Du 27 AvRIL Au 8 juin 2019 CENTRE SOCIOCULTUREL JEAN-PRÉVOST RENSEIGNEMENTS Au
Du 27 AvRIL Au 8 juin 2019 CENTRE SOCIOCULTUREL JEAN-PRÉVOST RENSEIGNEMENTS Au 02 32 95 83 66 journée d'ouverture SAMEDI 27 AvRIL 2019 SWING AT THE TOP Lyon - 2013 Projection d’animation 3D sur un bloc de béton surplombant le toit-terrasse de la Sucrière à Lyon. Cette animation mettait en image de manière abstraite le caractère esthétique de l’implantation de l’oeuvre. B3AT est un collectif qui expérimente l’associa- tion de procédés pluriels (Peinture, anamor- phose, architecture, musique, lumière, mapping et vidéo…) autour d’interventions in situ insérées dans l’architecture et en interaction complète avec leur environnement spatial et social, de part leur structure, leur implantation, leur agence- ment et leur mise en lumière. L’histoire collective de B3AT trouve ses racines dans l’univers associatif. La création du B3AT est une résultante, après plusieurs années d’acquisition de compétences, de savoir faire et de regards divers et l’envie de créer des œuvres collectives transdiscipli- naires... Le collectif B3AT réalise pour l'occasion des 10 ans de veines urbaines l'installation spéciale anniversaire. Né à Rennes en 1981, il y réside. Passionné d’échanges humains, de vie animale et végé- tale, c’est dans l’ensemble de ses pérégrinations qu’AERO puise son inspiration et construit son identité artistique. En commençant le graffiti en 1997, à Rennes, il ne s’imaginait pas qu’il sème- rait ses peintures aux quatre coins de la planète. Pourtant, en 2002, son métier de chef de cuisine l’amène à débuter un parcours initiatique qui durera quinze années. De l’Europe (Espagne, Suisse, Allemagne, Angleterre) à l’océan Indien (Réunion, Mayotte, Comores, Madagascar), de Nouvelle-Zélande au Canada, de l’Amérique du Sud (Guyane, Suriname, Brésil...) à l’océan Pa- cifique (Polynésie française), il en prend plein les yeux, les oreilles et les papilles. De retour à Rennes, il se concentre sur son expression vi- suelle et multiplie les peintures de rue, exposant en plein air des portraits d’enfants, de femmes, d’hommes et d’animaux. AERO se nourrit de son environnement et est aussi à l’aise sur façades que sur d’autres supports, au regard des nom- breuses toiles qu’il signe. Adresse mail : creaero@yahoo.fr Instagram : @creaero AERO L’atmosphère des lieux dans lesquels je fais évoluer ma peinture au fur et à mesure du temps a toujours énormément inspiré mon tra- vail sur toile. Des lieux chargés d’histoire, d’ob- jets du passé et d’énergie parfois dérangeante. CAJOU CELHUB Dans un travail subtil entre street art, provoca- tion et peintures réalistes, la bombe aérosol me permet d’apporter un côté dynamique à mes productions souvent fortes d’impact. Je ne me définis pas dans un style particulier, la pluralité de mes propositions donne force à mon travail. Je reste LIBRE COMME L’ART. Ma pratique artistique est issue d’un appren- tissage académique du dessin et de la peinture influencée parallèlement par le tag et le graffiti. Cette contradiction de genre et de style m’a ame- né à trouver un équilibre entre une peinture ap- pliquée et une autre plus libre. Je vise à retranscrire mes influences de la culture urbaine tout en y apportant ma personnalité par une peinture qui se veut à la fois explosive et contrôlée. Adresse mail : postmaster@dhoa.fr Site internet, Facebook, Instagram : www.dhoa.fr ; fb/dhoa.fr ; insta/d.h.o.a DAWN DHOA Né en 1979, photographe autodidacte, Emma- nuel Lardinois vit et travaille à Rouen. Son travail est en premier lieu guidé par une re- cherche esthétique. La frontalité, la symétrie et la précision des cadrages confèrent à l’ensemble une harmonie particulièrement sensible. La ges- tion de la lumière, de ses reflets, le mélange des textures, végétation, matières organiques en dé- composition, béton, métal et rouille génèrent une chromie et une atmosphère qui donnent à ces vestiges pourtant synonymes de crise, chômage et décadence, une beauté irréelle. La dimension patrimoniale transparaît égale- ment dans ces images comme le témoignage d’une époque, prospère mais révolue. Devant l’image, le spectateur s’interroge sur le devenir de ces bâtiments, inéluctables victimes du temps et de l’oubli ? Leur représentation photogra- phique questionne sur leur place dans le pay- sage urbain contemporain. Emmanuel Lardinois participe à des expositions personnelles en France depuis 2010. En 2014, ses photos ont été présentées au festival Inter Kultur Foto Art de Stuttgart, à L’Affordable Art Fair / Spring Edition de New York et la Red Dot Art Fair de Miami. En 2015, il est lauréat (2e prix) du prix Lens Art Photographic. Adresse mail : info@inter-stices.fr Site internet : http://www.inter-stices.fr/ EMMANUEL LARDINOIS Depuis quelques années, je peins un petit per- sonnage que j’ai nommé « el moot moot ». Avec le