INTERSTELLAIRE CINÉMA & EFFETS SPÉCIAUX EXPOSITION 14.01.22 – 08.04.22 vernissa

INTERSTELLAIRE CINÉMA & EFFETS SPÉCIAUX EXPOSITION 14.01.22 – 08.04.22 vernissage – 13 janvier 2022 dès 18h30 contact presse | Enora Coulon | ecoulon@communicart.fr | +33 (0) 7 69 75 11 78 CO-COMMISSARIAT Centre des arts | Alexandre Poncet Plongée dans les coulisses des effets spéciaux ALIENS, navette Narcissus, maquette ; V, navette envahisseur, maquette DOSSIER DE PRESSE M u s é e du cinéma de Ly on AVEC LE MUSÉE DU CINÉMA DE LYON dossier de presse | exposition 2 Interstellaire, l’exposition Parcours d’exposition Alexandre Poncet, co-commissaire de l’exposition Le Musée du Cinéma de Lyon Entretien avec Julien Dumont, Directeur du Musée du Cinéma de Lyon Le CDA et le cinéma, 20 ans d’histoire Autour de l’exposition Le Centre des arts d’Enghien-les-Bains Informations pratiques SOMMAIRE contact presse Enora Coulon ecoulon@communicart.fr +33 (0) 7 69 75 11 78 p.3-4 p.5-6 p.7 p.8 p.9 p.10-11 p.12 p.13 p.14 Centre des arts www.cda95.fr 12-16 rue de la Libération 95880 Enghien-les-Bains dossier de presse | exposition 3 INTERSTELLAIRE L’EXPOSITION Le Centre des arts d’Enghien-les-Bains ouvre l’année 2022 en collaboration avec le Musée du Cinéma de Lyon pour l’exposition Interstellaire. Cinéma et effets spéciaux, à découvrir du 14 janvier au 8 avril 2022. Une plongée dans les coulisses des effets spéciaux. Une exposition-événement avec le Musée du Cinéma de Lyon Fondé en 2005, le Musée du Cinéma de Lyon abrite des collections permanentes réunissant des centaines d’accessoires originaux qui retracent la grande histoire du 7ème Art et des effets spéciaux. Interstellaire est conçue comme un voyage à travers l’histoire du cinéma, de l’espace et de ses effets spéciaux. L’exposition pose également un regard sur la carrière du superviseur des effets visuels Rob Legato, célèbre pour Apollo 13, Titanic et Harry Potter. Traversé d’aventures épiques, d’explorations spatiales à grande échelle, de guerres intergalactiques, le propos de l’exposition s’inscrit dans la tradition du « space opera » cinématographique - terme créé en 1941 par l’écrivain américain Wilson Tucker pour qualifier un sous-genre de la science-fiction caractérisé par de grands récits d’exploration. Julien Dumont, producteur et nouveau directeur du Musée du Cinéma de Lyon, explique cette référence : Le « space opera » et le contexte spatial en général englobent tous les départements et toutes les techniques : le design, les costumes, les décors, les miniatures, les effets optiques… Il y a un monde complet à créer, et l’on obtient inévitablement des milliers d’objets incroyables. Cette profusion d’idées et de concepts se prêtait parfaitement à une exposition. ALIENS, navette Narcissus, maquette. © CDA L’exposition Interstellaire est associée au PIDS Enghien, festival dédié aux effets spéciaux du 26 au 29 janvier 2022 et produit par le CDA. dossier de presse | exposition 4 Faire connaître les métiers derrière les effets spéciaux Costumiers, prothésistes, fabricants de maquettes d’effets spéciaux ou d’animatroniques, l’initiative de cette exposition a pour double vocation de faire connaître au public ces métiers et de déplacer le statut de leurs objets vers celui d’œuvres à part entière. La diversité de cette sélection de pièces issues des collections du Musée de Lyon souligne la pluralité des techniques employées au cinéma, pour raconter l’évolution de l’histoire des effets spéciaux. Une sélection de pièces qui ont marqué l’histoire du Cinéma 2001, L’Odyssée de l’Espace, Star Wars ou encore Rencontres du 3ème Type sont autant de longs-métrages dont les procédés techniques et accessoires spéciaux d’autrefois témoignent de leur remplacement progressif au profit de l’utilisation des technologies numériques dans les productions actuelles. Mars Attacks! et Men in Black sont des exemples riches de sens, car c’est à cette période charnière des années 1990 que la plupart des trucages traditionnels furent abandonnés en cours de tournage pour recourir aux effets visuels. Une sélection de pièces issues du tournage d’Aliens permettent de mettre en perspective leur aspect artisanal, en contraste avec les effets digitaux que l’on connaît dans les derniers opus de la saga. CRÉDITS Interstellaire. Cinéma & effets spéciaux Co-commissariat | Le CDA et Alexandre Poncet Production | CDA Costumes V, Starship Troopers et Aliens-La Résurrection © CDA Une exposition jalonnée de costumes, maquettes, accessoires et marionnettes issus de studios internationaux. dossier de presse | exposition 5 PARCOURS D’EXPOSITION Les pionniers C’est Carlo Rambaldi, créateur de l’extra-terrestre ET et du monstre du film Alien qui créé en 1977, le costume d’enfant extraterrestre de Rencontres du Troisième Type. Son travail sur ce film nous permet d’évoquer les effets miniatures visionnaires de Douglas Trumbull, également connu pour avoir participé, dix ans plus tôt, à 2001 L’Odyssée de l’espace de Stanley Kubrick, dont les scènes spatiales sont encore considérées aujourd’hui comme