DOSSIER NUM 4 : Etude d’un auteur, Frédéric Bastiat . La méthode appliquée à l’

DOSSIER NUM 4 : Etude d’un auteur, Frédéric Bastiat . La méthode appliquée à l’ étude de Frédéric Bastiat et son œuvre . Introduction : Nous allons aujourd’hui vous présentez Frédéric Bastiat et son œuvre. Dans un premier Temps, je vais vous aborder les deux premiers tirets du grand 1 avec la question 1. Clarisse vous ferra la présentation du 3ème et 4ème tiret du grand 1 avec la question 2. Yacine traitera le grand 2 dans sa totalité. Puis Laurent finira avec la question 3. Bastiat et son œuvre . (Matteo) Frédéric Bastiat est un homme politique, économiste Français et magistrat français né le 30 juin 1801 à Bayonne et décédé le 24 décembre 1850 à Rome et un grand croyant chrétien. Il ne devient qu’acteur majeur, dans les débats publiques et économiques durant les 6 dernière années de sa vie. En effet, il devient député politique en 1848 ou il vota plusieurs lois comme pour le bannissement de la famille d’Orléans le 26 mai 1848 ou encore pour la réduction de l’impôts sur le sel le 28 décembre 1848. Tout en parallèle à sa vie d’économiste avec son dernier ouvrage inachevé nommé “Les Harmonies économiques”. Frédéric Bastiat se démarque des autres économistes par son approche vulgaire et non théorique de l’économie avec un style compréhensible et accessible au plus grand nombre (économistes, politique et les décideurs politiques par l’opinion publique). F.Bastiat défend les biens faits du libre-échange, le laisser-faire et prend part des consommateurs contre les impositions de l’Etat et de son intervention (Taxes, monopoles des entreprises...). Il va faire face aux idées du protectionnisme qu’il qualifie d’un “en faisant du soleil, un concurrent étranger qui nuit à la production nationale du secteur des lumières artificielles”. Bien évidemment cette concurrence déloyale fait appel à l’intervention de l’Etat. Bastiat dénonce une métaphore de ces lois protectionnismes comme l’égoïsme des producteurs en termes de conservation des intérêts et de leurs statuts de supériorités au détriment des consommateurs en parallèle du progrès technique qui favorise les intérêts des consommateurs qui, les producteurs pro-protectionnisme demandent leurs interdictions, Frédéric Bastiat amorce ses textes avec l’ironie afin de ridiculiser le protectionnisme mais surtout une fois de plus, rendre accessible sa critique au plus grand nombre. Il va mener un combat ardu contre les sophismes économiques qu’il les qualifie par leur définition d’être ayant une science unique et vraie, dès lors F.Bastiat va démontrer l’inverse initié dans le texte "La pétition des fabricants de chandelles”. Il va introduire une nouvelle qualité au titre d’économiste : démasquer le vrai avec comme idée phare “ Il y a l’apparence et ce qui est”. Cette mise à jour du sophisme économique va pousser l’accusation d’être sophiste lui-même par son interprétation des économistes qui ont vu le réel et ceux qui ne l’ont pas vu. L’allégorie de la caverne de Platon dans son œuvre République, illustre parfaitement cette idée. L'allégorie met en scène des hommes enchainés dans une caverne vide, tous dos à l’entrée, qui, cette entrée émet l’ombre des objets sur le mur visible des hommes. Ces objets sont du côté de l’entrée soit non visible par les prisonniers pensant voir la vérité alors qu’il ne s’agit de l’apparence. Tout d’abord, F.Bastiat démasque le réel en scindant les économistes en mauvais soit des sophismes ou bien des bons économistes. Il caractérise un sophisme a un économiste qui n’expose que ce l’on perçoit, les effets et donc les conséquences. Le rôle du bon économiste consiste avant tout à démontrer le réel (démasquer les apparences trompeuses et montrer la réalité des choses par le savoir), combattre les sophismes et montrer ce que l’on ne perçoit pas, non perceptible directement voir invisible. Ce qui se résume à ce qui est caché. Il s’agit selon la méthode de Bastiat, la théodicée des arguments fondés à l’encontre de Dieu soit l’existence du mal qui renvoie à toutes formes de protectionnismes, interventionnismes, communisme ou encore socialisme. C’est pour la raison que Bastiat prône le laisser-faire (tout comme Say qui dénonce l’inutilité de l’intervention) en toute liberté synonyme des intérêts individuels pour l’intérêt général sans intervention. Tout cela renvoie à une justice émit par dieu pour un bonheur qui jouit au plus grand nombre avec les harmonies économiques, sociales, universelles. F.Bastiat fonde son résonnement sur l’approche d’Adam Smith avec la main invisible de Dieu. (Clarisse) Pour commercer le laisser-faire économique est un concept d’économie politique qui valorise la non-intervention de l’Etat dans le système économique. Le laisser-faire s'oppose initialement à la doctrine mercantiliste et