'autres besoins, ceux qui justement nous sont nécessaires. Aussi s'en trouvent-ils éloignés. La vision que le Turc à des maux cités est simple : ce sont eux qui rendent l'homme malheureux. uploads/Finance/ le-travail-eloigne-de-nous-le-vice.pdf

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  • Publié le Apv 17, 2021
  • Catégorie Business / Finance
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