techniquement parfaites. Confronter la navette de 2001 et celle de la série culte, V permet de montrer comment, en seulement quinze ans, les trucages se sont démocratisés. En 1983, une série télévisée peut elle aussi s’offrir des effets miniatures spectaculaires, pour un budget bien inférieur à celui de Stanley Kubrick. Si les effets visuels de V sont moins aboutis, ils restent aujourd’hui très appréciés par les fans de science-fiction, notamment en France où la série a rencontré un succès historique. Hommage à Rob Legato La capsule miniature d’Apollo 13 nous propulse dans les années 1990, la décennie durant laquelle les techniques cinématographiques connaissent le plus de métamorphoses et d’évolutions. Il est important de noter que cette maquette de module Apollo n’a jamais été filmée mais a servi à réaliser un scan 3D, afin de concevoir une réplique parfaite en images de synthèse. Rob Legato, invité d’honneur du PIDS 2022, a supervisé les effets visuels d’Apollo 13. Son parcours comprend des productions aussi prestigieuses que Titanic et Harry Potter, deux films qui sont évoqués à travers miniatures et accessoires. Costumes et accessoires Men in Black, une production Spielberg de 1996 regorge d’effets animatroniques très élaborés et d’images de synthèse dernier cri. Pour anecdote, la créature gigantesque fabriquée par Rick Baker fut encartée le jour du tournage, et remplacée par la suite, par un monstre entièrement numérique. Sont présentés ici quelques-uns des nombreux accessoires spéciaux conçus pour la saga. Starship Troopers est encore considéré aujourd’hui comme l’un des plus beaux exemples de cohabitation entre les techniques d’effets spéciaux traditionnelles et les trucages numériques les plus sophistiqués. S’il est célèbre pour ses maquettes de vaisseaux spatiaux de 7 mètres de long et pour ses araignées géantes tantôt animatroniques, tantôt en images de synthèse, le film de Paul Verhoeven regorge de costumes spéciaux et d’accessoires futuristes, comme en témoigne le costume présenté. 2001, L’Odyssée de l’espace, miniature de navette spatiale Rencontres du Troisième Type, 1978, costume V, 1984, costume dossier de presse | exposition 6 Le costume d’astronaute du long-métrage Armageddon de Michael Bay, sert d’ouverture à l’exploration spatiale, et réintroduit de façon différente l’idée d’une rencontre extraterrestre évoquée ici par l’arrivée d’une météorite. Par ailleurs, les créatures de La Planète des singes, issues d’une autre galaxie, si différents et en même temps si semblables à nous, sont représentées ici à travers des maquillages originaux datant de 1968 et recréés pour le remake de 2000 réalisé par Tim Burton. Retour dans le camp des astronautes avec ce costume très précieux, apparu dans deux films de science-fiction majeurs : Outland de Peter Hyams en 1981, un western spatial fortement influencé par Ridley Scott, et Aliens en 1986, cette fois-ci sans le casque en raison de son design immédiatement identifiable. La révolution numérique En 1994, Stargate de Roland Emmerich rencontre le succès, notamment grâce aux concepts très originaux du superviseur effets spéciaux, Patrick Tatopoulos. Ensemble, ils reviennent en 1996 avec Independence Day, un film d’invasion extraterrestre qui devient un phénomène de société. S’il inclut quelques images de synthèse, le film regorge d’effets miniatures en tous genres, tant pour des batailles aériennes dont on retrouve ici une des maquettes de vaisseau spatial, que pour des séquences de destruction urbaines à l’ampleur alors inédite. A l’origine, les extraterrestres de Mars Attacks! et leurs véhicules (soucoupes volantes, robots) devaient être des marionnettes animées en stop-motion, en hommage à Willis O’Brien (King Kong) et Ray Harryhausen (Les Soucoupes volantes attaquent). Industrial Light & Magic, la société de George Lucas, parvint à convaincre Tim Burton de recourir aux images de synthèse, afin de gagner du temps et d’optimiser le temps de présence des créatures. Rétrospectivement, Mars Attacks! est devenu un symbole de la transition entre l’ère analogique et l’ère numérique. L’art des créatures Ces pièces de l’exposition sont toutes tirées d’Aliens Le Retour, le chef- d’œuvre de James Cameron. Une miniature du xénomorphe et un détail du crâne, permettent d’évoquer la pré-production et servirent notamment à tester les angles de vues et les éclairages du tournage. L’Ewok est l’une des nombreuses créatures conçues pour la première trilogie Star Wars. Le film étant célèbre pour ses très nombreux effets numériques, il est cependant important de rappeler à quel point les techniques traditionnelles ont été employées tout au long de la production. Independance Day, vaisseau spatiale, miniature Mars Attack ! Alien La Résurrection, Xénomorphe Ewok dossier de presse | exposition 7 Journaliste et réalisateur, Alexandre Poncet collabore depuis 2002 à de nombreuses publications, dont la revue Mad Movies uploads/s3/ exposition-interstellaire-enghien-les-bains.pdf

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