CORPORATE FINANCE & FINANCIAL THEORY Amira LAZARUS pascale@me-fin.com La corpor

CORPORATE FINANCE & FINANCIAL THEORY Amira LAZARUS pascale@me-fin.com La corporate finance utilise par les fds d'I, étudiés dans les universités ect... est centrée sur des fondements théoriques avec des mathématiques très élevés mais bien souvent remis en cause. La courbe de Gauss à une importance capital dans ses théories, cpdt, elle ne prend en compte que le gros des risques, mais les limites sont nombreuses, notamment l'incertitude. La crise sanitaire n'est pas considérée comme un cygne noir selon Monsieur Taleb, Cygne noir : tout le monde pensait que les cygnes devaient être blanc, jusqu'à qu'on voit un cygne noir → Incapacité à voir d'autres approches que celles qu'on pensait suivre. => Il s'agit d'une crise qu'on ne peut ni prévoir ni concevoir. Des études sur les risques pandémiques n'étaient pas inconnus, ces risques étaient identifiés et n'ont jamais été pris en considération. Aujourd'hui trop de paramètres sont à prendre en compte pour modéliser telles ou telles crises. Qd on fait des projections de CF (cashFlow) et que les CF sont à 0, se pose la question d'une vraie analyse non erronée de l'entreprise. Ce n'est pas prcqu'il n'y a pas de CF qu'il n'y a pas de valeur (cf les bulles sur le marché de l’art) Concernant la VI (valeur intrinsèque), se pose la question de si elle existe ou pas, et si le marché (sous et sur évaluation) s’approche ou s'éloigne de cette valeur intrinsèque. Les biais comportementaux (mimétisme) et biens d'autres facteurs permettent de mesure la valeur d'une entreprise, et pas uniquement les CF. EX : Tesla, Zoom, sont suuuuuuper valorisé alors que les CF ne sont pas là. Ce n'est pas parce qu’on a plus de performance économique que notre entreprise ne vaut rien. Il vaut aller chercher et évaluer la performance de l'entreprise par d'autres variables et biais à prendre en compte. Le contexte : • Le contexte est très mouvant, complexe et interactif. Aujourd'hui on ne vend plus un bien, on vend l'usage du bien. Voir le concept de l'économie bleue qui va au dela de l'économie verte. Économie verte : consommer –> mais consommer mieux : limite → ne répond pas à l’expansion démographique. Les riches achètent du bio, les pauvres de la merde. Économie bleu e : bio mimétisme → dans la nature, sans impact de l'homme, elle ne produit aucun déchet. Tout déchet des uns est bien pour l'autre  On veut concevoir une économie ou tout est ressource. Les normes sont dictées par des leaders qui veulent fonder des barrages pour éviter de nouveaux entrants OU des produits de substitutions. → Toutes ces standardisations sont faites pour éviter au plus grand nombre de pénétrer le marché. Disrupteur : des gens qui vont rendre le même service que vous avec un business model différent et qui font une plus-value + bénéfique que l'entreprise enracinée dans ce secteur depuis des siècles. EX : Économie bleue : avec la chaleur émise par les data-center, on peut faire chauffer des piscines => Les déchets des uns font le bonheur des autres. On ne peut pas prendre pour argent comptant la performance d'aujourd'hui comme acquise. Aujourd'hui la meilleure création de valeur, c'est la pérennité d'une entreprise. C'est faire de l'argent mais durablement. (Regarder en 10/20 ans l'évolution du cours d'une banque//// Wolfsvagens n'a pas récupérer le cours de bourse après le scandale) F&A = création de valeur uniquement pour le secteur financier. A l'échelle de l'entreprise, beaucoup moins. F&A c'est de la destruction de valeur. Taleb « l'anti fragilité : c'est je suis capable de m'adapter au changement de mon environnement » Cf le film Alain Delon, le « visconti » : « il faut que tout change, pour que rien ne change » Les entreprises centenaire qui sont tjrs là et qui seront toujours là demain ne sont pas des entreprise qui ont cherché à tout prix de grossir (too big, too fail) mais qui ont su par leurs savoir-faire rester dans le milieu par d'autres création de valeur. On accepte l'incertitude en réussissant à s'adapter. HENOKIENS : site internet → regroupe ttes les entreprises du monde qui regroupe les sté de 200 âges. La plus veille entreprise c'est un restaurant japonais familiale qui n'a pas chercher à grossir et pourtant ils sont là. Des colosses aux pieds d'argiles il y en a plein « too big too fail ». Il faut chercher des entreprises anti- fragile, des entreprises qui vont réussir sur le lgt à traverser le temps et ne pas s'effondre d'un coup. Dans les théories financière l'incertitude