temps, j’ai affiné les traits et commencé à l’il- lustrer dans toutes les positions. Je le fais évoluer en fonction de mes pratiques artistiques, qui se passent essentiellement dans la rue, mais parfois aussi dans l’atelier, avec comme exemple la sé- rigraphie. Adresse mail : elmootmoot@gmail.com Facebook : www.facebook.com/elmoot.mout EL MOOT MOOT D’origine lyonnaise, François Bel est un artiste multiple, aussi à l’aise en peinture qu’en sculp- ture ou dans la mise en place d’installations. Son œuvre et ses inspirations sont éclectiques. Bercé par le street art, auquel il emprunte le système de répétition et de déclinaison, l’artiste s’intéresse tout autant à des mouvements dits du « nouveau réalisme » dans lesquels il se reconnaît, comme le dada ou le pop art, qui détournent les objets du quotidien pour mieux critiquer la société de consommation actuelle, à l’image des ready- made de Duchamp. Travaillant tour à tour le fil de nylon pour ses sus- pensions et le fil de fer pour ses sculptures, Fran- çois Bel se réapproprie chaque matériau. Jouant sur l’idée de cloisonnement, en enfermant certaines de ses sculptures dans du grillage, l’ar- tiste dénonce une fois de plus la société contem- poraine, tant dans son individualisme que dans son matérialisme. Ainsi chaque médium sert une démarche à la fois artistique et philosophique. Ses petits « Big Bang » incrustés dans du verre acrylique, comme figés dans l’instant de grâce ultime de l’explosion, nous interrogent sur le temps qui passe, se consume et nous survit, in- déniablement. Dans une société où tout va de plus en plus vite, et où l’homme contrôle bien des choses, l’artiste François Bel cristallise le rêve de chacun, en arrêtant un instant le temps dans ses œuvres. Mêlant frustration, fascination, ses sculptures sont le reflet de notre civilisation, de nos colères et de nos révoltes emprisonnées, claustrées, dans des contextes économiques, culturels, so- ciaux et politiques. F.BEL « Si l’apparence du monde se dévoile sous sa forme esthétique, médiatique, calculée, ordon- née, corrigée, bref dressée sous le joug de l’ar- tifice... il est alors évident que notre rôle est de curer le vernis bien-pensant de ce merdier et de mettre en évidence : un monde hybride, mons- trueux, difforme, sanguin, poilu et cocu... bref, NOTRE monde ! Nous restons les créatures d’un mec qui s’ap- pelle Dieu ou Jean-Luc ?... S’il faut être à genoux soyons debout, s’il faut être Adam et Éve soyons Bonnie and Clyde, s’il faut être beau soyons laids, s’il faut être ordonné soyons bordéliques, s’il faut être lucide soyons bourrés, si nous avons des chevilles, prônons les entorses, si nous aimons la pâte, choisissons les grumeaux, s’il y a des bons préférons les cons !... C’est sur ce genre “d’idiotie(s) du réel” que Gilen tient en équilibre et investit un monde imagi- naire, saltimbanque, et visionnaire. Bref un monde permanent... Par une approche absurde et burlesque, Gilen caricature le superficiel pour mieux consentir à la profondeur. La peinture reste pour lui une zone de réflexion temporaire qui titube sur des territoires (im)parfaits ! Ces portraits mixés dans le désordre universel, du “crados” au bucados, en passant par Dionysos et Carlos, il n’y a qu’un temps : celui du vivant. Gilen est vivant et semble l’être pour longtemps, rien que pour nous faire chier ! Cocktail d’humour, de molotov, de rythmes et de regards...Gilen est là... Les petits fours sont déjà cramés !… Et... Boum !!!... » Manu Berk Deux ans de prépa à Bayonne en école d’art (pé- riprépa - prépa) Cinq années d’études aux beaux-arts à l’Ensa de Bourges, dont deux diplômes (DNAP-DNSEP) Six mois à Montréal, à l’Uqam en art visuel et mé- diatiques Puis Toulouse en 2007... www.gilen.fr https://www.instagram.com/gilen.art/ https://www.facebook.com/gilenArt/ gillevil@hotmail.com GILEN Je suis un artiste vivant à Saint-Denis, utilisant principalement la technique du pochoir, mais également la photographie et la sérigraphie. J’ai appris la technique du pochoir multicouche en autodidacte. J’ai commencé à peindre dans les rues il y a maintenant trois ans et j’aime peindre partout où le vent me mène. On retrouve donc mes travaux dans de nombreuses villes, comme Hanoï, Dakar, Bordeaux, Toulouse, Barcelone, Valence, Montpellier… et bien sûr Saint-Denis. Courriel : guate.mtp@gmail.com Facebook : Guaté Mao GUATÉ MAO Pendant une année, Jhano a suivi, de la vigne à la bouteille, Robert et Sébastien Agelet. Ce travail a initialement pris racine dans l’amour d’un terroir (Paziols, 11), de la vigne, dans une amitié, dont on pouvait lire le témoignage réci- proque, entre le travail du viticulteur et l’écriture de l’artiste. De cette aventure humaine, on uploads/s3/ veines-urbaines-2019.pdf
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- Publié le Oct 05, 2022
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