plus largement à l'interventionnisme public. Frédéric Bastiat énonce que l’interventionnisme, le protectionnisme, le socialisme et le communisme sont des facteurs péjoratifs qui nuisent à la réalisation des intérêts individuels de l’homme. Puisque pour Bastiat il faut s’abstenir de l’intervention de l’Etat dans le système économique et de plus laisser les hommes être libres de leurs propres choix, intérêts et passions. D’autant plus la définition du laisser-faire économique pour cet économiste c’est de laisser faire les agents économiques mais la condition du laisser-faire pour Bastiat c’est de laisser faire Dieu. Dans son ouvrage Les Harmonies Economiques, il écrit « Nous croyons à la liberté parce que nous croyons à l’harmonie universelle, c’est-à- dire à Dieu (...). Du point de vue de l’athée, il serait absurde de dire laissez-faire le hasard ! Mais nous croyants, nous avons le droit de crier : laissez passer, l’ordre et la justice de Dieu ! (...). Et la liberté ainsi comprise n’est plus l’anarchique déification de l’individualisme, ce que nous adorons par-delà l’homme qui s’agite, c’est Dieu qui le mène ». Cette phrase s’appuie sur le cadre général de son analyse économique qui fait des harmonies économiques des harmonies divines. Ceci s’appelle l’épitaphe de son ouvrage Harmonies Economiques qui est : « Digitus dei est hic », qui signifie (‘ le doigt de Dieu est ici ‘). De cette façon Bastiat prône la justice de Dieu et démontre que l’harmonie économique et divine devient pareillement une harmonie universelle. Par ailleurs, il sollicite le laisser-faire économique parce que les thèses protectionnistes viennent à préserver les intérêts et les rentes de situation de certains producteurs au détriment des consommateurs. Cette phrase peut être soulignée par un exemple qui est le suivant : on va comparer une orange qui vient de Lisbonne et une orange qui vient de Paris. Pour entamer cet exemple je vais évoquer le principal concurrent étranger qui nuit à la production nationale. Dans « La pétition des fabricants de chandelles » Bastiat énonce que la France subit l’intolérable concurrence d’un rival étranger placé, à ce qu’il parait, dans des conditions tellement supérieures aux nôtres. Il évoque que ce rival, n’est autre que le soleil. Dans « la pétition des fabricants de chandelles », Bastiat expose le fait que le travail et la nature concourent en proportions diverses, selon les pays et les climats, à la création d’un produit. La part qu’y met la nature est toujours gratuite ; c’est la part du travail qui en fait la valeur et se paie. De cet élément il dénonce que l’Etat a toujours repoussé le produit étranger parce qu’il se rapproche du don gratuit, et d’autant plus qu’il se rapproche du don gratuit. C’est ainsi que je vais aborder notre exemple sur l’orange qui vient de Lisbonne et l’orange qui vient de Paris. On dit qu’une orange de Lisbonne se vend à moitié prix d’une orange de Paris, puisque l’orange de Lisbonne a été touché par une chaleur naturelle qui est par conséquent gratuite, alors que l’orange de Paris a été impacté par une chaleur dite « artificielle » et de ce fait cette orange va être couteuse. Donc, quand une orange nous arrive du Portugal, on peut dire qu’elle nous est donnée à moitié gratuitement, moitié à titre onéreux, ou, en d’autres termes, à moitié prix relativement à celle de Paris. De cette façon Bastiat dénonce que pourquoi le Français devrait-il payer plus cher un produit alors qu’il pourrait payer moins cher un produit similaire qui vient de l’étranger ? (Yacine) Frédéric Bastiat critique largement le protectionnisme. En 1840 l’état français vota une loi augmentant les taxes à l’importation afin de protéger l’industrie française. C’est alors que Bastiat composa un texte satirique la fameuse pétition des fabricants de chandelles en 1845 qui parut dans l’ouvrage « les sophismes économiques » chapitre 7. Dans ce texte il va démontrer que certains groupes de pressions de producteurs obtiennent des privilèges de l’état au détriment des citoyens par la même occasion il démontre aussi le caractère destructeur de toutes les législations protectionnistes. Dans cette pétition ce sont les fabricants de chandelles qui demande aux députés une protection de la loi contre un dangereux rival qui nuit à leur industrie et qui est placé dans des conditions nettement supérieure pour la production de la lumière celui-ci n’est autre que le « soleil ». Les producteurs mettent donc en avant l’intérêt de réserver le marché national au travail national en ordonnant par une loi la fermeture de je cite « toute fenêtres, lucarnes, uploads/Finance/ analyse-eco-frederic-bastiat.pdf

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  • Publié le Sep 24, 2021
  • Catégorie Business / Finance
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