n'est pas modélisée. La différence entre risque et incertitude Risque : on peut le prévoir, l'identifier et émettre des probabilité de l'importance et de l’occurrence (on peut se louper sur ces proba mais merlish, ça arrive l'erreur est humaine). L'incertitude : on ne peut pas prédire ce qui peut arriver. Le problème de l’hôtellerie mtn : Le fds de commerce a était acheté avec prêt à rbser avec des flux de CF futures mais LOOOOLLL MISKIN, ils se tuent tous. → Ne pas avoir de CA pendant X temps (=incertitude) ça va tuer les gens. Le financement des entreprises : Les banques ne veulent plus prêter aux Entreprises, l'état lui va soutenir les entreprises par le biais de de « prêt garanti par l'état » pour les PME TPE et ETI. Cpdt, on ne peut pas dder aux genre de dégager des CF supplémentaire pour faire face aux prête. Le problème de notre société c'est qu'on attend des revenus réguliers mais de nos jours ce n'est plus le cas. On va chercher les économies d’échelles. On a un cote paradoxe : il faut être grand pour choper des eco d’échelles et avoir du PT, mais il y'a cette fragilité qui est au-devant des entreprise trop grosse. Tout est question de proportion. Si on veut améliorer le réchauffement climatique il faut s'attaquer à CE QUI POLLUE VRAIMENT ET NE PAS S'ENTETER SUR DES DETAILS !!!!! (cf la pyramide de maslow!!!!!) EX : la foncière propriétaires d'immeuble. L'usager lui, il vient tous les matins à la défense. La foncière elle doit prendre en compte cet usagé, car si l'entreprise qui veut s’installer dans ses locaux, n'est pas assez attractive alors il faut qu'elle passe par l'avis de l'usager et ne pas forcement se référer à l'avis du client. SOFT SKILS TRES RECHERCHE CAR ON A BESOIN D'EMPATHIE Quand on veut faire de l'analyse financière, il faut regarder tous les éléments stratégiques et faire une approche intégrée des choses. La performance extra financière des entreprises est intégrée dans les documents d’analyses financières car ce capital social et environnemental pouvait produire de la valeur financière pour les actionnaires. (On intègre les éléments RSE par exemple) Ce levier social et environnemental est devenu un levier de différentiation qui amène de la valeur. L'image de dire qu'on trie bien pour se donner bonne conscience à été performante car elle a permis de drainer des financements. (Label ISR : L'UE veut bcp + contrôler ce label car il y'a des bâtards qui trichent) La philanthropie permet d'avoir des indicateurs financier audela du financier. (regarder la comptabilité durable : très belle intention cpdt, today avec les normes IFRS ect... on arrive pas à intégrer la valorisation des immatériels. Alors demain croire que la compta va intégrer du capital humaine t naturel tout comme elle le fait avec le financier alors qu'on est mm pas capable de le faire aevc les bien immateriels alors c'est ce foutre du monde. ) Avec le covid, comment évaluer la valeur d'une entreprise ? Le prix fixé sera tres dpd du financement que l'entreprise va trouver etc.... Et suivant qui on décide de soutenir, et quo'n veut soutenir le gros et pas le petit, alors là ya 0 neutralité dans la finance. La finance éthique doit suivre bcp de chemin. L'évolution : La création de la valeur de financière = le ROE : C'est parce qu’on est dans des contexte changeant, inédit et complexe en raison d'imbrication variables, on observe une évolution de la création financière. L'entreprise dominante avant était patrimoniale : l'entreprise familiale et l'entreprise patronale Maintenant on a une nouvelle forme d'entreprise basée par la théorie de l'agence : l'actionnaire délègue le pouvoir de gestion à une PDG Fort recours de l'effet de levier. Le ROE était un ratio de pilotage des banques jusqu’en 2008. En effet, tt le monde était piloté par le ROE, on cherche max de résultat avec le moins de fds propres possible, mais sans prendre le niv de risque qu'il est possible d'avoir. Aujourd’hui on a bcp d'allocation d'actifs faite par le private equity, on peut avoir une performance élevée avec un risque sous-évalué ou non affiché, alors gros problème car ça s'écroule, c'est l'exemple mm des banques. Ce ROE = création de valeur financière était un indicateur principal mais qui ne prenait pas en compte le niveau de risque qu'il prenait. La VAR : tout le monde l'use de nos jours alors que ce n’est pas bon. 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  • Publié le Oct 29, 2021
  • Catégorie Business / Finance
  • Langue French
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